ãÔÇåÏÉ ÇáäÓÎÉ ßÇãáÉ : l'integration de tous les contractuels
integration
2011-10-18, 14:30
voir ca http://www.elwatan.com/actualite/enseignants-contractuels-2700-enseignants-titularises-18-10-2011-143915_109.php
al ikhlasse
2011-12-12, 19:26
Çááå ÃßÈÑ................¿¿¿¿¿¿¿¿
al ikhlasse
2011-12-12, 19:32
ãÇ ÏÎáÔ ÝáÌÑíÏÉ
integration
2011-12-12, 20:03
cet aricle je l'ai edite ca fait un bon moment
fatia tizi
2011-12-12, 20:42
http://www.elwatan.com/actualite/les-enseignants-contractuels-reclament-leur-integration-12-12-2011-150687_109.php
vous lisez svp la reaction de lecteur et faites un commentaire, ce monsieur croit que nous ne pouvons pas enseigner par manque de capacité
integration
2011-12-12, 20:49
azul tu es d'ou ?
integration
2011-12-12, 20:51
il est peut etre jaloux
integration
2011-12-12, 20:57
je dois quitter je vous laisse mon e mail si tu l'accepterai
akra_m
integration
2011-12-12, 20:58
akra_m12
hotmail
fr
all_lamia
2011-12-13, 10:05
Après avoir signé leurs PV d’installation, les enseignants contractuels se trouvent dans l’impasse, car les responsables des établissements refusent leur intégration dans leurs nouveaux postes.
Les enseignants contractuels, hors spécialité, crient à la hogra. Ils sont depuis une semaine devant le siège de l’annexe du ministère de l’Education nationale, au Ruisseau (Alger). Des dizaines d’enseignants, dont des femmes avec leurs bébés et d’autres enceintes, tiennent un sit-in permanent devant cette institution. Affiliés au Syndicat national autonome du personnel de l’administration publique (Snapap), ces contractuels, venus de 18 wilayas, sont déterminés à aller jusqu’au bout de leur unique revendication, à savoir l’intégration. Karima Doucha est assise sur le trottoir, sous un parapluie. Elle protège du soleil sa fille âgée d’à peine une année.
Elle est là depuis une semaine ; elle passe même les nuits sur ce trottoir. Journaliste de formation, cette mère de famille venue de Aïn Defla est, depuis 6 ans, enseignante de langue française à Ouled Berahma, une région montagneuse, dans la wilaya de Aïn Defla. «Je vais rester ici jusqu’à l’obtention de l’intégration. Mon premier enfant, je l’ai perdu à cause de ce poste : j’avais repris le travail une semaine après l’accouchement. Deux mois après, je perdais mon fils», fait savoir cette jeune mère. Elle n’a pas eu droit ni au congé de maternité ni au congé de décès : «Je suis restée absente trois jours, et le directeur m’a menacée de déclarer que je suis en abandon de poste.»
Elle reprend le boulot sous la menace. Le code du travail ne prend pas en compte le deuil des contractuels. Après tant de sacrifices, l’enseignante est déterminée à continuer le combat qu’elle a commencé depuis des années. «Mes élèves n’avaient jamais eu de professeur de français. Ils étaient en 5e année quand j’ai commencé à leur apprendre l’alphabet», révèle-t-elle.
Karima et ses collègues réclament leur intégration après plusieurs années de service dans l’éducation. L’intégration des enseignants hors spécialité par la direction de l’éducation d’Alger s’est répandue comme une traînée de poudre dans toutes les wilayas. «Des enseignants qui sont dans le même cas que nous (hors spécialité) ont été intégrés», déclare Yacine Kerai, venu de Bordj Bou Arréridj. Il s’interroge sur les dessous de cette décision.
D’après lui, le décret est appliqué dans de nombreuses wilayas exceptées Alger, Boumerdès et Bouira. Il s’agit «d’une erreur», telle est l’explication donnée par les responsables de la tutelle à ces enseignants qui crient à la discrimination.
Cette explication a été donnée également aux enseignants recrutés hors spécialité par la direction d’Alger-Est.
Après avoir signé un PV d’installation, ces enseignants se trouvent dans l’impasse.
Les responsables des établissements leur refusent l’intégration dans leurs nouveaux postes. Un groupe d’enseignants tiennt un sit-in parallèle de l’autre côté de la rue pour dénoncer l’attitude de la tutelle : «On nous a fait signer un PV d’installation. Mais ils veulent l’annuler sous prétexte qu’ils ont fait une erreur», dénonce une enseignante au bord de la dépression.
fatia tizi
2011-12-13, 10:06
Azul ,je suis une X enseignante(francais) au primaire a ain defla,merci pour votre e mail
integration
2011-12-13, 11:00
azul cava alors vous habitez a ain defla. pour l'msn juste pour une amitie.
hydraulique51
2011-12-13, 17:16
malheureusement
fatia tizi
2011-12-13, 17:26
oui malheuresement mon frére , on et dans un pays d'injustice, décret hors décret des biologistes enseigne le francais mais les agro non
l'économiste enseigne les maths mais statéstique non
philo enseigne au primaire droit science d'info et de communication non
pourquoi pas un concours pour toute les spécialités et la transparence dans la correction et que les meilleurs gagnent
vous ne voyez pas que l'enseignement est un dont plus le savoir?
integration
2011-12-13, 18:39
la logique en algerie est dans la mer
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