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قديم 2010-05-03, 21:44   رقم المشاركة : 1
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السلام عليكم
اريد بحث في مادة الفرنسية على اي حاجة زعما الحرقة ولا التلوث ولا المخذرات المهم تاع المشاكل
عن اقرب وقت من فضلكم









 


قديم 2010-05-03, 21:48   رقم المشاركة : 2
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Pollution

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Pollution v · d · m Pollution de l'air Pluie acideIndice de qualité de l'airAtmospheric dispersion modelingChlorofluorocarbureAssombrissement globalRéchauffement climatiqueBrume de beau tempsDiminution de la couche d'ozoneAérosolSmogPollution intérieure Pollution de l'eau EutrophisationDésoxygénationPollution marineAcidification de l’océanMarée noireRuissellementPollution thermiqueEaux uséesMaladie hydriqueQualité de l'eauEau stagnante Pollution du sol BioremédiationHerbicidePesticide Pollution radioactive Actinides dans le milieuRetombée radioactiveFaibles doses d'irradiation Autres types de pollution Pollution lumineusePollution sonorePollution visuelle Législations Clean Air ActClean Water ActProtocole de KyotoWater Pollution Control ActProtocole de Montréal Principales organisations DEFRAAdemeEnvironmental Protection AgencyGlobal Atmosphere WatchGreenpeaceNational Ambient Air Quality Standards Sujet relatif Environnement
Déchets dans le canal de Lachine à Montréal



Fumées industrielles généralement chargées de résidus de combustion


La pollution désigne la dégradation d'un biotope par l'introduction, généralement humaine, de substances ou de radiations, entraînant une perturbation plus ou moins importante de l'écosystème[1]. Elle peut aussi avoir pour cause un phénomène géologique comme une éruption volcanique[2].
La pollution d'origine humaine peut avoir un impact très important sur la santé et dans la biosphère comme en témoigne l'exposition aux polluants et le réchauffement climatique qui transforme le climat de la Terre et son écosystème, en entraînant l'apparition de maladies inconnues jusqu'alors dans certaines zones géographiques, des migrations de certaines espèces, voire leur extinction si elles ne peuvent s'adapter à leur nouvel environnement biophysique.
C'est après la Seconde Guerre mondiale qu'une prise de conscience des répercussions des activités humaines sur l'environnement voit le jour via la naissance de l'écologisme. Les préoccupations environnementales conduisent les gouvernements à prendre des mesures pour limiter l'empreinte écologique polluante des populations humaines et pour contrer des activités humaines contaminantes .
Sommaire

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Définition [modifier]

Étymologie [modifier]

Pollution vient du latin pollutio qui signifie « salissure », « souillure »[3].
Sens ancien [modifier]

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (février 2010).
Si vous connaissez le thème traité, merci d'indiquer les passages à sourcer avec {{Référence souhaitée}} ou, mieux, incluez les références utiles en les liant aux notes de bas de page. (Modifier l'article)

Historiquement, la pollution est la contamination (d'une personne, d'un lieu, etc.) par des substances impures, c'est-à-dire inappropriées au contexte (au sens religieux). C'est donc un mot d'origine religieuse, et qui, de fait, conserve un caractère sacré assez marqué.[réf. nécessaire]
Jusqu'au milieu du XXe siècle, son seul usage non religieux était médical : il désignait l'émission de sperme en dehors d'activité réellement sexuelle, principalement durant le sommeil des adolescents.[réf. nécessaire]
Une définition contemporaine du terme pollution est un phénomène ou élément perturbateur d'un équilibre établi et plus particulièrement si cet élément est nuisible à la vie. La pollution peut être anthropique (c'est-à-dire créée par l'Homme) ou d'origine non humaine
Le Dictionnaire de l'environnement. Les termes normalisés[4] de l'AFNOR définit le polluant comme un altéragène biologique, physique ou chimique, qui au-delà d'un certain seuil, et parfois dans certaines conditions (potentialisation), développe des impacts négatifs sur tout ou partie d'un écosystème ou de l'environnement en général.
La notion de pollution appelle donc celle de contamination d'un ou plusieurs composants des écosystèmes (air, eau, sol), d'un organisme (qui peut être l'être humain) ou d'un groupe d'organismes, ou ayant une incidence sur l'écosystème, au-delà d'un seuil ou norme. La contamination peut notamment s'étendre ou se modifier via le réseau trophique (chaîne alimentaire) (bioconcentration, bioturbation).
Pollution d'origine humaine [modifier]

Les pollutions d'origine humaine, dites aussi anthropiques, ont de nombreuses formes en pouvant être locales, culturelles, ponctuelles, accidentelles, diffuses, chroniques, génétiques, volontaires, involontaires, etc.
Cette pollution est une diffusion directe ou indirecte dans l'environnement de polluants. Ce sont souvent des sous-produits involontaires d'une activité humaine, comme les émissions des pots d'échappement. Les déchets de produits de consommation courante (emballages, batteries usagées) jetés sans précautions dans l'environnement biophysique et dans l'environnement humain, constituent également une source de pollution très fréquente. Il peut aussi s'agir de phénomènes physiques (comme la chaleur, la lumière, la radioactivité, l'électromagnétisme, etc.), dont le caractère impur ou malsain est généralement relatif car dépendant de la dose, de la durée d'exposition, d'éventuelles synergies, etc. Il est relatif :
  • soit à leur nature de « poison » pour l'Homme ou l'environnement (exemple : mercure de la baie de Minamata ; smog londonien généré par la combinaison d'un phénomène climatique naturel et d'émissions causées par le chauffage urbain) ; par extension, le simple caractère désagréable, même sans danger, peut suffire à invoquer le qualificatif de pollution là où le mot "nuisance" est souvent préféré ;
  • soit à leur nature tératogène (provoquant des malformations chez les nouveau-nés), même non associée à un caractère toxique pour l'adulte (exemple type : dioxines, radioactivité, éthers de glycol) ;
  • soit à leur nature de perturbateur endocrinien ;
  • soit, en dépit de leur caractère non directement toxique pour l'homme et les êtres vivants, à leur capacité éventuelle à changer ou perturber le fonctionnement d'un écosystème ou de la biosphère, soit en détruisant la vie (exemple : insecticides) ou ses conditions (exemple : chlorofluorocarbones détruisant la couche d'ozone), soit au contraire en surfavorisant certaines expressions (exemple : nitrates ou phosphates agricoles, favorisant une flore nitrophile au détriment des autres espèces, voire l'eutrophisation ou la dystrophisation des zones humides, baies marines, évoluant vers des zones mortes dans les cas les plus graves). Il peut aussi s'agir d'introduction d'espèces ou de pollution génétique pouvant perturber le fonctionnement des écosystèmes, c'est-à-dire l'introduction d'espèces ou de gènes dans un biotope d'où ils étaient absents (p. ex. rat musqué ou OGM) ou de pollution par des gaz à effet de serre tels que le gaz carbonique ou le méthane, cf. infra.
Pollution d'origine non humaine [modifier]

Ces pollutions peuvent être :
  • les conséquences directes ou indirectes de catastrophes naturelles, tels que le volcanisme;
  • une pollution liée à des phénomènes naturels, tels que les éruptions solaires;
  • une pollution d'un captage d'eau potable par un animal qui fera ses besoins à proximité, ou qui serait mort et en décomposition dans l'eau.
Législation [modifier]

D'un point de vue législatif, dans la plupart des pays, le mot « pollution » qualifie la contamination d'un milieu par un agent polluant au-delà d'une norme, seuil, loi, ou hypothèse ; il peut s'agir de la présence d'un élément, de chaleur ou rayonnement dans un milieu ou dans un contexte où il est normalement absent à l'état naturel. Généralement, néanmoins, ce n'est pas simplement la présence mais plutôt la surabondance de l'élément dans un milieu où il est naturellement en équilibre (par exemple un métal lourd fixé dans les complexes argilohumiques et peu biodisponible) ou présent en plus faible quantité qui crée la pollution.
La législation européenne définit la pollution comme « l'introduction directe ou indirecte, par suite de l'activité humaine, de substances ou de chaleur dans l'air, l'eau ou le sol, susceptibles de porter atteinte à la santé humaine ou à la qualité des écosystèmes aquatiques ou des écosystèmes terrestres dépendant directement des écosystèmes aquatiques, qui entraînent des détériorations aux biens matériels, une détérioration ou une entrave à l'agrément de l'environnement ou à d'autres utilisations légitimes de ce dernier » et un polluant comme une « substance pouvant entraîner une pollution, en particulier celles figurant sur la liste de l'annexe VIII » [5]. Ces définitions abordent le problème de l'eau et évitent ceux des sols qui sera traité par le biais de la directive sol [6].
En France, dans le domaine juridique, pour les produits soumis à des normes ou seuils, on ne devrait donc théoriquement parler de pollution que dans le cas de dépassement des seuils ou normes Ceux-ci sont listés dans un rapport de l'Institut national de l'environnement industriel et des risques (INERIS) [7] qui rapporte des valeurs dans un même milieu avec des unités identiques, ce qui n'est pas toujours le cas dans les textes réglementaires. Les valeurs, en vigueur au 1er mars 2006, y sont données pour information. Il convient donc après cette date de vérifier qu'elles n'ont pas été modifiées ou abrogées, et de systématiquement se référer aux textes originaux.
Inversement, en France, en l'absence de loi ou de normes spécifiques aux pollutions anciennes liées aux séquelles de guerre, des territoires que l'on sait très fortement contaminés (les forêts de la Zone rouge de Verdun par exemple) ne sont pas officiellement reconnues comme pollués ; Aucune recommendation concernant les produits alimentaires issus de ces sols ne semble jamais avoir été émises par les autorités préfectorales ou ministérielles. Ceci vaut pour les champignons qui peuvent fortement accumuler les métaux lourds, mais aussi pour les sangliers (si des analyses ont été effectuées par des "experts" de l'AFSSA ou d'autres ont montré un dépassement des normes viande, ces résultats n'ont jamais été rendu public...)
Types de pollutions [modifier]

On parle de « pollution diffuse », lorsque les sources d'un polluant sont multiples (pots d'échappement, épandage de pesticides..) et de « pollution chronique » lors d'émissions répétées ou constante de polluant, et parfois lorsqu'un polluant est très rémanent.
Pollution de l'air [modifier]

Article détaillé : Pollution de l'air.

Pollution atmosphérique au-dessus de Paris


La pollution de l'air, provoquée par des polluants dits atmosphériques est plus délicate à réglementer efficacement dans un cadre local ou national que beaucoup d'autres formes de pollutions (de même pour les pollutions marines). Des conventions mondiales concernent les polluants destructeurs de la couche d'ozone ou les gaz à effet de serre, tous capables de modifier le fonctionnement planétaire du monde vivant. Elle intègre la pollution biologique induite par des taux anormaux ou anormalement allergènes de microbes, virus, pollens ou de spores fongiques. Les effets allergènes (rhinite, conjonctivite, asthme) de ces particules biologiques sont en augmentation, et ils semblent souvent exacerbés par les polluants urbains et générés par les transports[8].
Pollution des sols [modifier]

La pollution du sol peut être diffuse ou locale, d'origine industrielle, agricole (suite à l'utilisation massive d'engrais ou de pesticides qui s'infiltrent dans les sols). Ces pollutions agricoles peuvent avoir plusieurs impacts sur la santé humaine, en touchant des nappes phréatiques d'une part et en contaminant par bioaccumulation les cultures poussant sur ces sols d'autre part.
Article détaillé : Pollution des sols.
Pollution de l'eau [modifier]

Article détaillé : Pollution de l'eau.
La pollution de l'eau peut avoir diverses origines parmi lesquelles :
  • l'industrie : dont ses sous-produits sont une des sources de pollution de l'eau parmi les plus importantes. Il s'agit essentiellement de produits chimiques et d'hydrocarbures (dégazage).
  • les eaux usées : qui si elles ne sont pas traitées correctement peuvent être une source de pollution de l'eau. Dans des pays développés comme en France, des législations ont été mises en place obligeant à un traitement des eaux usées, ce type de pollution devient donc de moins en moins important
Pollution par type ou agents polluants [modifier]


Signalisation de produit polluant



Le brûlage illégal de déchets à l'air libre est une source commune de pollution


La « pollution sensitive ». Récemment, les termes « pollution sonore » et « visuelle » ont été proposés pour désigner la nuisance croissante censée être provoquée par les sons agressifs (voiture, train, avion, musique), les images violentes ou considérées comme telles (essentiellement la publicité et la télévision) ou un urbanisme déplaisant. Le terme a été spécifiquement choisi pour relier la pollution « physique » et la pollution « mentale », sans que ce terme se réduise à désigner un dérangement psychique : en effet, il est possible que les « pollutions sonores », notamment, induisent des états de stress et provoquent des maladies somatiques.
Mesures, cartographies [modifier]

Des atlas ou cadastres des pollutions se mettent peu à peu en place aux échelles communales à mondiales pour certains polluants, concernant les émissions et/ou les pollutions de stock.
L'Europe dispose d'un registre européen des émissions polluantes (Eper) couvrant cinquante polluants (eau et air uniquement), émis par les principales (grandes et moyennes) installations industrielles. Il a permis de conclure [9] mi 2007 à un « bilan mitigé ». Si on observe une diminution de deux tiers des cinquante polluants industriels suivis, notamment azotés dans l'eau (-14,5% dans l'eau), phosphore (-12 % dans l'eau) et dioxines et furanes (-22,5% dans l'air); ces améliorations sont contrebalancées par une hausse des émissions de certains polluants dont le CO2 que la commission espérait réduire grâce à l'introduction du système communautaire d'échange de quotas d'émission.
L'Eper sera en 2009 remplacé par un registre européen des rejets et des transferts de polluants (PRTR européen) construit à partir des données de 2007, cette fois pour plus de 91 substances d'industries dans 65 domaines d'activité. Et les émissions diffuses du trafic autoroutier, chauffage domestique et l'agriculture» y seront ajoutées [10].
Au niveau local, des Samu de l'environnement se créent en France, dont l'objectif principal est de fournir des laboratoires mobiles capables de mesurer rapidement et sur site pollué plusieurs centaines de paramètres physico-chimiques et biologiques.
Indicateurs [modifier]

L'étude de l'impact d'un polluant est du domaine de l'écotoxicologie. Il est cependant difficile de mesurer l'impact de polluants multiples agissant en synergies, comme cela est le cas par exemple pour le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles. L'application de l'écotaxe ou du principe pollueur-payeur a nécessité que l'on crée des indices de pollution. L'une des unités retenues en France est le métox, mais uniquement pour huit polluants de type métaux et métalloïdes (arsenic, cadmium, chrome, cuivre, mercure, nickel, plomb et zinc).
Règlementations [modifier]

Règlementation internationale [modifier]

Plusieurs conventions internationales portent sur les pollutions marines, animées par les commissions OSPAR et HELCOM notamment.
La Commission européenne a présenté le 9 février 2007 un projet de directive visant à condamner de manière uniforme au sein de l'Union européenne les crimes environnementaux [11]. Actuellement (février 2007), la définition varie fortement d'un État membre à l'autre, avec des sanctions jugées souvent "insuffisantes" par la Commission. Franco Frattini, le Commissaire chargé de la Justice, à la liberté et à la sécurité a déclaré que 73% des « crimes verts » sont causés par les entreprises, il fallait donc les pénaliser plus fortement. C'est ainsi que des amendes allant de 750 000 euros à 1,5 million euros peuvent être infligées, ainsi que pour les personnes, des peines de prison allant de 5 à 10 ans [12].
Les crimes pris en compte par ce projet sont notamment :
  • émissions illicites de substances dangereuses
  • transport illicite de déchets
  • commerce illicite d'espèces menacées
Réglementation en France [modifier]

Si la loi LAURE précise que la source de pollution est l’activité humaine, il existe des sources de gaz toxiques naturelles tels que le volcanisme, cause de gigantesques émissions dans certaines régions. La pollution urbaine est engendrée essentiellement par les activités humaines : déplacements, distribution d’essence, usines, chauffages, incinérateurs... Les sources humaines polluantes sont surtout concentrées en milieu urbain, là où les populations exposées aux conséquences sont elles-mêmes concentrées. À Paris, ville très peu industrialisée, la pollution est due principalement aux transports automobiles et pour une petite partie aux activités fixes (usines, chauffages, incinérateurs).
Loi sur l'eau [modifier]

La loi n° 92-3 sur l'eau du 3 janvier 1992 vise une gestion globale de la ressource en eau et des milieux aquatiques. Elle s'appuie sur des principes de partage de cette ressource entre les usagés et de protection des écosystèmes. Elle soumet à un régime de déclaration et d'autorisation (selon le même principe que la réglementation sur les I.C.P.E) certaines installations, ouvrages et travaux entraînants un prélèvement sur les eaux superficielles ou souterraines, une modification du niveau ou du mode d'écoulement des eaux ou un rejet. La Mission Inter-Service de l'Eau (MISE), regroupement départementale des services de l'État (DDASS, DDAF, DDE, DRIRE, DIREN, …) est chargée d'assurer la police de l'eau.
Afin de permettre une gestion équilibrée de l'eau, la France a été découpée en six bassins versants hydrogéographiques principaux. Sur chacun de ces bassins les modalités de cette gestion sont définies dans un Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE). Ce document se développe en trois points :
  • un état des lieux des milieux aquatiques, et des ressources,
  • les objectifs de gestion, de qualité et de quantités à atteindre,
  • les mesures à prendre pour satisfaire ces objectifs.
Afin de permettre une gestion plus proche des exigences locales, un outil à l'échelle de plus petites unités hydrogéographiques (sous-bassins) a été mis en place : le Schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE).
Réglementation sur les installations classées [modifier]

Elle vise à réglementer les installations susceptibles de présenter un danger pour l'environnement, le voisinage ou la personne. Ces installations appelées I.C.P.E. (Installations Classées pour la Protection de l'Environnement), répertoriées dans une nomenclature, sont tenues avant leur mise en activité ou avant un changement ou une diversification de leur activité de présenter un dossier en préfecture répertoriant toutes les nuisances qu'elles sont susceptibles de provoquer et les moyens qu'elles comptent mettre en œuvre pour les prévenir et les réparer le cas échéant. Les activités ainsi répertoriées sont soumises soit à une simple déclaration (dépôt du dossier) soit à une autorisation pour les installations présentant les risques les plus importants. La déclaration doit tout de même faire l'objet d'un récépissé attestant que le dossier est complet et conforme à la législation.
Principe du pollueur-payeur [modifier]

Article détaillé : Principe pollueur-payeur.
Le principe du pollueur-payeur est le fait de faire assumer la charge financière de la prévention, de la réduction et de la lutte contre la pollution au pollueur. Dans cette optique, les équipements et produits polluants sont plus taxés que des produits dits écologiques. Des incitations financières, comme des réductions d'impôts, visant à promouvoir le développement des énergies renouvelables sont appliquées. Et lors d'une catastrophe écologique (comme une marée noire), le pollueur est censé assumer le nettoyage des zones contaminées.
Position de l'Église catholique [modifier]

La pollution de l'environnement a été évoquée le 9 mars 2008 par Mgr Gianfranco Girotti, régent de la Pénitencerie apostolique, comme une forme moderne du péché.
Contrairement à ce que certains médias ont affirmé, les formes de péché qu'il a citées ne sont pas de nouveaux péchés capitaux, mais Mgr Gianfranco Girotti a seulement insisté sur la définition collective du péché, alors que l'accent est traditionnellement mis sur la dimension individuelle : « Alors que le péché concernait jusqu’à présent plutôt l’individu, aujourd’hui, il a une résonance sociale, en raison de la mondialisation »[13],[14]
Notes et références [modifier]

  1. Adapté de la définition de l'OCDE, 1974, (en)[pdf]Transboundary transfer of potentially hazardous substances [archive]
  2. Encyclopédie Larousse de 2009
  3. « Pollution » sur le site atilf.fr Trésor informatisé de la langue française.
  4. . Lexique français-anglais, anglais-français. Paris La Défense, AFNOR, 1994.- 307 p
  5. (fr) Directive 2000/60/CE du Parlement européen et du Conseil du 23 octobre 2000 établissant un cadre pour une politique communautaire dans le domaine de l'eau [archive], 23 octobre 2000, Parlement européen. Mis en ligne le 22 décembre 2000, consulté le 20 octobre 2007
  6. (fr) Fiche de procédure - Environnement: stratégie pour la protection et l'utilisation durable des sols [archive], Parlement européen. Consulté le 20 octobre 2007
  7. (fr) Synthèse des valeurs réglementaires pour les substances chimiques, en vigueur dans l'eau, l’air et les denrées alimentaires en France au 1er mars 2006 [archive], juin 2006, Institut national de l'environnement industriel et des risques. Consulté le 20 octobre 2007
  8. Article [archive] Synergie entre pollens et polluants chimiques de l'air : les risques croisés, Environnement, Risques & Santé. Volume 1, Numéro 1, 42-9, Mars - Avril 2002, Synthèses
  9. second rapport d'évaluation, par l'Agence européenne de l'environnement (AEE)
  10. (fr) Communiqué de la Commission [archive], du 7 juin 2007
  11. (fr) L'UE s'attaque à la "criminalité environnementale" [archive], dépêche de l'AFP du 9 février 2007
  12. (fr) Bruxelles veut pénaliser les crimes contre l'environnement [archive], dans le quotidien Le Monde du 7 février 2007
  13. Aucun nouveau péché n'a été inventé in La Croix, 11 mars 2008 et sur le site [archive]
  14. Le Monde, 11 mars 20









قديم 2010-05-03, 21:51   رقم المشاركة : 3
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قد يساعدكـ هذا الرآآبط أخي ،، موفق

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pollution









قديم 2010-05-03, 22:21   رقم المشاركة : 4
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احم احم بارك الله فيك شكرا جزيلا وفقكي الله
جغلها الله في ميزان حسناتك










قديم 2010-05-04, 12:09   رقم المشاركة : 5
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شكرا سمية وامينة عل البحث










قديم 2010-05-04, 13:05   رقم المشاركة : 6
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viva l'alegerie
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Mh51

Une drogue est un composé chimique, biochimique ou naturel, capable d'altérer une ou plusieurs activités neuronales et/ou de perturber les communications neuronales. La consommation de drogues par l'homme afin de modifier ses fonctions physicologiques ou psychiques, ses réactions physicologiques et ses états de conscience n'est pas récente. Certaines drogues peuvent engendrer une dépendance physique ou psychologique. L'usage de celles-ci peut avoir pour conséquences des perturbations physiques ou mentales. Pour désigner les substances ayant un effet sur le système nerveux, on parle plus généralement de psychotrope.
Le terme « drogue » recouvre essentiellement deux aspects : la nature des effets biologiques que la drogue induit d'une part et, d'autre part, les rapports que celui qui la consomme entretient avec elle. Il faut qu'un composant chimique donné soit consommé pour qu'il puisse répondre à l'appellation de « drogue ». Le mode et la fréquence de consommation influe directement sur l'accoutumance ou la dépendance au produit.
Un système de régulation de la production, du commerce et de la consommation des drogues a été mis en place au cours du XXe siècle. Les règles édictées par les États tiennent compte des implications politiques, sociales et sanitaires de la consommation de drogues et déterminent la réglementation de leur usage ou leur interdiction. Une politique de prohibition plus ou moins généralisée a également été mise en place pour les produits stupéfiants. La législation mise en place permet donc elle aussi de préciser la notion de drogue
Notions intégrées par le terme « drogue »

L'usage du terme « drogue » peut prêter à confusion car il relève d'une sémantique multiple[4]. La prise en compte de plusieurs paramètres permet de mieux cerner la notion de drogue. Pour Pierre-Arnaud Chouvy, « la drogue est tout d'abord un produit d'origine animale, végétale ou synthétique, qui, introduit dans l'organisme par quelque moyen que ce soit, a sur celui-ci des effets biodynamiques, et qui peut, dans certains cas, créer une accoutumance plus ou moins grave »[4].
La notion de drogue, en plus d'être caractérisée par des éléments biochimiques, est également caractérisée par la législation internationale sur les stupéfiants. La première convention internationale sur le sujet s'est tenue en 1909 à Shanghai et concernait surtout l'opium et ses dérivés. De nombreuses conférences internationales se sont tenues (conventions internationales de 1961, 1971 et 1988), et ont permis de réguler la production, le commerce et la consommation des produits définis comme « stupéfiants ». Cependant, les contours du terme restent flous, puisque la nature de l'emploi d'une même substance peut déterminer son caractère licite ou illicite[4].
Le terme « drogue » recouvre donc plusieurs aspects : la nature des effets biologiques que la drogue induit d'une part, et d'autre part les rapports que celui qui la consomme entretient avec elle. Il faut qu'un composé chimique donné soit consommé pour qu'il puisse répondre à l'appellation de « drogue ». C'est le mode et la fréquence de consommation qui créé l'accoutumance ou la dépendance au produit. On peut donc penser que c'est le consommateur (à travers ses modes de consommation), plus que le produit qui détermine quelle substance sera, pour lui, une drogue[5]. Un troisième élément permettant de définir une drogue sont les normes imposées par une société donnée. Ces trois éléments permettent d'appréhender la drogue comme un phénomène de société[4].
On constate grâce à ces éléments qu'un même produit peut occuper des places différentes dans des systèmes de valeurs et de modes de vie différents. En conséquence, le même produit peut devenir une panacée ou un fléau pour une société. Le cas de la coca permet d'illustrer ce propos : elle représente une menace pour les États-Unis, alors qu'elle symbolise l'identité culturelle bolivienne pour les boliviens[6].
Cette différence d'approche d'un même produit est liée à la notion de tolérance socioculturelle, selon laquelle dans un pays où une substance est produite, un état d'équilibre relatif s'installe entre cette substance et les usagers où elle est intégrée dans un rituel social, mystique ou religieux. Ce rituel s'accompagne d'une tradition de l'usage du produit véhiculant des prescriptions d'utilisation, les quantités à utiliser, les dangers relatif à l'usage[1].
Au vu de ces éléments anthropologiques, il est donc nécessaire de prêter attention aux divers systèmes de valeurs dans lesquels sont intégrés les produits psychoactifs. Chouvy pense que les différentes utilisations et perceptions des drogues sont caractérisées par des recours à des références à la tradition et à la modernité qui peuvent être contradictoires[4]. Tradition et modernité désignent ici des mouvements historiques ; ce qui impose également de faire preuve d'un relativisme historique quand on souhaite traiter des problématiques liées à la drogue. Ce relativisme historique est aussi important que le relativisme culturel évoqué plus haut[4].
Les représentations collectives de la drogue

Dans les années 1960 et notamment dans les sociétés occidentales, le terme drogue prend progressivement un sens péjoratif synonyme du terme stupéfiant[2],[7],[8],[9] se limitant aux psychotropes illégaux[7][10] (par exemple dans « trafic de drogue »). Ce glissement du sens du terme est attribué à la mise en place des législations internationales et à l'émergence d'un phénomène massif de toxicomanie. Dans cette vision légaliste, l'alcool ou le tabac ne sont donc pas considérés comme des drogues malgré les comportements compulsifs qu'ils peuvent induire.
Ce sens péjoratif est renforcé par un imaginaire populaire nettement différent entre l'alcool, les médicaments psychotropes et les drogues où l'usage ancestral et chamanique des psychotropes s'efface en quelques décennies au profit d'une imagerie négative symbolisée par quatre représentations déchéance, compulsion, irresponsabilité et animalité[11]
L'évolution linguistique décrite précédemment témoigne d'une rupture culturelle quant au rapport aux substances psychotropes[8]. En effet, le rapport entre l'homme et les drogues est considéré comme un phénomène anthropologique majeur[4].
Pour R.E Schultes et A. Hofmann, il semble évident que l'utilisation des « plantes à drogue » [12] remonte aux premiers pas de l'homme dans la connaissance de son environnement végétal. Ces plantes permettent alors à l'homme de rentrer en contact avec un autre monde, le monde des esprits, un royaume surnaturel[13]. C'est de cette division que naitra une division entre le monde sacré et le monde profane. Les rapports qu'entretient l'homme avec les drogues ont influencé l'élaboration de systèmes de valeurs, en établissant par exemple « un ordre spatial à la surface de la terre en correspondance avec un ordre cosmique, surnaturel, idéologique qui fait partie intégrante de leur patrimoine culturel »[14].
Les traces d'utilisation de plantes hallucinogènes remontent si loin dans la préhistoire que certains auteurs[15],[16] estiment que l'idée de Dieu aurait pu apparaître chez les hommes à la suite d'expériences hallucinatoires[4].
La notion de drogue ne peut être séparée des contextes culturels au sein desquels elle évolue. En effet, les représentations collectives que des sociétés culturelles se font d'un seul et même produit peuvent se révéler diamétralement opposées. Chouvy souligne de plus que le relativisme est de rigueur quand on aborde la notion de drogue, et qu'il faut distinguer les représentations collectives, qui sont partiales, partielles et contradictoires, des réalités objectives, qui se traduisent par des données objectives, mais qui sont insuffisantes[4].
Les différentes acceptions

La notion de drogue peut être utilisée pour recouvrir plusieurs réalités, qui prennent en compte la relation particulière qu'entretient un individu ou une nation avec un produit considéré[4].
Certains organismes définissent la drogue comme étant un synonyme du terme scientifique substance psychoactive, expression neutre sans connotation juridique[17].
En France, l'Académie Nationale de médecine adopte la définition suivante du terme drogue :

« Substance naturelle ou de synthèse dont les effets psychotropes suscitent des sensations apparentées au plaisir, incitant à un usage répétitif qui conduit à instaurer la permanence de cet effet et à prévenir les troubles psychiques (dépendance psychique), voire physiques (dépendance physique), survenant à l'arrêt de cette consommation qui, de ce fait, s'est muée en besoin.[...] En aucun cas le mot drogue ne doit être utilisé au sens de médicament ou de substance pharmacologiquement active[18]. »
L'Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies (OFDT) propose la définition suivante pour le terme « drogues » :
« Produit psychoactif naturel ou synthétique, utilisé par une personne en vue de modifier son état de conscience ou d’améliorer ses performances, ayant un potentiel d’usage nocif, d’abus ou de dépendance et dont l’usage peut être légal ou non.[19] »
Les professeurs David Cohen et Guilhème Pérodeau rappellent que :
« En d'autres termes, aucune caractéristique chimique ne peut distinguer entre un psychotrope appelé « drogue » et un autre appelé « médicament ».[20] »
Pour l'Institut de santé publique belge une drogue est une substance psychoactive utilisée à des fins non-médicales[21].
Juridiquement, le terme « drogue » renvoie aux substances illicites par opposition à d’autres substances telles l'alcool, la nicotine ou les médicaments psychotropes[22].
Le terme drogue est parfois utilisé par extension pour qualifier produit causant un comportement compulsif incluant une dépendance ; on parle alors de toxicomanie. De plus, le terme « drogue » est également utilisé pour désigner l'objet d'une addiction (des comportements répétés et supposés par le sujet prévisibles, maîtrisables). On peut citer par exemple les achats compulsifs, la dépendance à Internet, les dépendance au jeu vidéo, le jeu pathologique, la sexualité ou le surentraînement sportif[23],[









قديم 2010-05-04, 13:06   رقم المشاركة : 7
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viva l'alegerie
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افتراضي

أتمنى لو أكون أفدتك ولو بالقليل










قديم 2010-05-04, 18:26   رقم المشاركة : 8
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ABDOU26260
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افتراضي

شكرااااااااااااااااااااااااا جزيييييييلا على البحث هذا خير لاخاطش الاخرين قع دارو على التلوث بارك الله فيكم جمييييييييييييعا










 

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(الفرنسية, )بحث, ممكن, مساعدة


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