|
|
|||||||
| قسم انشغالات اساتذة التعليم العالي و الباحثين الدائمين فضاء للنقاش اليومي، لتبادل الخبرات حول التدريس، المناهج و البرامج، قانون الأستاذ، المنح و التربصات... |
في حال وجود أي مواضيع أو ردود
مُخالفة من قبل الأعضاء، يُرجى الإبلاغ عنها فورًا باستخدام أيقونة
( تقرير عن مشاركة سيئة )، و الموجودة أسفل كل مشاركة .
| آخر المواضيع |
|
مرسوم رئاسي : حامل ماستر يستطيع أن يصبح أستاذ مساعد صنف ب في الجامعة
![]() |
|
|
أدوات الموضوع | انواع عرض الموضوع |
|
|
|
|
رقم المشاركة : 1 | ||||
|
الإضراب المفتوح متواصل.. وانقسامات حول اجتياز الامتحانات أو مقاطعتها
|
||||
|
|
رقم المشاركة : 2 | |||
|
طلبة يخربون ويحرقون مقر رئاسة جامعة بجاية |
|||
|
|
رقم المشاركة : 3 | |||
|
Université de Béjaia Dalil S.
|
|||
|
|
رقم المشاركة : 4 | |||
|
Béjaïa : La grève dégénère à l’université |
|||
|
|
رقم المشاركة : 5 | |||
|
Version des faits de la Coordination autonome |
|||
|
|
رقم المشاركة : 6 | |||
|
Université de Béjaïa |
|||
|
|
رقم المشاركة : 7 | |||
|
|
|||
|
|
رقم المشاركة : 8 | |||
|
|
|||
|
|
رقم المشاركة : 9 | |||
|
LES UNIVERSITES TOUJOURS EN 06/04/2011 EBULLITION |
|||
|
|
رقم المشاركة : 10 | |||
|
Bejaïa |
|||
|
|
رقم المشاركة : 11 | |||
|
Universités de Béjaïa et de Boumerdès : Heurts, saccage et dégâts le quotidien d'oran 06/04/2011 par Amine L. & K.R. Des milliers d'étudiants de l'université Abderrahmane Mira de Béjaïa ont vivement protesté, hier, contre «l'agression d'un étudiant par le recteur et par un agent de sécurité», selon leurs propos. Les manifestants ont ob-servé une longue marche du centre universitaire Aboudaou situé à l'est de la ville vers le rectorat de Targa Ouzemour. Sur les lieux, les protestataires ont tenu un sit-in pour dénoncer cette « agression ». Ils ont saccagé le portail d'entrée avant de détruire le matériel bureautique et informatique qu'ils ont incendié près de l'enceinte administrative. O.Y. Mohamed Lamine, étudiant de première année de droit qui avait pris la parole durant ce rassemblement, a donné sa version des faits. «A l'appel du comité des étudiants de notre département de droit, nous avons tenu notre assemblée générale pour arrêter la démarche à entreprendre vis-à-vis du mouvement de protestation déjà enclenché par les étudiants. Avant l'entame des discussions, les étudiants ont fermé les portes des salles où se déroulait ce conclave. Les agents de sécurité sont violemment intervenus pour ouvrir les accès. En tentant de les dissuader, nous avons été pris à partie par ces derniers», raconte cet étudiant. «Nous leur avons rappelé que nous sommes dans notre droit le plus légitime d'observer des grèves», poursuit-il. «Le recteur, ajoute-t-il encore, m'a pris à partie et m'a tenu mes bras. Un agent de sécurité m'a donné un coup de son coude au visage». Cet étudiant relate avoir porté plainte contre ses présumés agresseurs et dit avoir un certificat médical après avoir subi une consultation à l'hôpital. De son côté, le recteur de l'université Abderrahmane Mira réfute complètement avoir agressé l'étudiant plaignant. A Boumerdès, et face à un dispositif sécuritaire très impressionnant, quelques centaines d'étudiants de l'université M'hamed Zougara de Boumerdès ont tenté de sortir dans la rue, hier matin. Vers 10h, des centaines d'étudiants se sont rassemblés devant le siège de la faculté des sciences de l'ingénieur, sise à la cité des 800 logements, alors que d'autres ont été bloqués dans l'enceinte même de la faculté. Toutefois, après quelques heurts sans gravité, ces étudiants ont réussi à sortir par une autre porte et rejoindre leurs camarades dans la rue. Quelques instants après, les protestataires ont été cernés par des policiers non loin de la cité Baya Hocine des filles. A cet endroit précis, ils se sont regroupés avant de se mettre à terre pour éviter le contact avec les agents de l'ordre qui semblaient ne pas céder à la pression des manifestants. Les étudiants n'ont pas cessé de scander des slogans hostiles aux responsables du ministère, allant jusqu'à exiger le départ du ministre de l'Enseignement supérieur. En début d'après-midi, les étudiants ont forcé le barrage des forces anti-émeutes pour organiser une marche qui les a conduits jusqu'au siège du rectorat de l'université de Boumerdès. Là, un sit-in a été improvisé. «Les Conférences sur les problèmes pédagogiques de l'université algérienne n'ont pas été suivies d'effet sur le terrain, c'est pour cette raison que nous demandons des garanties pour l'application des recommandations de la conférence du 27 mars dernier». D'autre part, selon nos échos, l'option de la marche et du boycott des cours n'est pas partagée, dira un étudiant, par l'ensemble des étudiants car beaucoup d'entre eux, «les silencieux» comme certains se plaisent à les appeler, sont restés à l'écart de ce mouvement de protestation. Cependant, un délégué des étudiants nous a confirmé la poursuite du mouvement de grève au sein de l'université de Boumerdès à l'instar d'autres universités du pays. |
|||
|
|
رقم المشاركة : 12 | |||
|
LibétrtéMercredi 06 Avril 2011)
Grève, sit-in et malaise des étudiants Les jeunes, otages d’une mauvaise gestion du social Par : K. REMOUCHE Lu : (1010 fois) De la perception d’incompétence et de corruption Outre la série d’émeutes et de marches, les grèves, sit-in et autres mouvements de protestation se sont multipliés au cours de ces dernières semaines. Médecins, personnel paramédical, étudiants, fonctionnaires, salariés dans différents secteurs, postulants au logement aidé manifestent quotidiennement leur colère, ce qui dénote un malaise profond vécu par de larges franges de la population, dans un contexte de printemps des libertés en Afrique du Nord qui n’a, jusqu’à présent, pas fortement inspiré nos gouvernants. En effet, au moment où le vent de révolte souffle sur la région, les pouvoirs publics, face à cette inflation de revendications, répondent, soit par le silence, soit par la provocation. En tout cas pas par des solutions adéquates qui apaisent le front social. Sur nombre de questions, comme l’accès à l’emploi, au logement, les autorités adoptent des plans qui ne règlent pas de façon structurelle les tensions, en dépit d’une aisance financière sans précédent dans l’histoire économique de l’Algérie post-indépendante. En particulier, à la suite d’un éminent économiste, les pouvoirs publics n’adoptent pas souvent le principe des 3 D, diagnostic, dialogue et décision pour solutionner ces problèmes. La seconde étape est carrément négligée, d’où des mesures actuellement fortement controversées. Il est clair que l’État a besoin sérieusement d’améliorer sa gouvernance particulièrement du social qui consiste entre autres à anticiper les conflits. À cet égard, des membres de la diaspora ont cité plusieurs facteurs qui n’incitent pas à leur retour au pays, voire à l’implantation de leurs entreprises en Algérie : la qualité de l’enseignement, l’efficacité du système de santé, la bureaucratie, les services bancaires, la chaîne logistique et même la prise en charge des questions environnementales. En somme, on enregistre des prestations médiocres teintées parfois d’odeur de corruption ou de népotisme que les citoyens dénoncent au quotidien sans réaction des autorités qui se complaisent souvent dans un mur de silence. À tel point que ces derniers n’hésitent pas à employer le mot incompétence, ou à pointer du doigt des auxiliaires de la République considérés comme corrompus ou plus portés sur la satisfaction de leurs intérêts personnels ou sur la répartition de la rente. Paradoxalement, face à l’élargissement des mouvements de protestation, les pouvoirs publics hésitent à mettre en œuvre les réformes indispensables pour le maintien durable de la paix sociale : un dialogue permanent, y compris avec les syndicats indépendants représentatifs de la corporation ou du corps de métier ; un système salarial et de motivation des ressources humaines arrimé à la productivité et la performance ; des investissements dans la qualité de l’enseignement et non uniquement comme par le passé dans la quantité : infrastructures et nombre d’enseignants ; un appareil de formation adapté aux besoins du marché du travail ; la modernisation de l’administration et son corollaire l’efficacité de ses services ; la réorientation de la politique économique vers l’appui tous azimuts à l’entreprise de production, particulièrement privée, la principale source de création d’emplois et de richesses. De grands chantiers sont donc à mener sans lesquels il faut s’attendre à une instabilité sociale fort coûteuse pour l’économie nationale et à un profond malaise des Algériens devant les injustices et les inégalités, entretenu par une attitude passive des gouvernants face à la montée des problèmes. Une situation en somme confuse qui annonce de nouveaux cycles de violence. K. R. |
|||
|
|
رقم المشاركة : 13 | |||
|
أنا و الله لن أسكت و لقد بعثت هذا الشئ لكل من أعرفهم و حتى أستاذنا نائب رئيس الجامعة .....أنا لن أسكت أنا إنسان فقير الحال و عانيت الكثير في الماجستير و بعده و لست مستعدا أبدا لأن أسمح في حقي |
|||
|
|
رقم المشاركة : 14 | |||
|
es étudiants désavouent Harraoubia le 08.04.11 | 01h00 Rachid Harraoubia, ministre de l’Enseignement supérieur, l’a dit haut et fort hier à Constantine : «L’année blanche n’est pas à craindre.» Et d’appuyer : «Toutes les universités fonctionnent normalement.» Ces propos ne reflètent cependant pas la réalité des choses. Farid, étudiant à Bouzaréah et membre de la Coordination nationale autonome des étudiants (CNAE), nous déclare à son tour que «s’il y a des gens qui doivent craindre l’année blanche, c’est bien le ministère». A propos du «bon fonctionnement» de toutes les universités, Farid indique que «ces allégations sont complètement fausses, la plupart des facultés n’ont pas repris et les examens sont gelés». Et d’ajouter : «La CNAE avait appelé au boycott de la conférence nationale et même les étudiants qui y ont participé en sont sortis en colère, certains ne sont même pas restés jusqu’à la fin». Pour Farid, le mouvement doit passer à l’étape suivante : «La majorité des étudiants sont déterminés, le problème dépasse le LMD, il est plus profond, nous préparons déjà plusieurs actions, la prochaine étant la marche des étudiants le mardi 12 avril, dont le point de départ est prévu à 11h à la Grande Poste.» Les grandes écoles aussi montent au créneau. Houssem-Eddine Benzehra, délégué de l’Ecole des hautes études commerciales de Ben Aknoun, dément le bon déroulement de la conférence nationale : «J’étais présent à la conférence, nous avons refusé de signer le PV et nous sommes sortis profondément déçus.» Il nous confie également que même les écoles pensent à entreprendre des actions : «La coordination des étudiants hors université s’est mise d’accord sur un nombre de points, nous les soumettons à la base de chaque école et des actions seront bientôt entreprises.» Zaki Hamouli Yacine Khمشاهدة ملفه الشخصيإرسال رسالة خاصة إلى Yacine Khالبحث عن كل مشاركات Yacine Kh معلومات العضو إحصائية العضو اخر مواضيعي 0 Année blanche dans les universités Algérienne 0 L'Uninversité est en ébulition main, on changera le monde à Oued Semar le 08.04.11 | 01h00 Samedi 9 avril se tient pour la première fois à Alger l’événement international TED à l’Ecole supérieure d’informatique (ex-INI) de Oued Semar (Alger-Est), organisé par le club d’étudiants Etic. Ce concept américain de conférence verra la participation de grands noms de la cybercriminalité en passant par la musique ou l’économie. Objectif : donner envie à un large public de changer le monde. Innovation, partage, découverte : autant d’adjectifs pour expliquer ce qu’est un TED (Technologie Entertainment Design). A J-1 de cet événement d’envergure, nous connaissons la liste définitive des douze intervenants. Le programme de la journée de demain évoluera autour de quatre thèmes. «Entreprendre en Algérie» accueillera Hind Benmiloud, première avocate en Algérie, spécialisée dans la cybercriminalité. Suivront dans la même thématique Abdelkader Aïssaoui, PDG de la filiale poids lourds de Renault Algérie ainsi que Mustapha Ferfaha, le nouveau DG de la Bourse d’Alger. Pour le thème «Entreprendre et technologie», on verra se succéder à la tribune Abdelhakim Bensaoula, professeur à l’université de Tlemcen, ayant plusieurs brevets à son nom, dont certains concernant la NASA, Fadhila Brahimi et enfin Nesma Houhou, fondatrice de Kyutai Conseil. Le troisième thème abordé sera celui des «Success Story». Les trois retenus pour cet exercice sont Hassan Khelifati, fondateur et DG de la compagnie d’assurances Alliance, Merzac Bagtache, journaliste et écrivain, et Akim El Sikameya, violoniste et auteur compositeur de musique andalouse. Le thème de clôture portera sur «Entreprendre pour changer le monde», vocation que toute conférence TED se doit d’avoir. Pour ce faire, le trio de fin sera composé de Rabah Ghezali, diplômé de Cambridge et d’Oxford, membre fondateur du Transatlantic Network, Hadj Khelil, fondateur de la société Bionoor et enseignant à Montpellier, et enfin Abdelkader Abid, docteur en cardiologie. Les conférences TED sont des événements devenus incontournables, qui se déroulent annuellement en Californie et ayant comme intervenants des personnalités telles que l’ancien président américain Bill Clinton. Devant un tel succès, la fondation TED a décidé de créer la licence TEDx, afin que des événements TED puissent être créés partout dans le monde, sous l’aval de la maison maire, et ce sont les membre du club étudiant Etic de l’Ecole supérieure d’informatique qui en sont les premiers bénéficiaires en Algérie. La conférence sera filmée et les vidéos seront mises sur le site officiel de la fondation TED www.ted.com où il est possible de trouver toutes les vidéos des autres événements à travers le monde. Pour plus d’information : www.tedxalger.com Zaki Hamouli Yacine Khمشاهدة ملفه الشخصيإرسال رسالة خاصة إلى Yacine Khالبحث عن كل مشاركات Yacine Kh معلومات العضو إحصائية العضو اخر مواضيعي 0 Année blanche dans les universités Algérienne 0 L'Uninversité est en ébulition Tizi Ouzou Rassemblements à l’université le 07.04.11 | 01h00 Plusieurs rassemblements ont été organisés hier à l’université de Tizi Ouzou pour maintenir la mobilisation dans la perspective de la marche prévue mardi prochain à Alger. Hormis la faculté de médecine et quelques départements où se déroulent les examens, les activités pédagogiques sont gelées dans la majorité des autres facultés de l’université Mouloud Mammeri. Les étudiants sont plutôt préoccupés par la préparation de la marche pacifique à laquelle appelle la Coordination nationale autonome des étudiants (CNAE) pour mardi 12 avril à 11h à Alger. Les rassemblements de sensibilisation à la manifestation «pour la satisfaction de la plateforme de revendications des étudiants» se sont multipliés ces derniers jours au niveau des différents campus et cités universitaires. Selon un membre de la Coordination locale des étudiants (CLE) de l’université de Tizi Ouzou, «la marche du 12 avril, qui démarrera de la Grande-Poste vers le Palais du gouvernement, sera le vrai test de la CNAE. Cette action de rue permettra l’évaluation de la mobilisation estudiantine et de rejeter les solutions conjoncturelles auxquelles recourt la tutelle». Les étudiants de l’université Mouloud Mammeri ont dénoncé aussi, durant les rassemblements, l’agression physique dont a été victime mardi dernier leur camarade de l’université de Béjaïa. Djemaâ Timzouert Yacine Khمشاهدة ملفه الشخصيإرسال رسالة خاصة إلى Yacine Khالبحث عن كل مشاركات Yacine Kh معلومات العضو إحصائية العضو اخر مواضيعي 0 Année blanche dans les universités Algérienne 0 L'Uninversité est en ébulition ![]() Actualités : MARCHE DES ÉTUDIANTS À ORAN Brutalité policière et colère des protestataires Des scènes d’interpellations (plus de 6) et de brutalité policière contre les protestataires ont émaillé la marche pourtant pacifique des étudiants de l’Ecole d’architecture de l’USTO, à la périphérie d’Oran, hier matin. Alors que les étudiants en architecture du système classique sont en grève depuis près de deux mois, les dernières mesures du ministère de l’Enseignement supérieur les concernant ont été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase à Oran. Et pour cause, c’est en apprenant que selon un futur décret à promulguer, les étudiants en architecture du système classique dans les universités ne pourront pas obtenir de diplôme d’ingénieur d’Etat — celui-ci étant uniquement attribué aux étudiants des grandes écoles —, les étudiants de l’USTO ont décidé de sortir dans la rue. C’est spontanément qu’une centaine d’étudiants de l’Ecole d’architecture ont organisé une marche, en empruntant le grand boulevard qui mène vers le rond-point de l’USTO, où se trouvent les sièges des sociétés et des administrations. Aux slogans de «Harraoubia incompétent, Non au statut de la honte, étudiants en architecture lésés, marche pacifique… », les jeunes étudiants protestataires étaient déterminés à aller au bout de leur action avec ce souci de crier haut et fort leur sentiment d’angoisse et de frustration. Une première fois, les agents de police pris au dépourvu ont bien tenté de les dissuader de marcher, allant même jusqu’à leur demander «jusqu’où vous voulez aller !» Mais alors que les étudiants avaient atteint le rond-point, leur progression fut stoppée par des véhicules de police. Sur ce, les jeunes s’installent à même le sol, brandissant leurs cartes d’étudiant et donnant de la voix. L’arrivée des URS sonnera la charge. Très rapidement, des policiers, d’une manière extrêmement brutale, s’attelèrent à disperser les jeunes sans distinction entre filles et garçons. Coups de pied, coups de poing et même des insultes pleuvent sur les étudiants. Nombre d’entre eux ont été traînés sur plusieurs mètres sans aucun ménagement et jetés tout aussi brutalement dans les fourgons de police. D’autres ont reçu des coups qui les ont fait basculer sur le sol, alors que d’autres encore se protégeaient la tête. Des journalistes et des photographes présents sur les lieux ont pris des clichés et filmé les scènes, ce qui n’a pas été du goût de certains policiers en civil qui tentèrent de les empêcher de faire leur travail. Un journaliste d’ El Watan se verra confisquer son ordre de mission qui lui sera par la suite restitué. Durant la répression des étudiants un fait choquant n’est pas passé inaperçu : un agent de police fera passer les automobilistes et des bus en plein milieu des étudiants qui étaient encore en partie sur la chaussée leur faisant courir le risque de se faire faucher. D’ailleurs, une étudiante et un étudiant ont été légèrement bousculés par une voiture, provoquant crise de nerfs chez des étudiantes, ahuries face à une telle brutalité. D’autres ont été particulièrement choqués par les jurons et les insultes proférés à leur encontre. Après plus d’une heure, il y a eu une autre tentative de marcher mais cette fois pour demander la libération de leurs camardes arrêtés. Les jeunes étudiants n’ont pas réussi à aller très loin et c’est encadrés et encerclés par les policiers qu’ils ont rejoint leur université. Nous apprendrons, par la suite, que l’ensemble des interpellés ont été libérés au moment où des membres de la LADDH étaient venus s’enquérir de la situation auprès des protestataires. Fayçal M. Yacine Khمشاهدة ملفه الشخصيإرسال رسالة خاصة إلى Yacine Khالبحث عن كل مشاركات Yacine Kh معلومات العضو إحصائية العضو اخر مواضيعي 0 Année blanche dans les universités Algérienne 0 L'Uninversité est en ébulition Jeudi 07 Avril 2011) Les grandes écoles maintiennent le cap Vers des actions de protestation communes Par : MALIKA BEN Lu : (1051 fois) Les étudiants des facultés de pharmacie d’Alger, de Blida et de Tizi Ouzou ont, de leur côté, tenu hier un sit-in devant le ministère de l’Enseignement supérieur. La protestation estudiantine n’est pas finie. Les étudiants persistent et signent : pas de cours, pas de répit tant que nos revendications ne sont pas satisfaites. Le spectre de l’année blanche, brandi par ceux qui veulent pousser au retour dans les amphithéâtres, n’inquiète pas outre mesure les étudiants. D’autant, justifie un des délégués que “seuls les étudiants en fin de cursus sont sensibles à ce discours. Et leur problème a été réglé du moment que tous ceux qui doivent être présents aux ateliers ou reprendre les cours dans le cadre de leurs projets de fin d’études le font. Nous les représentons sur le terrain de la révolte sans problème”. Il faut savoir que si la question de la reprise des cours ou du maintien de la grève n’est toujours pas tranchée au niveau de certaines grandes écoles, le principe de la relance d’actions de protestation communes est acquis. Hier, les étudiants de l’école de commerce d’Alger où 67% se sont prononcés pour la poursuite du débrayage, se sont rassemblés à l’entrée de l’établissement en scandant les slogans que le département de Harraoubia croyait avoir enterrés par la Conférence nationale. À en croire les délégués de certaines écoles, les actions de contestation feront leur retour dès la semaine prochaine. Réunis avant-hier, les délégués de la majorité des grandes écoles ont, en effet, décidé de revenir à la case départ de leur combat. C'est-à-dire réinvestir le terrain par de nouvelles formes de protestation. Une panoplie de propositions est soumise à débat au niveau de ses établissements. “Cela va de la grève de la faim, sit-in non-stop devant la Présidence, rassemblement devant la tutelle… Nous ne sommes pas encore fixés mais ce sera fait d’ici la semaine prochaine”, confie un des délégués. Les étudiants des universités ne comptent pas, également, se *******er de la poursuite de la grève. Eux aussi examinent en assemblées générales les meilleurs moyens de faire pression sur la tutelle. Assiéger de nouveau le département de Rachid Harraoubia est l’une des options envisagées par les grévistes de l’université d’Alger 3. Les étudiants en sciences économiques et gestion du système classique ne décolèrent pas : “Nous voulons un écrit : un nouveau décret en remplacement de celui qui a été abrogé”, souligne un représentant. Les étudiants en pharmacie des départements d’Alger, Blida et Tizi Ouzou sont passés à l’action en tenant hier un sit-in devant la tutelle. Ils réclament la satisfaction de la plate-forme de revendications communes dont la principale est l’octroi du statut de “docteur en pharmacie” et le classement dans la catégorie 16. MALIKA BEN Yacine Khمشاهدة ملفه الشخصيإرسال رسالة خاصة إلى Yacine Khالبحث عن كل مشاركات Yacine Kh معلومات العضو إحصائية العضو اخر مواضيعي 0 Année blanche dans les universités Algérienne 0 L'Uninversité est en ébulition Bejaia après l’incendie du rectorat : Le recteur nie, les étudiants disent détenir des preuves vidéo Mercredi, 06 Avril 2011, 19:31 | Ali Saïdi retweet 0 A Aboudaou, ce mercredi matin, une atmosphère de gueule de bois, de celles glauques qui succèdent à une nuit des quatre cent coups. L’incendie survenu lundi 4 avril des bureaux du rectorat de l’Université de Béjaia est sur toutes les lèvres. Un souvenir aussi frais que traumatique. Le recteur se défend d’avoir agressé un étudiant et affirme vouloir porter plainte. Les étudiants accusent le recteur et affirment détenir des enregistrements vidéo.Ici les animateurs de la CNAE, la coordination nationale autonome des étudiants, veulent rapidement oublier et réorienter les étudiants vers des formes de contestation plus raisonnables. Les prises de parole portent essentiellement sur la marche nationale prévue le 12 avril à Alger. A Targa Ouzemmour, l’autre campus, des étudiants de certaines facultés, transis par l’hypothèse d’une année blanche, ont brisé le mot d’ordre de grève et rejoint les amphis. Une rare bonne nouvelle pour le recteur Djoudi Merabet qui, la veille, était au centre d’une hallucinante « barbouzade » pour casser la grève de la CNAE. Car deux faits paroxystiques ont marqué l’université mardi 5 avril. Un fait irréfragable d’abord, l’incendie du rectorat. Deux jours après l’incendie, chacun livre sa version des faits. Forcément contradictoire. « Même en état de guerre, il n’est pas permis d’attaquer l’université», peste Djoudi Merabet, le recteur qui estime qu’il s’agit là d’un acte funeste qui jure avec « la vraie image de l’université de Bejaia ». Djoudi Merabet jure qu’il ne passera pas l’éponge d’autant qu’il n’exclut pas que les animateurs de la CNAE soient derrière l’explosion de gaz qui, une heure avant l’incendie du rectorat, à soufflé une partie des équipements du centre de calcul. « Nous avons décidé, dit-il, de saisir la Justice et d’exclure non seulement de l’université de Bejaia mais de toutes les universités algériennes les personnes impliquées dans les actes de saccage et d’incendie de bureaux du rectorat ». Sur la « première violence », le recteur, tout en reconnaissant avoir été présent dans le périmètre des échauffourées, nie avoir agressé Ouedfel Younes Mohamed Lamine, étudiant de 1re année de droit. « Je suis recteur et le recteur n’agresse pas les étudiants. C’est une énième rumeur qui est créée pour aggraver la situation», estime-t-il. Il explique qu’une « minorité violente » a dressé des tables pour tenir un meeting et que les agents de sécurité du campus d’Aboudaou intervenus pour dégager le chemin aux étudiants désireux de rejoindre les amphis, ont été agressés et qu’une mêlée générale s’en était suivie. Une version des faits que réfutent et l’intéressé et les animateurs de la coordination estudiantine d’Aboudaou. Pour Mohamed Lamine, les agresseurs sont le recteur et un agent de sécurité. «Il était 9h30 lundi, raconte-t-il à notre confrère El Watan (édition du mardi 5 avril), Le comité des étudiants du département de droit a organisé une assemblée générale pour discuter des problèmes auxquels nous faisons face. Les étudiants ont bloqué tout accès au bloc 4 qui abritait cette réunion (…). Les agents de sécurité sont venus pour forcer l’ouverture des portes. Nous avons tenté de les en empêcher en leur disant que c’est notre droit de faire grève. (…) Le recteur, qui est entré dans la salle, m’a lancé des propos désobligeants et m’a tenu par les mains pour m’immobiliser. C’est là qu’un agent de sécurité a surgi pour m’asséner un coup à la mâchoire avec le coude. Le sang a giclé. Je me suis rendu ensuite dans un centre de soins où on m’a délivré un certificat médical. J’ai porté plainte contre le recteur et l’agent de sécurité pour agression.» Les animateurs de la coordination accusent également le premier responsable de l’université. « L’agression perpétrée par le recteur sur un étudiant de 1er année de droit a mis le feu au poudre. Rapidement une immense marche s’est ébranlée depuis Aboudaou pour le campus de Targa où dans l’effervescence générale ces graves débordements sont en effet survenus », témoigne Kamel Atrouche, animateur de la Coordination. Il indique que des étudiants ont même filmé l’ « agression » et que la CNAE va s’appuyer sur ces vidéos pour introduire une plainte en pénal contre le recteur. L’étudiant agressé est introuvable sur le campus et son portable injoignable. Toutes les tentatives des journalistes de la DNA d'entrer en contact avec lui sont restées vaines. Ghilas Bourzane explique que les animateurs de la Coordination avaient rapidement amené du matériel de sonorisation pour appeler à la cessation des actes de saccage et d’incendie. « J’ai accouru moi-même auprès de la sous direction des affaires scientifiques pour demander une rallonge électrique pour faire fonctionner la sono mais son premier responsable avait prétendu qu’il n’en avait pas », raconte-t-il en guise d’illustration de la position de la CNAE. Deux jours après l’incident, le fossé est creusé davantage entre les étudiants et le rectorat. Yacine Khمشاهدة ملفه الشخصيإرسال رسالة خاصة إلى Yacine Khالبحث عن كل مشاركات Yacine Kh معلومات العضو إحصائية العضو اخر مواضيعي 0 Année blanche dans les universités Algérienne 0 L'Uninversité est en ébulition Elle était en train de coller des affiches Une étudiante agressée par un agent de sécurité à Ben Aknoun ENVOYER A UN AMI AJOUTER UN COMMENTAIRE IMPRIMER SIGNALER UN ABUS Sonia Lyes Une soixantaine d’étudiants représentant plusieurs campus d’Alger ont tenu un sit‑in nocturne jeudi pour dénoncer l’agression dont a été victime une étudiante en début de soirée, a‑t‑on appris vendredi auprès d’un membre de la coordination nationale autonome des étudiants (CNAE). Selon cette source, la victime a été agressée « verbalement puis physiquement », en début de soirée, par un agent de sécurité alors qu’elle collait des affiches appelant à la marche du 12 avril initiée par cette structure estudiantine. Aucun incident n’a été enregistré. Nos tentatives de joindre les responsables de la résidence sont restées vaines. Cet incident intervient au lendemain de l'agression d’un autre étudiant à l’université de Bejaïa. En réaction, les étudiants ont saccagé et brûlé le mobilier du rectorat. Yacine Khمشاهدة ملفه الشخصيإرسال رسالة خاصة إلى Yacine Khالبحث عن كل مشاركات Yacine Kh معلومات العضو إحصائية العضو اخر مواضيعي 0 Année blanche dans les universités Algérienne 0 L'Uninversité est en ébulition طلبة المدارس العليا يواصلون الإضراب وطلبة الجامعات يتجندون للمسيرة 2011.04.06 زين العابدين جبارة أسفرت، أمس، استفتاءات طلبة المدارس العليا عن مواصلة الإضراب المفتوح، في حين سيفصل ممثلو طلبة المدارس العليا في اجتماعهم التنسيقي اليوم في قرار المشاركة في المسيرة الطلابية التي دعا إليها عدد من طلبة الجامعات يوم 12 أفريل المقبل، حيث أشار الطالب علي ممثل طلبة المدرسة الوطنية للهندسة المعمارية وعضو اتحاد المدارس العليا أن قرار الإضراب المفتوح اتخذ بالإجماع في أغلب المدارس العليا على أن توّحد المواقف وآليات تصعيد الحركة الاحتجاجية اليوم في اجتماع الاتحاد الذي سيقرر المشاركة في المسيرة الطلابية الأسبوع المقبل أو مقاطعتها.
Yacine Khمشاهدة ملفه الشخصيإرسال رسالة خاصة إلى Yacine Khالبحث عن كل مشاركات Yacine Kh معلومات العضو إحصائية العضو اخر مواضيعي 0 Année blanche dans les universités Algérienne 0 L'Uninversité est en ébulition الإضراب المفتوح متواصل.. وانقسامات حول اجتياز الامتحانات أو مقاطعتها استفتاءات بالجامعات والمدارس العليا حول تنظيم مسيرات طلابية زين العابدين جبارة خلص، أمس، الاجتماع التنسيقي بين ممثلي المدارس العليا، إلى العودة إلى الطلبة قصد استفتائهم في تجمعات بساحات المدارس والمعاهد، حول طريقة التصعيد في حركتهم الاحتجاجية، التي تدخل شهرها الثاني في ظل رفض الوصاية تعديل نتائج الندوة الوطنية للتعليم العالي، المنعقدة في الـ27 من الشهر المنقضي، كما شهدت مختلف كليات وأقسام جامعات الوطن، تجمعات مماثلة قصد مشاورة الطلبة حول قرار الاستمرار في الإضراب المفتوح ومقاطعة الامتحانات، أو استئناف الدراسة لتجنب السنة البيضاء، كما شرع العديد من ممثلي الطلبة في التعبئة لمسيرات طلابية.
|
|||
|
|
رقم المشاركة : 15 | |||
|
Ils défient Rachid Harraoubia |
|||
![]() |
| الكلمات الدلالية (Tags) |
| ماستر ماج, مرسوم ماستر |
|
|
المشاركات المنشورة تعبر عن وجهة نظر صاحبها فقط، ولا تُعبّر بأي شكل من الأشكال عن وجهة نظر إدارة المنتدى
المنتدى غير مسؤول عن أي إتفاق تجاري بين الأعضاء... فعلى الجميع تحمّل المسؤولية
Powered by vBulletin .Copyright آ© 2018 vBulletin Solutions, Inc