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abdelkader46000
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salam alaykooom
je besoin une simulation de commande par mode glissant d'un système photovoltaique avec stockage d'énergie









 


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paloma.laila
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Le photovoltaïque, principe de fonctionnement
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L’énergie photovoltaïque c’est la conversion directe de lumière solaire en électricité.

L’effet photovoltaïque, découvert par le physicien Henri Becquerel en 1839 est basé sur le silicium qui est un matériau isolant, c’est-à-dire qu’il n’admet pas de déplacement d’électron.
Les électrons du silicium ont en revanche la particularité de se mettre en mouvement quand ils sont percutés par les photons composants de la lumière.
Les "plaques" en silicium se polarisent sous l’effet du bombardement de photons contenus dans la lumière solaire et produisent ainsi un courant continu.

Le module photovoltaïque convertit sur place et très simplement entre 3% et 30% de cette énergie en courant électrique continu. Ce courant est alors directement transformé grâce à un convertisseur (Onduleur) en courant alternatif de 230 V.

Les modules solaires
Le module solaire est un assemblage de cellules photovoltaïques. Les cellules sont en général montées en série (la borne positive d’une cellule est reliée à la borne négative de la cellule suivante). On obtient ainsi une tension plus élevée (en général 12 ou 24V).

Les panneaux photovoltaïques seront montés eux mêmes en série si on souhaite obtenir une tension supérieure à 12 ou 24V ou en dérivation ( les bornes positives des différents panneaux sont reliés ensemble, les bornes négatives également) si on souhaite obtenir une intensité plus importante.

La puissance maximale que peut fournir un panneau, dans des conditions idéales, est la puissance crête (elle est donnée en watt-crête, dont le symbole est Wc). Les panneaux les plus courants ont une puissance crête de 40 à 180 Wc.

Exposés au sud ou à l’est sur le toit ou en façade vos panneaux solaires n’auront pas la même production. Le schéma ci-dessous permet d’évaluer la productivité d’un système photovoltaïque selon son emplacement et son orientation.


Le système de pose
De nombreuses solutions techniques existent dans le domaine des systèmes d’intégration en toiture.
Dans tous les cas, la toiture existante doit être remplacée par la centrale photovoltaïque dont les modules doivent faire office de couverture et d’étanchéité afin de bénéficier de la prime à l’intégration (+ 25 ct € /kWh).

Cette étude se penche sur le système d’intégration oryon. Le système d’intégration photovoltaïque oryon s’adapte à la majorité des toitures en rénovation comme dans les constructions neuves, il peut également être utilisé comme revêtement intégral de toit.

Le montage des modules oryon est simple et rapide, il correspond au principe de pose des tuiles : les profilés s’intègrent horizontalement les uns dans les autres ils peuvent ainsi se chevaucher et garantir une parfaite étanchéité.

sys Le système oryon est un système de profils aluminium extrudé destiné à l’encadrement de modules photovoltaïques sans cadres (laminés) d’une surface d’environ 1,5 m2. Le système oryon remplace les couvertures de toitures habituelles comme les tuiles ou l’ardoise pour des toits dont l’inclinaison minimale peut-être de 18°.

Cette photo montre la manière dont les éléments viennent s’emboîter les uns aux autres.

Le système de montage permet une intégration parfaite au bâti ce qui laisse la possibilité de vendre l’énergie produite à Edf au tarif d’environ 27 ct €/kWh (tarif revu à la baisse tous les trimestres).

Etanchéité : Le système de modules encadrés oryon assure une protection contre la pluie comme une couverture traditionnelle en tuiles. De la même manière que pour une couverture traditionnelle, il est recommandé d’utiliser une sous couverture étanche afin d’assurer l’étanchéité lors de fortes intempéries.

Résistance au vent : Le système de montage a été conçu pour une force éolienne correspondant au poids superficiel d’un mètre carré de tuiles, suffisante dans la majorité des cas.

Garantie : Ces tuiles offrent une garantie de 10 ans sur la qualité du cadre et l’étanchéité de la liaison entre cadre et module solaire.

Le système d’intégration en toiture oryon est conforme à la norme CE et est certifié TÜV.

Les onduleurs
La principale mission des onduleurs est la transformation du courant continu produit par la centrale photovoltaïque en courant alternatif pour l’injection dans le réseau.
Les onduleurs ont aussi la fonction de faire fonctionner le champ photovoltaïque à son point de puissance maximal et ont de ce fait une fonction très importante dans le dispositif global.

Il n’existe pas actuellement de norme européenne unifiée pour les onduleurs mais la norme allemande DIN VDE 0126 1.1 et la norme CEI NF 61000 3-2 sont reconnues et servent de référence dans les projets. Plusieurs éléments sont à prendre en compte dans le choix d’un onduleur :

rendement de l’onduleur supérieur à 90% pour une charge égale à 10% de sa charge nominale
rendement maximal de l’onduleur proche de 95%
faible consommation interne de l’onduleur
protection de l’onduleur contre les perturbations extérieures, notamment présence d’un dispositif protégeant les surtensions.
2. La vente de la production solaire pour le particulier inférieur à 9kwc
Attention, la structure du tarif d’achat a été modifiée par l’arrêté du 7 janvier 2013, publié le 31 janvier 2013, modifiant l’arrêté du 4 mars 2011. Un seul tarif d’intégration au bâti est désormais en vigueur, valable uniquement pour les installations inférieures ou égales à 9 kWc, quel que soit l’usage du bâtiment, à compter du 1er février 2013. Les critères d’intégration au bâti n’ont quant à eux pas été modifiés.

Tarifs d’achat (c€/kWh)
Type de tarif Type de l’installation et puissance totale 01/02/13 au 31/03/13 01/04/13 au 30/06/13 01/07/13 au 30/09/13 01/10/13 au 31/12/13 01/01/14 au 31/03/14 01/04/14 au 30/06/14 01/07/14 au 30/09/14
Tarif dit T1 Intégration au bâti (IAB) [0-9 kWc] 31,59 30,77 29,69 29,10 28,51 27,94 27,38
Tarif dit T4 Intégration simplifiée au bâti (ISB) [0-36 kWc] 18,17 16,81 15,21 14,54 14,54 14,16 13,95
[36-100 kWc] 17,27 15,97 14,45 13,81 13,81 13,45 13,25
Tarif dit T5 Autres installations [0-12 MW] 8,18 7,96 7,76 7,55 7,36 7,17 6,98
3. Bilan Financier
Dans le prix global d’un système photovoltaïque, plusieurs points sont à prendre ne compte :

3.1 . Matériel et pose
Le prix du matériel, dépend principalement de la taille du système et de son mode d’intégration au bâtiment.
Le tableau ci-après donne un ordre de grandeur des prix « matériel + pose », en €/Wc TTC, qui peuvent être rencontrés dans diverses configurations.
Pour comparer les prix d’une installation photovoltaïque il vaut mieux raisonner en Puissance crête Valeur de référence permettant de comparer les puissances des panneaux entre elles.
La puissance crête est obtenue par des tests effectués en laboratoire, sous une irradiation de 1000w/m2, une température de 25°, la lumière ayant le spectre attendu pour une pression atmosphérique de 1,5 AM. des panneaux et non pas en m2 car en fonction de la technologie de panneaux photovoltaïques solaires choisie, la surface peut varier pour une même puissance.

Prix matériel et pose inclut :

Pose en intégré au bâti
1 à 3 kWc 3 €/Wc
3 à 10 kWc 2,5 à 7 €/Wc
+ de 10 kWc
à plusieurs MW 2 €/Wc
Les travaux d’amélioration ou de réfection du bâtiment dont dépend le système photovoltaïque (ex. travaux d’étanchéité, renforcement de la charpente, etc.) ne sont pas pris en compte dans ce tableau.

3.2. Les travaux de raccordement au réseau
Le producteur doit supporter les frais de raccordement au réseau de son installation photovoltaïque; ainsi que les éventuels renforcement de réseau nécessaires pour permettre l’évacuation de son courant.

Ces travaux sont composés de la pose des matériaux suivant :

compteurs et disjoncteurs,
coupe circuit
câblage (nécessaire à l’établissement d’une liaison de branchement dédiée à l’installation photovoltaïque.)
3.3 Coût de raccordement
Les coûts de raccordement diffèrent selon la taille et la configuration du projet. Ils peuvent être estimés comme suit :

Tension de livraison Configuration simple Configuration complexe
<36KVA (Basse Tension) 2000 € environ ilimitée
36KVA< Puissance <250KVA (Basse tension) et Puissance >250KVA (Haute tension) Il est difficile d’évaluer le coût de raccordement car il est possible, en fonction des cas de figures, que des renforcement de réseau soit à prévoir. Par conséquent, les travaux peuvent être plus important, engendrant un prix parfois déterminant pour la réalisation du projet
3.4. Coût de l’emprunt
Le coût de l’emprunt est variable selon les offres proposées par les organismes financiers.
En effet, le taux d’intérêt représentant le coût réel d’un crédit à la consommation (taux effectif global : TEG) peut aller de 1,8% à 7% environ.
Il ne faut pas oublier le surcoût que peut représenter les éventuelles assurances souscrites et les éventuelles reports de paiements (paiement de la première mensualité ou annuités plusieurs mois après avoir souscrit le crédit).










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قديم 2016-12-06, 17:23   رقم المشاركة : 3
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paloma.laila
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Commande par modes glissants

(«Sliding modes»)

Résumé : Ici, on présente succinctement le principe de la commande par modes glissants, sur l'exemple désormais classique d'un double intégrateur. Puis cette technique est appliquée à la commande en position d'un moteur pas-à-pas. Deux lois de commande sont développées, et des résultats expérimentaux sont présentés.

Introduction

Les modes glissants constituent une manière simple et robuste de réglage des systèmes automatiques. L'application aux actionneurs électromagnétiques ne représente qu'un cas particulier, cette technique connaissant des développements importants dans tous les domaines de la commande. Aussi allons-nous présenter le principe des modes glissants à partir d'un système générique : l'intégrateur double, qui modélise par exemple la position d'une masse actionnée par une force.

1.Notion de glissement

2.Recherche d'une commande assurant un mode glissant

3.Application à un moteur pas-à-pas

4.Résultats expérimentaux

Notion de glissement

Considérons le système suivant :

(1)

où x est la position d'un mobile, u la force appliquée, et Cr une force de résistance quelconque.

Si la commande est du type tout ou rien, alors

u = +/- U, et les trajectoires sont données par :

(2)

Pour Cr=0, ce sont des paraboles dans le plan .

L'objectif de commande étant maintenant de ramener x à l'origine, on constate que la commande bouclée avec retour de la seule position :

u = -U.sign(x) (3)

ne permet pas de stabiliser le système, les trajectoires en l'absence de force résistante étant périodiques, comme on peut voir sur la figure I. Il vaut mieux utiliser un retour de la forme [1]:

(4)

qui donne la convergence (figure II).


Figure I : commande par retour de position Figure II : retour de position et de vitesse
La droite de la figure II est appelée " droite de commutation ". A partir d'une certaine valeur de k, la trajectoire ne peut plus quitter la droite de commutation (figure III), et est astreinte à s'y déplacer jusqu'à l'origine. On dit que le système " glisse " sur la droite.
Figure III : glissement
Recherche d'une commande assurant un mode glissant

La commande de la figure III a longtemps été jugée néfaste, par les effets de réticence dûs aux retards de commutation (figures IV et V) : la commande était jugée brutale et peu efficace, sollicitant fortement les organes de commande.


Figure IV : réticence Figure V : réticence, allure de la vitesse
Pourtant, comme nous allons le voir, les trajectoires obtenues sont largement insensibles aux perturbations, et la dynamique du procédé peut être choisie avec une grande liberté. Notons pour l'instant que la commande tout ou rien présente l'intérêt remarquable d'être plus rapide qu'une commande linéaire bornée.

Choisissons, assez arbitrairement d'ailleurs, une courbe de commutation. Par exemple, la droite

définie plus haut :

D :

Le but que nous recherchons est le suivant : rejoindre à partir de l'état initial la droite , puis astreindre la trajectoire à rester sur cette droite. Alors, la dynamique du système sera fixée par l'équation de la droite, et l'origine sera rejointe avec la constante de temps k.

Posons donc : S = (5)

En dérivant, il vient :

(6)

Lorsque Cr est nul, la commande :

ue = (7)

garantit = 0, ce qui signifie que la trajectoire est contrainte à demeurer sur la droite S sur laquelle elle se trouve. Cette droite est donc invariante en l'absence de perturbation. ue est appelée " commande équivalente ".

Afin d'obliger le système à suivre la trajectoire imposée, il suffit à présent de rendre S = 0 attractive. Pour cela, on ajoute une commande commutante uc à la commande équivalente ue sous la forme :

uc = -V.sign (S) (8)

u = u e + uc (9)

En choisissant V assez grand :

V > (10)

alors la condition S. < 0 est toujours réalisée, ce qui prouve que S = 0 est attractive et invariante, malgré Cr .

*

Le résultat obtenu avec la commande (9) est illustré sur les figures VI et VII. On peut y observer le ralliement de l'origine avec une dynamique du premier ordre, donnée par la valeur de k.


Figure VI Figure VII
Cette commande présente les caractéristiques suivantes :

- elle est robuste, rejetant la perturbation Cr.

- il suffit de connaître une borne pour Cr, ce qui simplifie le réglage.

- le choix de la surface de commutation est assez libre.

- la commande est adoucie par la présence de la commande équivalente ; celle-ci peut cependant être supprimée, au prix d'une augmentation de V.

- on a en quelque sorte les avantages d'un système à grand gain, sans en avoir les inconvénients.

- on peut étendre la technique à des surfaces autres que des droites, de dimensions quelconques, et à des intersections d'autant de telles surfaces qu'on a de commandes disponibles.

- nulle part on n'a postulé la linéarité du système ; ce principe est utilisable avec des systèmes non-linéaires.

- on n'a pas parlé de pôles, la convergence étant prouvée par un argument élémentaire.

-on n'a pas non plus parlé de marge de stabilité, la condition (10) en tenant lieu.

De nombreuses variantes existent, visant à limiter l'effet de réticence et à optimiser les trajectoires de commande, ainsi qu'à lever les difficultés théoriques liées aux discontinuités de commande. (voir [2],[3] ).

Application à un moteur pas-à-pas

Les moteurs pas-à-pas jouent un rôle important parmi les actionneurs électriques. En effet, ils permettent le positionnement en boucle ouverte. Mais au delà de cette justification, qui limite les possibilités de précision, les moteurs pas-à-pas sont des actionneurs sans balais capables d'un couple important sans réducteur mécanique.

Ici, nous considérons un moteur à aimant permanent, à force contre-électromotrice sinusoïdale [4], et l'objectif que nous nous fixons est le pilotage en position. La précision obtenue devra être indépendante de la résolution du moteur (" nombre de pas par tour "). Nous supposons de plus que l'état est mesuré : capteurs de courant et capteur de position angulaire. Aucune hypothèse n'est faite, en revanche, sur la technologie du pré-actionneur, amplificateur linéaire ou commutateur : il s'agit simplement d'une commande en tension.

Le moteur est biphasé (ou tétraphasé avec point milieu).

Le modèle du moteur s'écrit, dans un repère a-b lié au stator :

L = va -R ia+ K W sin( N)

L = vb -R ib - K W cos( N) (M1)

J = K (ib cosN- ia sinN) + Cr

= W

ia, ib : intensités dans les phases a et b

va, vb : tensions aux bornes des phases a et b, considérées comme grandeurs de commande.

, : vitesse et position angulaires du rotor

N : nombre de dents du rotor (e.g. 50 dents pour 200 pas par tour)

J : moment d'inertie ramené à l'arbre

R : résistance d'une phase statorique

L : inductance d'une phase statorique

K : coefficient de force électromotrice / coefficient de couple

Cr : couple de perturbation

Ce modèle néglige la variation de réluctance liée à la rotation, et inclus le couple de détente

- en sin( 4N) - dans Cr. Il est tout à fait semblable au modèle de la machine synchrone à aimant permanent à pôles lisses. (Pour des détails, voir [5] par exemple).

Dans un premier temps, on va chercher à commander la vitesse de rotation W par mode glissant. Après application de la transformation de coordonnées
cos (N.) sin (N.)
T = (11)
- sin(N.) cos (N.)
on peut exprimer les courants et tensions dans le repère d-q tournant lié au rotor : vdq = T. vab ; vab = T-1. vdq

idq = T. iab ; iab = T-1. idq

et le modèle s'exprime sous la forme :

L = vd - R id + N L iq

L = vq - R iq - N L id - K

J = K iq + Cr (M2)

=

On définit aussi une trajectoire de référence obéissant au modèle, sous la forme :

L = vdr - R idr + N L r iqr

L = vqr - R iqr - N L idr - K r

Jr = K iqr (M2r)

r = r

les indices r valant pour " référence ". L'élaboration des trajectoires de référence est détaillée dans [6].

Posant e = [id-idr iq-iqr -r ]T = [x1 x2 x3 ]T

et : Dvd = vd - vdr ; Dvq = vq - vqr

le modèle de l'écart entre la référence et la trajectoire réelle est :

L = Dvd - R x1 + N L ( iq - r iqr)

L = Dvq -R x2 -N L ( id - r idr) - K x3

J = K x2 + Cr (M2e)

Considérons la surface suivante dans l'espace d'état : S = k x3 + (12)

La condition S = 0 signifie que converge exponentiellement vers sa référence.

Calculant la dérivée de S par rapport au temps:

(13)

on obtient :



expression pour laquelle la commande :

Dvqe=K x3 +(R -k L)x2 +NL( id -r idr) (15)

garantit = 0 en l'absence de la perturbation Cr et de sa dérivée . Ainsi, en l'absence de perturbation, la surface S est positivement invariante.

Afin d'assurer l'attractivité de la surface S = 0, on complète la commande (15) par une commande à deux états vqc sous la forme :

Dvq = Dvqe + vqc(16)

L'utilisation de cette commande conduit à :

= vqc + (17)

Prenant vqc = - U0 sign(S), la condition S.<0 peut être imposée pour S ¹ 0 en choisissant U0 suffisamment grand :

U0 > (18)

Cette inégalité garantit l'attractivité de la surface S = 0 en présence de la perturbation Cr - à condition que cette perturbation soit bornée, ainsi que sa dérivée - .

Ainsi, toute trajectoire converge vers S = 0 en temps fini, puis est confinée sur cette surface, et la vitesse converge bien vers sa référence.

La commande complète de vq est donnée finalement ainsi :

vq = vqr + K x3 + (R - k L) x2 + NL( id - r idr) - U0.sign(S) (19)

On peut choisir d'imposer vd = 0, ce qui revient à un pilotage en quadrature - lequel n'est possible qu'en autopilotage -. Les tensions de commande sont alors élaborées à partir de la transformation inverse des coordonnées T-1.

La vitesse étant ainsi réglée, le réglage de la position peut être obtenu avec un correcteur PI par exemple.

'

Une autre possibilité, parmi les nombreuses voies utilisables, est de régler directement les courants dans le repère fixe du stator. On cherche donc à garantir la poursuite des trajectoires de courant dans le repère a-b, c'est à dire :

ia -> iar

ib -> ibr

Prenons comme surfaces de glissement :

Sa = ia - iar (20)

Sb = ib - ibr (21)

La dérivée par rapport au temps de Sa est :

(22)

qui s'annule pour une commande vae :

(23)

Ainsi, la commande vae garantit l'invariance positive de S. L'attractivité de S = 0 est obtenue par :

va0 > 0 (24)

qui garantit :

De la même manière, on obtient pour le courant dans la phase b :

vb0 > 0 (25)

qui garantit :

Ainsi, les courants suivent leurs références. On peut ensuite imposer ces références pour obtenir un couple moteur garantissant la poursuite de trajectoire de position ou de vitesse. Le plus simple est de déterminer id et iq assurant ce couple, puis d'extraire iar et ibr par transformation inverse de coordonnées T-1.

Un choix possible consiste à prendre id = 0 , iq étant obtenu par un correcteur PI sur la position.

'

Résultats expérimentaux ; noter que la consigne ne correspond pas à un nombre entier de pas : la précision est indépendante de la résolution du moteur.

N.B.: Tech = 2 ms, le dispositif utilisé ne permet pas d'aller plus vite ...





Figure X : résultats pour la commande (19)

La commande en position utilisant les lois (24) et (25), dans laquelle le courant transverse de référence, iqr , est élaboré par un correcteur PI sur la position, est illustrée sur les figures XI et XII.










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قديم 2016-12-06, 17:45   رقم المشاركة : 4
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paloma.laila
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ynaf3ek hada Système Inertiel de Stockage d'Energie couplé au générateur Photovoltaïque et piloté par un simulateur temps réel s










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