L'Algérie vient de perdre l'un des ses meilleurs fils HOCINE Ait Ahmed qui est d'ailleurs le dernier des historiques de notre glorieuse révolution.
Sa disparition inéluctable est moins douloureuse que son bannissement de la mémoire des Algériens pour qui Ait Ahmed demeure simplement un chef de parti , un opposant farouche du pouvoir alors qu'il fut un grand révolutionnaire de la trempe de Larbi Benmhidi, une vérité pas ou peu évoquée par le pouvoir. Ait Ahmed est un homme dont l' Algérie digne doit être fière de lui. Hélas notre histoire "officielle" reste un déni de la réalité.