Le printemps colore la steppe - photos-

[عبد القادر خ]

L'automne et l'hiver ont été exceptionnellement pluvieux cette année, alors dés les premiers rayons de soleil le printemps étale sa verdure précoce: les épis de blé, les herbes, l'alfa et les fleurs couvrent la steppe de mille couleurs insolites.
Il suffit d'aller du coté de la petite commune de Guernini (daira d'Ain Oussera) pour constater de visu, combien l'Algérie est immense et belle.

[boubramek]

vous avez raison mon frère on attend les premiers spectres du soleil pour profiter de ce paysage insolite après un hiver pluvieux et surtout nos sorties vers le lieu dit guernini pour cueillir les truffes que je les trouve très délicieuses

[عبد القادر خ]

vous avez raison mon frère on attend les premiers spectres du soleil pour profiter de ce paysage insolite après un hiver pluvieux et surtout nos sorties vers le lieu dit guernini pour cueillir les truffes que je les trouve très délicieuses

chers oum nail et boubramek

merci pour vous gentilles reponses j'espere que vous irez visiter el Guernini et constater de vous memes
comme l'Algerie est belle qu'Allah la protege.[/SIZE]

[novosti]

vous avez raison mon frère on attend les premiers spectres du soleil pour profiter de ce paysage insolite après un hiver pluvieux et surtout nos sorties vers le lieu dit guernini pour cueillir les truffes que je les trouve très
délicieuses
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Cher boubramek. Merci pour tes sentiments envers la nature de notre Bled. Permettez-moi de vous faire une remarque. Est-ce qu'on dit " cueillir les truffes " ? Je ne crois pas car on les trouve enterrées comme la pomme de terre. On ne dit jamais " Cueillir les pommes de terre mais " Récolter les pommes de terre ". En général, on cueille les fruits et les fleurs par exemple parce qu' ils se trouvent suspendus sur les branches des arbres. Le verbe " cueillir " signifie couper ou arracher. Merci d'accepter ma remarque avec un coeur ouvert sans se facher.

[boubramek]

merci pour la remarque novosti et ça le but des forums on s y partagent les idées et on s y corrigent l'essentiel que le message passe

[boubramek]

on peut dire cueillir les truffes en s'appuyant sur cet article paru dans le journal elwatan et voici son contenu

La cueillette des truffes, source d’emplois
La cueillette saisonnière des truffes, cette année, crée des centaines d’emplois, voire des milliers mais n’a pas favorisé une baisse des prix malgré les exceptionnelles et fortes pluies des mois d’octobre et novembre derniers.


Sur les marchés locaux de Bechar, les prix du champignon atteignent des tarifs élevés oscillant, selon le calibre, entre 500 et 1000 DA le kg. Le prix de ce champignon, estimé pour ses propriétés nutritives, dépasse celui de la viande. Des citoyens, dans leur majorité, attendent toujours une baisse sensible du coût pour pouvoir s’en offrir. Pourtant, les intempéries qu’a connues la région ont été propices, dit-on, à une cueillette facile et abondante des truffes. Elles sont ramassées en grande quantité dans les régions arides et semi-aride de Tabalbala et au nord-ouest de Bechar. Elles font l’objet de spéculation, affirme un connaisseur, et le marché local est dominé par des intermédiaires locaux qui livrent en grande quantité le produit comestible aux premières heures de la journée à d’autres revendeurs commerçants ou simples chômeurs.
D’autres acheteurs viennent des régions des Hauts-Plateaux et achètent sans rechigner à des prix prohibitifs, indique-t-on. L’appât du gain incite plusieurs mandataire s versés dans ce type de commerce lucratif et saisonnier à expédier quantité de truffes vers l’extérieur du pays. Ils sont aidés en cela par le vide juridique sur l’exercice de ce commerce qui facilite l’exportation du champignon prisé. L’expédition des tonnes de cet aliment extrait du sol aride du Sahara n’est soumise au paiement d’aucune taxe à la collectivité locale, remarque un représentant de l’Etat. Mais l’observation est atténuée par le fait que la cueillette des truffes dans la wilaya demeure à la fois, pour les jeunes chômeurs, une source de revenus pour ces derniers et une « substitution aux carences de l’Etat en matière de création d’emplois durables »