2-L’ovule porteur d’un chromosome X est fécondé par un spermatozoïde de signe Y. Dans ce cas, on aura une paire de chromosome X Y et un garçon naîtra de cette conception.
La distinction sexuelle ne s’opèrera pas immédiatement, car à ce stade, les cellules ne sont pas encore spécialisées. Mais, entre la sixième et la septième semaine du développement de l’embryon, le gène TDF va s’exprimer pour faire évoluer la gonade en testicule. En son absence, elle se transformera en ovaire.
Le point fondamental qu’il faudrait mettre en exergue est que le sexe de l’enfant est décidé au moment même de la fécondation. A l’instant précis où le spermatozoïde pénètre dans l’ovule et fusionne, non seulement le choix du sexe est arrêté, mais également toutes les caractéristique futures de l’individu sont définies. En conséquence, la nature du sexe dépend uniquement du père, car il est le seul à posséder le chromosome Y qui aboutit à la formation des enfants du sexe mâle .La mère ne joue aucun rôle actif dans le déroulement du phénomène.
Une réalité qui a été découverte tout au long du vingtième siècle, et qui est aussi résumée dans le Coran. Le Livre Sacré admet, en effet, explicitement que les sexes mâle et femelle dérivent de la semence paternelle, comme on peut lire ci-après : « C’est Lui (Dieu) qui a créé le couple, le mâle et la femelle, à partir d’une goutte de sperme lorsqu’elle est émise ».
Le couple symbolise les sexes mâle et femelle, créés à partir du sperme lorsqu’il est émis dans l’utérus et qu’il féconde la femme. La semence contient les éléments qui déterminent effectivement si le nouvel être doit être un garçon ou une fille. Par ailleurs, en tenant compte que le sperme n’est que le terrain nourricier du spermatozoïde, lequel est l’agent fécondant, comme cela est admis par le coran, alors la signification du verset devient très claire. Le spermatozoïde
Se voit reconnaître la faculté d’engendrer le sexe mâle ou le sexe femelle, selon le message dont il est porteur, et ce, au moment de la conception (à partir d’une goutte de sperme l’ors qu’elle est émise). Un attribut qui relève uniquement du père.
C’est ce que déclarent textuellement les scientifiques en cette fin de vingtième siècle, après avoir exploré si longtemps les secrets les plus profonds des gènes et des chromosomes.
Une fois de plus, les révélations coraniques se trouvent confirmées par la science dans la recherche de la vérité.
Les croyances populaires qui attribuaient aux forces occultes le soin de procéder au sexe de l’enfant ont été sérieusement remises en cause par le Texte Sacré.
