شروط جديدة للاستفادة من التقاعد

[mesoleil8]

Il a été à contre-courant de toutes les inquiétudes exprimées le 21 septembre dernier lors de la journée d’information et de sensibilisation sur le recouvrement des cotisations de la sécurité sociale quant à la pérennité du système de sécurité sociale, toutes caisses confondues. Il, c’est le directeur général de la Caisse nationale des retraites (CNR) qui était l’invité aujourd’hui de la radio nationale.
Slimane Melouka a été d’une assurance déconcertante en affirmant que l’équilibre financier de la CNR n’est pas menacé et que cette structure arrive à verser les pensions, al********s et autre reversions aux deux millions sept cents mille retraités mensuellement.
Il a affirmé que la crise que traverse le pays du fait de la chute drastique des prix du pétrole n’impactera en rien sur le système de retraite. « Les acquis seront maintenus. Ils ne seront jamais remis en cause », a-t-il soutenu. La pérennité du système est garantie. Surtout que la caisse s’est vue renflouée de 1% de plus que les 17,75% représentant la quote-part des cotisations de la Caisse nationale des assurés sociaux. Et pour étayer ses propos, l’invité de la radio indique qu’aujourd’hui le marché de l’emploi est en pleine expansion, ce qui fait qu’il y a plus de cotisations.
Par ailleurs, le Dr Melouka a précisé que pour le moment l’organisme qu’il dirige n’a pas été instruit pour revoir l’âge de départ à la retraite. Il reste à 60 ans, tout comme seront maintenues la retraite anticipée, celle sans conditions d’âge (32 ans de service) et enfin la retraite proportionnelle. Il a soutenu que le système de retraite en Algérie est l’un des meilleurs au monde. En ce sens que l’assiette de calcul de la retraite se fait sur les 5 années, voire sur les 5 meilleures années de salaires. Il ajoutera qu’aucun retraité classique ne perçoit en-deçà du SNMG.
Abordant le volet modernisation, le directeur général de la caisse de retraite a rappelé que son organisme a facilité beaucoup de choses aux pensionnés qui perçoivent leur rémunération par voie de CCP. Depuis quelques mois, en effet, ils peuvent se passer de ce service en lui préférant le circuit bancaire pour peu qu’ils transmettent leur numéro de compte à la Caisse. Quant au mandat électronique, véritable casse-tête pour les retraités, il a été purement et simplement supprimé dans toutes les postes, à l’exception de celles qui se trouvent dans les régions enclavées.
Autre facilitation. Nos aînés n’auront plus à justifier d’un certificat de vie en se déplaçant dans les structures. Pas plus qu’il ne leur sera exigé un certificat de décès ou de mariage. Ces mesures entrent en vigueur le 1er novembre prochain. Date à partir de laquelle la CNR s’adressera aux collectivités locales (APC) auxquelles elle s’est connectée pour avoir les informations nécessaires.

Il a été à contre-courant de toutes les inquiétudes exprimées le 21 septembre dernier lors de la journée d’information et de sensibilisation sur le recouvrement des cotisations de la sécurité sociale quant à la pérennité du système de sécurité sociale, toutes caisses confondues. Il, c’est le directeur général de la Caisse nationale des retraites (CNR) qui était l’invité aujourd’hui de la radio nationale.
Slimane Melouka a été d’une assurance déconcertante en affirmant que l’équilibre financier de la CNR n’est pas menacé et que cette structure arrive à verser les pensions, al********s et autre reversions aux deux millions sept cents mille retraités mensuellement.
Il a affirmé que la crise que traverse le pays du fait de la chute drastique des prix du pétrole n’impactera en rien sur le système de retraite. « Les acquis seront maintenus. Ils ne seront jamais remis en cause », a-t-il soutenu. La pérennité du système est garantie. Surtout que la caisse s’est vue renflouée de 1% de plus que les 17,75% représentant la quote-part des cotisations de la Caisse nationale des assurés sociaux. Et pour étayer ses propos, l’invité de la radio indique qu’aujourd’hui le marché de l’emploi est en pleine expansion, ce qui fait qu’il y a plus de cotisations.
Par ailleurs, le Dr Melouka a précisé que pour le moment l’organisme qu’il dirige n’a pas été instruit pour revoir l’âge de départ à la retraite. Il reste à 60 ans, tout comme seront maintenues la retraite anticipée, celle sans conditions d’âge (32 ans de service) et enfin la retraite proportionnelle. Il a soutenu que le système de retraite en Algérie est l’un des meilleurs au monde. En ce sens que l’assiette de calcul de la retraite se fait sur les 5 années, voire sur les 5 meilleures années de salaires. Il ajoutera qu’aucun retraité classique ne perçoit en-deçà du SNMG.
Abordant le volet modernisation, le directeur général de la caisse de retraite a rappelé que son organisme a facilité beaucoup de choses aux pensionnés qui perçoivent leur rémunération par voie de CCP. Depuis quelques mois, en effet, ils peuvent se passer de ce service en lui préférant le circuit bancaire pour peu qu’ils transmettent leur numéro de compte à la Caisse. Quant au mandat électronique, véritable casse-tête pour les retraités, il a été purement et simplement supprimé dans toutes les postes, à l’exception de celles qui se trouvent dans les régions enclavées.
Autre facilitation. Nos aînés n’auront plus à justifier d’un certificat de vie en se déplaçant dans les structures. Pas plus qu’il ne leur sera exigé un certificat de décès ou de mariage. Ces mesures entrent en vigueur le 1er novembre prochain. Date à partir de laquelle la CNR s’adressera aux collectivités locales (APC) auxquelles elle s’est connectée pour avoir les informations nécessaires.