1- L
'un n'emêche pas l'autre. C'est sur que la situation est difficile, mais il faut tout de même relativiser, il y a des gens qui gagnent moins pour un travail encore plus dur. Nous sommes juste des éternels insatisfaits. Je connais pas beaucoup de monde qui travaille 9 heures par semaines. Bien sur qu'il y a la recherche, les travaux à la maison (moi aussi je suis enseignant), mais ils sont très rares à le faire. Franchement, quand je vois mes collègues, quand je vois ce qui se fait à l'université (et il se pourrait que j'en fasse partie), je me suis dit que le mieux serait de rentrer son cou entre ses épaules et se taire. la majorité ne mérite le salaire qu''elle perçoit. Vous allez me dire que nous, nous travaillons, bla. Qui sont donc ceux qui ne travaillent pas. Tout le monde se croit le plus sérieux.
2- douze12 fois 150000, ça fait 180000. ça juste pour la petite information. Si vous faites cette même erreur dans vos calsculs au labo, ce n'est pas des hottes dont vous aurez besoin.
3- Le chef de département n'est pas censé parler de notre vie sociale où s'en intéresser. Il est censé être là, le boulot. Justement, c'est le jour où il fera plus son boulot, c'est à dire s'assurer que tout le monde fasse ses contrôles, ses TP, le jour où il passera son temps à parler de la vie sociale des gens, c'est jour là, où y a un problème. Hélas, la plupart sont dans le deuxième cas de figure. Je ne connais pas la situation,, mais à mon avis, il faut avoir du recul.