A mon humble avis, je crois que le problème n'est pas la qualité des enseignants ni des élèves. Si nous faisons une petite comparaison entre les anciens programmes de français dans les années 70/80, on va remarquer que déjà à l'école primaire, on demande à l'enfant l'impossible. Sans qu'il apprenne les lettres de l'alphabet, on commence à lui demander de lire un mot ou une phrase; ce qui va engendrer le refus de la part de l'élève voire l'abandon dès ses premières années d'apprentissage de la langue. Ce problème va augmenter lorsqu'il passe au moyen et au secondaire. Et puis, je ne vois pas l'utilité de demander à l'élève certaines choses comme la typologie d'un texte, les Q.C.M qui ont fait de l'apprenant un automate, au lieu de réfléchir et d'analyser un texte, il ne fait que deviner au "pif" et donner une réponse qui pourrait être correcte. Là, on a tué cet esprit d'analyse chez l'enfant et créé chez lui cet esprit de plagia et de tricherie faute d'incompétence et d'incapacité. Ce n'est qu'un point de vue et je remercie celui qui a soulevé ce problème car il mérite un bon DEBAT.
