ãÔÇåÏÉ ÇáäÓÎÉ ßÇãáÉ : áäÌÚá åÐå ÇáÕÝÍÉ ãÑÇÌÚÉ ááãÇÌíÓÊÑ ÈíæáæÌí ÏÑæÓ+ßÊÈ +ÊãÇÑíä ...ÇáÎ Çáßá íÔÇÑß" ÇáÊËÈíÊ"
biosamir
2011-10-04, 09:21
áäÌÚá åÐå ÇáÕÝÍÉ ãÑÇÌÚÉ ááãÇÌíÓÊÑ ÈíæáæÌí Çáßá:dj_17: íÔÇÑß æ äÈÏÇ È ãÇÌíÓÊÑ ÇáÌáÝÉ :mh31:
biosamir
2011-10-04, 09:22
I1. GENIE GENETIQUE
1. Enzymes utilisées en Biologie moléculaire
- Nomenclature
- Mode d’action
2. Mutagénèse : aspects appliqués
- Mutagénèse classique
- Mutagénèse dirigée
3. Recombinaison in-vitro, clonage et manipulation génétique
- Différentes sources possibles et préparation de l’ADN à cloner
- Différents types de vecteurs et leur particularité
- Stratégies de recombinaison de l’ADN à cloner avec l’ADN vecteur
- Les cellules hôtes et les différents modes de transfert de l’ADN
- Construction de banques
- ADN génomique
- ADN complémentaire (ADNc)
- Sélection et criblage des clones recombinants
- Méthodes d’analyse du gène purifié
- hybridation
- restriction et séquençage
- Expression des gènes clonés
- Applications, perspectives et limites du clonage
biosamir
2011-10-04, 09:23
BIOCHIMIE
I. Structure des glucides
1. Monosaccharides et dérivés
2. Oligosaccharides
3. Polysaccharides
4. Micro-polysaccharides
II. Structure des lipides
1. Lipides simples
2. Lipides complexes
III. Structure des prot‚ines
1. Amino acides
2. Peptides et protéines
IV. Enzymologie
1. Catalyse et cinétique des réactions enzymatiques
2. Structure des enzymes
3. Mécanisme des réactions enzymatiques
4. Spécificité de l'action enzymatique
V. Structure des vitamines et des coenzymes
VI. Bioénergétique (Phosphorylation et photophosphorylation)
VII. Structures des acides nucléiques
biosamir
2011-10-04, 09:25
MICROBIOLOGIE ALIMENTAIRE
I. INTRODUCTION : Rappels sur la classification des micro-organismes
- Les unités de la classification biologique
- Notion de l’espèce bactérienne
- Notion de clone, biotype
- Les différents types de classification
II. LES GRANDS GROUPES MICROBIENS INTERESSANT LA
MICROBIOLOGIE ALIMENTAIRE
1. Les ferments lactiques
- Définition et métabolisme fermentaire
- Propriétés générales et habitats
- Classification et étude de quelques genres
- genre : Strepotococcus
- genre : Leuconostoc
- genre : Lactobacillus
- genre : Lactococcus
- Rôle et importance pratique (acidification, activité protéolytique, production d’arômes, de viscosité, de gaz, de dextranes, dosages microbiologiques,...)
2. Les entérobactéries
- Caractères généraux du groupe
- Classification et techniques d’identification
- Etude de quelques genres
- genre : Escherichia
- genre : Klebsiella
- genre : Salmonella
- genre : Shigella
- genre : Proteus
3. Les bactéries sporulées (caractères généraux, siolement, identification)
- Les bactéries sporulées aérobies: étude du genre Bacillus
- Les bactéries sporulées anaérobies: étude du genre « clostridium »
4. Les microcoques (classification, caractères généraux, siolement, identification et étude du genre Staphylococcus)
5. Autres bactéries (classification, caractères généraux, siolement,
identification, intérêt)
- Les bactéries saprophytes (genre: Pseudimonas et Acetobacter)
- Les bifidobactéries
- Les vibrions
- Les actinobactéries
- Les brucelles
6. Les levures
- Caractères généraux
- Classification
- Rôles dans l’alimentation (utiles et nuisibles)
7. Les moisissures
- caractères généraux
- Classification
- Rôles dans l’alimentation (utiles et nuisibles)
III. LES ALT2RATIONS MICROBIENNES DES ALIMENTS ET
LES MOYENS DE LUTTE
1. Les divers aspects de la bactériologie alimentaire
2. Les facteurs influençant la flore d’altération des aliments
- Les facteurs du milieu (pH,potentiel d’oxydo-réduction, Aw, température, état des nutriments en présence, effect des sels, effet du sucre,...)
- Les facteurs induits par l’effet de traitements physiques et physico-chimiques
3. Les moyens de lutte
- Les moyens physiques
- inhibition à basse température
* effets de la réfrigération
* effets de la congélation
* problèmes posés par les germes psychrophiles
- destruction thermique
* effets des traitements de thermisation, blanchiment, pasteurisation et stérillisation sur les micro-organismes
* problèmes posés par les germes sporulés
- effets des pressions partielles en O2 ,N2 et CO2 sur la prolifération des micro-organismes
- effets de la bactofugation et de la filtration
- effets des radiations
- Les moyens chimiques et biologiques
- acidification du milieu
- addition du sel (cas des germes halotolérants)
- addition d’antiseptiques
- addition d’antibiotiques
- autres moyens
IV. CATEGORIES D’ALIMENTS ET ACTIVITES MICROBIENNES
1. Les sucres et les produits riches en sucres
2. Les céréales et ses dérivés
3. Les légumes et les fruits frais
4. Les laits et les produits laitiers
5. Les viandes et les produits carnés
biosamir
2011-10-04, 09:26
MICROBIOLOGIE GENERALE
CHAPITRE I. Le monde microbien
1. Historique
2. Place des microorganismes dans le monde vivant
3. Caractéristiques générales de la cellule procaryote
CHAPITRE II. La cellule bactérienne
1. Techniques d'observation de la cellule
2. Morphologie cellulaire
3. La paroi
3.1. Composition chimique
3.2. Structure moléculaire
3.3. Fonctions
3.4. Coloration de Gram
4. La membrane cytoplasmique
4.1. Composition chimique
4.2. Structure
4.3. Fonctions
5. Le cytoplasme
5.1. Ribosomes
5.2. Substances de réserve
6. Le chromosome
6.1. Morphologie
6.2. Composition chimique
6.3. Structure
6.4. Réplication
7. Les plasmides
7.1. Structure
7.2. Réplication
7.3. Propriétés
8. Capsule
8.1. Morphologie
8.2. Composition chimique
8.3. Fonctions
9. Les cils et flagelles
9.1. Mise en évidence
9.2. Structure
9.3. Fonctions
10. Spore
10.1. Morphologie
10.2. Structure
10.3. Phénomène de sporulation
10.4. Propriétés
10.5. Germination
11. Bactéries intracellulaires
11.1. Chlamydies
11.2. Rickettsies
CHAPITRE III. Classification Bactérienne
CHAPITRE IV. Nutrition Bactérienne
1. Besoins élémentaires
2. Facteurs de croissance
3. Facteurs physiques
CHAPITRE V. Croissance Bactérienne
1. Mesure de la croissance
2. Paramètres de croissance
3. Courbes de croissance
4. Culture des bactéries
CHAPITRE VI. ****bolisme microbien
1. Enzymes
2. Types respiratoires
3. Métabolisme des glucides
4. Métabolisme des lipides
5. Métabolisme des protéines
CHAPITRE VII. Les agents antimicrobiens
1. Définitions
2. Action antimicrobienne
3. Agents antimicrobiens physiques
4. Agents antimicrobiens chimiques
5. Agents chimiothérapeutiques
CHAPITRE VIII. Introduction à la mycologie : Les levures
1. Classification
2. Morphologie cellulaire
3. Méthodes d'isolement
4. Méthodes d'identification
5. Reproduction
CHAPITRE IX Les virus
1. Morphologie des virus
1.1. La capside
1.1.1. Symétrie cubique
1.1.2. Symétrie hélicoïdale
1.2. Les enveloppes
2. Virus spécifiques des Eucaryotes
2.1. Virus à ARN
2.2. Virus à ADN
3. Virus spécifiques des procaryotes
4. Résistance des cellules aux virus
CHAPITRE X Rôles des microorganismes dans l'industrie
1. Rôle utile
2. Rôle néfaste
biosamir
2011-10-04, 09:27
åÐÇ ãáÎÕ Òíä äÊÇÚ ãíßÑæÈíæáæÌí ÌäíÑÇá
åäÇ (http://www.fsr.ac.ma/cours/biologie/BERRAHO/Cour%20de%20Microbiologie%20S3%20-%20SVI.pdf)
biosamir
2011-10-04, 09:41
Element de Biochimie: COURS DES GLUCIDES (http://www.fsr.ac.ma/cours/biologie/bakri/Chapitre%20Glucides.Pr.BAKRI2010.pdf)
biosamir
2011-10-04, 09:47
ÊãÇÑíä Ýí ÇáßíãíÇÁ ÇáÍíæíÉ
aziz_aziz84
2011-10-04, 09:56
ÇáÓáÇã Úáíßã ÈÇÑß Çááå Ýíß ÃÎí æ ÌÒÇß Çááå ßá ÎíÑ Çä ÔÇÁ Çááå
ããßä ÊßãáäÇ ÈÇÞí ãÍÇÖÑÇÊ microbiologie alimentaire?
biosamir
2011-10-04, 09:57
1La transformation du glucose en éthanol permet la formation de combien de
: ATP, NADH, FADH2?
2/Quelle enzyme de la glycolyse catalyse chacune des réactions suivantes?
A) fructose 6-phosphate + ATP → fructose 1,6-diphosphate + ADP
B) pyruvate + CO2 + ATP → OAA + ADP + Pi
C) glucose 6-phosphate + H2O → glucose + Pi
D) PEP + ADP → pyruvate + ATP
E) fructose 1,6-diphosphate + H2O → fructose 6-phosphate + Pi
F) glucose + ATP → glucose 6-phosphate + ADP
G) OAA + GTP → PEP + CO2 + GDP
Choix :
1) pyruvate carboxylase5) fructose diphosphatase
2) PEP carboxykinase6) hexokinase
3) pyruvate kinase7) glucose 6-phosphatase
4) PFK
2-7 :En partant du glucose, quel est le rendement énergétique (en équivalent
d’ATP) pour l’hydrolyse complète d’une molécule de glucose en CO2 et H2O?
2-8 :En partant du glycogène, quel est le rendement énergétique (en équivalent
d’ATP) pour l’hydrolyse complète d’une molécule de glucose en CO2 et H2O?
biosamir
2011-10-04, 09:58
Glycolyse (glucose → 2 pyruvate) :2 ATP + 2 NADH
Fermentation alcoolique (2 pyruvate → éthanol) :-2 NADH
Bilan2 ATP
ÑÍíÞ ÇáÞáæÈ
2011-10-04, 10:00
ÔßÑÇÇÇÇ ÇÎ ÓãíÑ ããßä ÊÞæáí ãÇÐÇ ÊÏÑÓ
biosamir
2011-10-04, 10:00
exo2
A(2), B(7), C(4), D(1), E(5), F(6), G(3).
biosamir
2011-10-04, 10:01
biologie cqa djelfa
biosamir
2011-10-04, 10:03
aziz_aziz84 ÑÇäí äÍÇæá äæÌÏåã æ äÏíÑåã åäÇ æ ßá ãä íãááß ÇáÏÑæÓ íÚÇæäÇ æ áÇ ÊßÊÝæ ÈÇáãÔÇåÏÉ
aziz_aziz84
2011-10-04, 10:07
ÔßÑÇ Úáì ÇáÑÏ
åá ãä ÊÚÑÝ ãä íÄØÑ ÇáãÇÌÓÊíÑ åÐÇ ÇáÚÇã ÔßÑí Ãã ÝÖíáí¿
biosamir
2011-10-04, 10:07
Glycolyse (glucose → 2 pyruvate) :2 ATP + 2 NADH
Pyruvate déshydrogénase
(2 pyruvate → 2 acétyl-CoA) :2 NADH
Cycle de Krebs (2 acétyl-CoA → CO2 + H2O)6 NADH + 2 FADH2 + 2 ATP
Bilan 10 NADH + 2 FADH2 + 4 ATP
10 NADH X 3 =30 ATP
2 FADH2 X 2 =4 ATP
4 ATP
38 ATP
biosamir
2011-10-04, 10:09
ÇáãÇÌíÓÊÑ ÈÇÓã ÇáÈÑÝí ÔßÑí æáßä ÇáÇáÊÇØíÑ ãÌãæÚÉ ãä ÇáÓÇÊÐÉ ãäåã ÇáÏßÊæÑ Èæ ØíÈÉ æ ÇáÓÊÇÐ ãÕØÝÇæí ...............ÇáÎ
biosamir
2011-10-04, 10:10
Glycogénolyse (glycogène → glucose 6-P) :0
Glycolyse (glucose 6-P → 2 pyruvate) :3 ATP + 2 NADH
Pyruvate déshydrogénase
(2 pyruvate → 2 acétyl-CoA) :2 NADH
Cycle de Krebs (2 acétyl-CoA → CO2 + H2O)6 NADH + 2 FADH2 + 2 ATP
Bilan 10 NADH + 2 FADH2 +5 ATP
10 NADH X 3 =30 ATP
2 FADH2 X 2 =4 ATP
5 ATP
39 ATP (au lieu de 38)
ÑÍíÞ ÇáÞáæÈ
2011-10-04, 10:11
biologie cqa djelfa
ãÑÓí ÇÎí ÇäÇ ßÐáß ÇÏÑÓ MICROBIOLOGIE ALIMENTAIRE æ Çä ÔÇÁ Çááå ÇÐÇ ÞÈáæäí åÇÐí ÇáÓäÉ ãÇÓÊÑ cpa
biosamir
2011-10-04, 10:12
4. Les acides aminés, peptides et
polypeptides
biosamir
2011-10-04, 10:14
Çä ÔÇÁ Çááå íÞÈáæß æ íÝÊÍæ ãÇÓÊÑ 2 ÎÈÑíäí ÈÇ äÓÌá ãÚÇßã æ ÇÐÇ ÚäÏß ÏÑæÓ microbiologie alimentaire
ÑÍíÞ ÇáÞáæÈ
2011-10-04, 10:17
Çä ÔÇÁ Çááå íÞÈáæß æ íÝÊÍæ ãÇÓÊÑ 2 ÎÈÑíäí ÈÇ äÓÌá ãÚÇßã æ ÇÐÇ ÚäÏß ÏÑæÓ microbiologie alimentaire
ßí íÝÊ꾂 ãÇÓÊÑ 2 äÞæáß æÒíÏ æÒíÏ æíä ÍÇÈ ÊÞÑÇ
Çíå æÇÔ ãä ãÞÇííÓ ÈÇáÖÈØ ÊÍæÓ
biosamir
2011-10-04, 10:18
Classez chacun des 20 acides aminés « naturels » dans l’une des quatre
catégories suivantes.
A) acides aminés à chaîne latérale non polaire
B) acides aminés à chaîne latérale polaire, non chargée
C) acides aminés à chaîne latérale chargée positivement (basique)
D) acides aminés à chaîne latérale chargée négativement (acide)
ÇáÇÌÇÈÉ
A(16), B(9), C(14), D(10), E(5), F(4), G(3), H(1), I(12), J(20), K(13), L(15), M(2), N(7),
O(17), P(18), Q(19), R(6), S(11), T(8).
biosamir
2011-10-04, 10:19
ãÝåãÊÔ ÓÄÇáß æíä ÍÇÈ äÞÑì
biosamir
2011-10-04, 10:22
ÞÕÏß ãÇÓÊÑ ãÇ åãÔ Çáãåã äßãá ÇáÞÑÇíÉ
biosamir
2011-10-04, 10:22
Le traitement d’un polypeptide avec le β-mercaptoéthanol libère deux polypeptides ayant
la séquence suivante :
(1) Gln-Pro-Val-Glu-Ser-Cys-Ala-Cys-Leu-Gly-Cys-Met-Leu
(2) Asn-Glu-His-Ala-Cys-Pro-Ser-His-Leu-Ile
Une hydrolyse à l’élastase de la protéine intacte libère les fragments ayant la composition
en acides aminés suivante :
(3) (Gln, Pro, Val)
(4) (Glu, Ser)
(5) (Ala, 2 Cys, Leu, Met)
(6) (2 Cys, Gly, Leu, Pro, Ser)
(7) (Ala, Asn, Glu, His)
(8) (His, Ile, Leu)
Question :
Quelle est la position des ponts disulfures dans la protéine originale?
Réponse
L’élastase coupe après Ala, Gly, Ser et Val (sauf si Pro suit).
Gln-Pro-Val ↓ Glu-Ser ↓ Cys-Ala ↓ Cys-Leu-Gly ↓ Cys-Met-Leu
Asn-Glu-His-Ala ↓ Cys-Pro-Ser ↓ His-Leu-Ile
ÑÍíÞ ÇáÞáæÈ
2011-10-04, 10:27
ÞÕÏß ãÇÓÊÑ ãÇ åãÔ Çáãåã äßãá ÇáÞÑÇíÉ
[COLOR="Magenta"]ÔæÝ ÇÎí ßÇíä ãÇÓÊÑ Ýí ÇáãÑßÒ ÇáÌÇãÚí ÈÇáÈÑÌ cpa [/COL
ÇÎÑ ÇÌá áÇíÏÇÚ ÇáãáÝÇÊ 6 ÇßÊæÈÑ 2011
biosamir
2011-10-04, 10:35
æÇÔ ãä ÊÎÕÕ ãÇÓÊÑ2 ÇäÇ ÚäÏí ãåäÏÓ cqa
íÞÈáæäí æáÇ æÇáæ æÇäÇ ãÓÊÚÏ äÞÑ Ýí ÇÎÑ ÇáÏäíÇ
biosamir
2011-10-04, 10:40
ÇáãáÝ æÇÔ Ýíå
ÑÍíÞ ÇáÞáæÈ
2011-10-04, 10:42
æÇÔ ãä ÊÎÕÕ ãÇÓÊÑ2 ÇäÇ ÚäÏí ãåäÏÓ cqa
íÞÈáæäí æáÇ æÇáæ æÇäÇ ãÓÊÚÏ äÞÑ Ýí ÇÎÑ ÇáÏäíÇ
ÔæÝ ÇÎí ÇáãÇÓÊÑ åí cpa æ íÍÞ ÇáÊÑÔÍ áÇí ØÇáÈ ãÊÎÑÌ ÍÇãá áÔåÇÏÉ áíÓÇäÓ äÙÇã ÌÏíÏ Çæ ãÇ íÚÏáåÇ ãä ÇáäÙÇã ÇáßáÇÓíßí ÔæÝ ÇáÑÇÈØ æ ÇÎÑ ÇÌá 6 ÇßÊæÈÑ æßÇíä 2 ãÇÓÊÑ ÇÎÑíä Ýí ÇáÈíæáæÌí ÇÖÇÝÉ Çáí ãÇÓÊÑ ãÑÇÞÈÉ ÇáÌæÏÉ æ ÇáÊÍÇáíá
http://www.univ-bba.dz/images/stories/PDF/Master%202011-2012.pdf
biosamir
2011-10-04, 10:47
ÔßÑ ÇÎÊí áßä ÇäÇ äÞÏÑ äÓÌá ãÇÓÊÑ2 áÇä ÚäÏí ãåäÏÓ ÈíæáæÌÈÇ ãÑÇÞÈÉ ÇáäæÚíÉ æ ÇáÊÍÇáíá
aziz_aziz84
2011-10-04, 10:58
ÓÃáÊ Ýí ÇáÌáÝÉ Úáì ÇáÊÓÌíá Ýí ÇáãÇÓÊÑ ÞÇáæáí Çä ÇáæÒÇÑÉ ÌãÏÊ Çí ÊÓÌíá ááßáÇÓíß Ýí ÇáãÇÓÊÑ áÇäåã ÝÇÊÍíä ÇáãÇÌÓÊíÑ æ Çááå ÇÚáã
ÇáÐí ÚäÏå Çí ÌÏíÏ íÎÈÑäÇ æÌÒÇå Çááå ÎíÑÇ
aziz_aziz84
2011-10-04, 11:00
ããßä ÃÎÊ ÑÍíÞ ÇáÞáæÈ Ãä ÊÃÊí áäÇ ãä ÌÇãÚÊß ÈÇáÎÈÑ ÇáíÞíä¿
biosamir
2011-10-04, 11:01
ÇáÌáÝÉ ÝÇÊÍíä ãÇÓÊÑ 1
æ ÇáÚÇã ÇáÌÇí íÝÊÍæ ãÇÓÊÑ 2
aziz_aziz84
2011-10-04, 11:07
ããßä íÃÎ ÓãíÑ ÊÊÃßÏáí ãä ÇãßÇäíÉ ÇáÊÓÌíá Ýí ÇáÌáÝÉ ÈÇáäÓÈÉ ááßáÇÓíß Ýí ãÇÓÊÑ 1¿
ÑÍíÞ ÇáÞáæÈ
2011-10-04, 11:20
ããßä ÃÎÊ ÑÍíÞ ÇáÞáæÈ Ãä ÊÃÊí áäÇ ãä ÌÇãÚÊß ÈÇáÎÈÑ ÇáíÞíä¿
äÔæÝáß ÇÎí ãßÇäÔ ãÔßá
aziz_aziz84
2011-10-04, 11:23
ÔßÑÇ æ ÌÒÇßí Çááå ÎíÑÇ
biosamir
2011-10-04, 11:27
2 liver
microbiologie alimentaire (http://mon.univ-montp2.fr/claroline/backends/download.php?url=L1BvbHlfY291cnNftWJpb19TVElBMl8wM DcucGRm&cidReset=true&cidReq=MICROALIM)
biosamir
2011-10-04, 11:28
ããßä æÇÔ ÚäÏß
aziz_aziz84
2011-10-04, 11:31
ÚäÏí ÔåÇÏÉ ÏÑÇÓÇÊ ÚáíÇ Ýí ÇáÈíæáæÌíÇ
biosamir
2011-10-04, 11:41
ßÊÇÈ ÇÎÑ
microbiologie alimentaire
(http://diffusiondessavoirs.uomlr.fr/balado/wp-*******/uploads/2007/10/analyses_-biologiques.pdf)
biosamir
2011-10-04, 12:12
3.1 Définition
Les bactéries du genre Staphylococcus sont des coques (cocci) à Gram positif, groupés en amas ayant la forme de grappes de raisin, immobiles, non sporulés, catalase positive et oxydase négative. Parmi les 27 espèces du genre actuellement répertoriées, les principales sont Staphyloccus aureus, S.epidermidis et S.saprophyticus. L’espèce S.aureus sera prise comme type de description.
3.2 Historique
Observés par Pasteur en 1879 dans un pus de furoncle, les staphylocoques doivent leur nom à OGSTON (1881) qui les a mis en évidence dans des abcès aigus et chroniques.
3.3 Habitat
S.aureus est un commensal de la peau et des muqueuses de l’homme et des animaux (rhino-pharynx, intestin). On le trouve sur la muqueuse nasale d’un tiers environ des sujets normaux. Eliminé dans le milieu extérieur, cette bactérie peut survivre longtemps dans l’environnement.
3.4 Pouvoir pathogène
3.4.1 Caractères généraux
— Germe pyogène par excellence, S.aureus est le microbe de la suppuration.
— Certaines souches agissent aussi par libération d’une ou de plusieurs toxines (intoxication alimentaire, syndrome de choc toxique, impetigo).
La fréquence et la gravité des infections à staphylocoques sont liées à trois principaux facteurs
1. le caractère ubiquitaire du germe,
2. l’abaissement des défenses locales et générales des malades soumis à des soins intensifs, des interventions chirurgicales graves, etc.,
3. et la fréquente résistance aux antibiotiques du staphylocoque, notamment du staphylocoque hospitalier.
3.4.2 Infections staphylococciques
• Formes cutanées : atteinte plus ou moins sévère des follicules pilo-sébacés (folliculite, furoncle, anthrax), atteinte péri-onguéale (onyxis, perionyxis, atteinte du tissu sous-cutané (panaris, phlegmons). Certaines formes superficielles (impetigo) peuvent se compliquer de lésions bulleuses graves lorsque la souche de staphylocoque est productrice d’exfoliatine.
• Formes muqueuses: otites, sinusites, mastoïdites, conjonctivites.
• Formes généralisées:
1. Septicémie succédant à un foyer initial cutanéo-muqueux : diffusion par atteinte des veines (séquence : phlébite, caillot, embol septique en rapport respectivement avec action de la coagulase, de la fibrinolysine et de l’hyaluronidase). On l’observe principalement chez les sujets ayant des défenses immunitaires affaiblies, traumatisés, sujets soumis à une intervention chirurgicale grave, sujets en unité de soins intensifs, diabétiques, etc..., sujets âgés, nourrissons. Les septicémies à staphylocoques, qui sont de pronostic redoutable (20 à 30 % de mortalité), se compliquent souvent de localisations viscérales, même lorsqu’elles sont peu symptomatiques : pleuro-pulmonaires (abcès bulleux), ostéo-articulaires (ostéomyélites), uro-génitales (phlegmon périnéphrétique), cérébrales (abcès du cerveau), cardiaques (endocardite aiguè).
2. Formes intestinales: soit intoxication alimentaire par absorption de toxine préformée dans des aliments contaminés par un staphylocoque producteur d’entérotoxines, soit entérocolite aiguè pseudo-membraneuse à staphylocoque, consécutive à une antibiothérapie polyvalente massive et prolongée ayant sélectionné une souche entérotoxique.
3. Syndrome de choc toxique décrit pour la première fois en 1978 (TODD). Il associe une hypotension artérielle importante avec état de choc, de la fièvre (> 39 °C), une érythrodermie diffuse, une desquamation des paumes et des plantes une à deux semaines après le début de la maladie et une atteinte pluriviscérale (digestive, musculaire, muqueuse, rénale, hépatique, neurologique, hématologique). Fait important, les hémocultures sont négatives tandis que les prélèvements locaux permettent de cultiver S.aureus. La majorité des cas publiés sont associés à l’usage de tampons vaginaux périodiques particuliers, retirés mamintenant du marché. Les signes cliniques sont liés à la production d’une exotoxine protéique (Toxic Shock Syndrome Toxin 1 ou TSST-1). D’autres toxines (entérotoxine B ou C) seraient impliquées dans le syndrome de choc toxique. Des syndromes similaires peuvent s’observer au cours d’infections par d’autres bactéries (ex. Streptococcus A).
3.5 Etude bactériologique
3.5.1 Microscope
Cocci à Gram positif, isolés ou groupés en diplocoques ou en amas ayant la forme de grappes de raisin, de 0,8 à 1 ja de diamètre (figure 1). La grande majorité des souches sont capsulées, mais les souches peuvent perdre leur capsule par culture.
3.5.2 Culture
Comme tous les germes très répandus dans la nature, S.aureus cultive facilement sur les milieux usuels, à des conditions de pH et de température variables. Il est même capable de pousser dans des conditions hostiles, par exemple en présence de 7 % de C1Na. Ce caractère est mis à profit dans le milieu de culture sélectif hypersalé de CHAPMAN pour isoler le staphylocoque d’un prélèvement polymicrobien.
En bouillon
S.aureus donne un trouble uniforme en quelques heures
Sur gélose ordinaire
les colonies sont lisses, rondes, bombées, brillantes, opaques, de 1 mm de diamètre. Elles se pigmentent habituellement en jaune doré (aureus), parfois en jaune citron, et parfois sont non pigmentées
En gélose profonde
S.aureus pousse dans la zone d’aérobiose et dans la zone d’anaérobiose. C’est donc une bactérie aérobie-anaérobie facultative, capable de se multiplier à la surface de la peau, en aérobiose et dans les tissus mal oxygénés, plaie profonde par exemple.
3.5.3 Caractères biochimiques
S.aureus a un métabolisme aérobie prédominant et anaérobie facultatif. Il est catalase positive à la différence des bactéries du genre Streptococcus qui n’ont pas de métabolisme aérobie. Il est toutefois capable de fermenter le glucose (métabolisme anaérobie) à la différence des microcoques. Il est habituellement capable de fermenter le mannitol. Ce caractère est souvent, mais pas obligatoirement, associé à la pathogénicité. Il est utilisé dans le milieu de CHAPMAN. La fermentation se traduit par le virage au jaune du milieu de culture.
3.5.4 Facteurs de virulence de physiopathologie
3.5.4.1 Les composants de la paroi
Les composants de la paroi comme le peptidoglycane, les acides teichoïques et lipoteichoïques possèdent des effets biologiques démontrés in vitro, notamment la sécrétion de cytokines par les cellules lymphomonocytaires. Alors que le peptidoglycane est peu immunogène, les acides teichoïques (polymères linéaires du ribitol phosphate) donnent naissance à des anticorps que l’on trouve dans le sérum de malades atteints d’infection récente. Ces acides teichoïques sont les récepteurs de bactériophages (lysotypie des staphylocoques).
Des polysaccharides capsulaires sont trouvés chez 90 % des souches. Onze types capsulaires ont été décrits et les types 5 et 8 sont les plus fréquents. Cette capsule permet une meilleure résistance des souches à l’opsonisation et à la phagocytose. Certaines souches produisent un exopolysaccharide (glycocalix) qui entraîne la formation d’un biofilm engluant les bactéries et leur permettant d’adhérer aux surfaces extérieures. Certaines protéines ou glycoprotéines sont responsables de la spécificité de type. Il existe 14 sérolypes mis en évidence par réaction d’agglutination au moyen d ‘immunserums.
3.5.4.2 Facteurs d’invasion et d’adhésion
S.aureus colonise la peau et les muqueuses en adhérant aux cellules et aux composants de la matrice extracellulaire. S.aureus se fixe aux cellules par l’intermédiaire de protéines de surface, les adhésines, qui sont ancrées dans le peptidoglycane. Cinq protéines ont été caractérisées:
— La protéine A, élaborée uniquement par les souches d’origine humaine, se lie au fragment des immunoglobulines. Elle intervient dans l’opsonisation et la phagocytose;
— La protéine de liaison au collagène permet l’adhésion de S. aureus au cartilage;
— La protéine de liaison à la fibronectine permet l’adnésion de S.aureus aux caillots plasmatiques mais aussi aux biomatériaiux (cathéters, prothèses);
— La protéine de liaison au fibrinogène (dumping factor) qui provoque l’agrégation de bactéries en présence de plasma permettant de transformer directement le fibrinogène en fibrine.
— La protéine de liaison à l’élastine.
Il existe des récepteurs pour d’autres protéines plasmatiques (plasminogènes) ou tissulaires (vitronectine, laminine, sialoprotéines de l’os).
3.5.4.3 Substances élaborées par S.aureus
S. aureus élabore des protéines diffusibles douées soit d’activité toxique, soit d’activité seulement enzymatique.
Les toxines
Cinq principales toxines sont décrites chez S.aureus
— Les hémolysines ont une action cytotoxique sur de nombreuses cellules eucaryotes, notamment les globules rouges et les plaquettes. L’hémolysine Œ, secrétée par la quasi totalité des souches de S.aureus, est mise en évidence avec des hématies de mouton de boeuf ou de lapin. La perméabilisation membranaire entraîne une fuite osmotique du contenu cellulaire aboutissant à la mort des cellules. La cytolyse de plaquettes et de monocytes libère des cytokines et d’autres médiateurs de la réaction inflammatoire expliquant le choc septique des infections sévères à S.aureus. La destruction des cellules endothéliales favorise la dissémination des bactéries et les métastases infectieuses.
— La leucocidine est formée de 2 composés, codés par des gènes distincts, agissant en synergie ; elle agit sur les polynucléaires et les macrophages chez lesquels elle provoque la perte de mobilité, la dégranulation, la destruction nucléaire et la lyse cellulaire. Cette protéine a rôle important dans la formation du pus.
— L’exfoliatine est une protéine thermostable responsable des lésions d’érythrodermie bulleuse que l’on observe parfois au cours des septicémies à staphylocoques et au cours de l’impetigo. En se fixant à certaines protéines intracellulaires cutanées (profilagrine et filagrine) elle provoque une épidermolyse : décollement intra-épidermique entre le stratum granulosum et le stratum spinosum. Il y a rupture entre les cellules adjacentes suivie de celle des ponts intercytoplasmiques (desmosomes) ce qui entraîne des lésions bulleuses. 80 % des sujets adultes ont des anticorps protecteurs.
— Les entérotoxines, dont il existe 7 sérotypes différents (A, B, Cl, C2, C3, D, E) sont des protéines thermostables responsables d’intoxications alimentaires (diarrhée, vomissements, douleurs abdominales, rarement un collapsus cardiaque, qui apparaissent 1 à 6 heures après l’ingestion). De 30 à 60 % des souches de S.aureus produisent une entérotoxine. Il s’agit d’une protéine thermostable, insensible aux enzymes protéolytiques du suc digestif.
L’entérotoxine A est de loin la plus fréquente.
— La toxine responsable du choc toxique staphylococcique (TSST-1) : cette protéine antigénique entraîne la formation d’anticorps protecteurs présents chez 85 % des sujets adultes. Cette toxine, comme les entérotoxines, a un effet pyrogène et est un superantigène qui entraîne l’activation simultanée de plusieurs sous-populations lymphocytaires, ce qui entraîne la libératioin de plusieurs médiateurs (interleukine, interféron gamma, TNF alpha et bêta) responsables de la symptomatologie du choc staphylococcique.
Les enzymes non toxiques
— La coagulase-libre est une exo-enzyme coagulant le plasma d’homme ou de lapin. C’est une protéine thermostable, toujours produite par les souches de S.aureus (et non produite par S.epidermidis et S.saprophyticus). Elle active la prothrombine en thrombine. La thrombine ainsi activée agit sur le fibrinogène qu’elle tranforme en fibrine.. C’est un facteur primordial dans le pouvoir pathogène en coagulant le plasma autour des coques et en les protégeant de la phagocytose ; elle est à l’origine des thrombophlébite s suppurées.
— La fibrinolysine est caractéristique des souches pathogènes humaines. En activant le plasminogène en plasmine, elle provoque la dis******** des caillots endoveineux qui libère des micro-embols septiques, facteurs de septicémie et de localisations septiques secondaires.
— Les désoxyribonucléases (ou DNAses) sont des facteurs de destruction des noyaux cellulaires. La DNAse thermostable est spécifique de S.aureus.
— La hyaluronidase est une enzyme thermolabile hydrolysant l’acide hyaluronique, substance fondamentale du tissu conjonctif: elle favorise ainsi la diffusion des staphylocoques dans le tissu conjonctif.
— La lipase: 80 % des souches produisent cette enzyme qui semble constituer un facteur de virulence dans les abcès où, en modifiant les lipides bactériens, elles favorisent la survie des staphylocoques.
3.6 Diagnostic bactériologique
Le diagnostic bactériologique de l’infection staphylococcique est uniquement direct (mise en évidence de la bactérie). Il n’y a pas de diagnostic indirect par recherche des anticorps circulants. Le diagnostic repose sur les principales étapes suivantes
• Le prélèvement: aseptique (pour être certain que le staphylocoque que l’on va isoler n’est pas un simple commensal de la peau ou des muqueuses) et avant le début du traitement antibiotique.
• L’examen microscopique d’orientation à la recherche de cocci réguliers, à Gram positif, groupés en amas.
• La culture sur gélose ordinaire dans la majorité des cas ou sur milieu de culture sélectif, type milieu de CHAPMAN (qui contient 7 % de C1Na, du mannitol et un indicateur de pH) si le prélèvement est fortement contaminé par d’autres bactéries.
L’identification de la bactérie repose sur la mise en évidence des caractères suivants catalase (différence avec le streptocoque), fermentation du glucose en anaérobiose (différence avec le microcoque), coagulase (différence avec S. epidermidis et S. saprophyticus), DNase. thermostable (qui signe l’espèce S.aureus).
Le diagnostic sera toujours complété par la mesure de la sensibilité aux antibiotiques (antibiogramme) étant donné la fréquence de la résistance de S.aureus aux bêta-lactamines (ex. : pénicilline), aux aminosides (ex. : gentamicine) et à certains macrolides (ex. : érythromycine), notamment chez les souches hospitaliières).
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biosamir
2011-10-04, 12:18
ÈåÐÇ ÇáãáÝíä äßæä ÞÏ ßãáäÇ micro-alimentaire
micro-alimentaire1 (http://microbiologie.110mb.com/Download/BACTERIOLOGIEMEDICALE1.doc)
micro-alimentaire222 (http://microbiologie.110mb.com/Download/BACTERIOLOGIEMEDICALE2.doc)
biosamir
2011-10-04, 12:20
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biosamir
2011-10-04, 12:23
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samir djel@íÇåæ.fr (http://microbiologie.110mb.com/Download/ANALYSEMICROBIOLOGIQUEDESALIMENTSPERSONNELAIR.doc)
biosamir
2011-10-04, 12:36
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ãä ÇÌá Physico-Chimie des Eaux : (http://microbiologie.110mb.com/Download/Physico-Chimie%20des%20Eaux.doc)
biosamir
2011-10-04, 12:37
Les Milieux de Culture (http://microbiologie.110mb.com/Download/MILIEUX%20DE%20CULTURE%20photo.doc)
biosamir
2011-10-04, 12:51
Les Différents Tests microbiologiques et Biochimiques utilisés pour l'identification des sp Bactériennes. (http://microbiologie.110mb.com/Download/GALERIE%20BIOCHIMIQUE.doc)
biosamir
2011-10-04, 12:54
Manuel des TP : LAITS (http://microbiologie.110mb.com/Download/Manuel%20des%20TP%20Laits.doc)
biosamir
2011-10-04, 12:55
Manuel des TP : Eaux (http://microbiologie.110mb.com/Download/Manuel%20des%20TP%20Eaux.doc)
biosamir
2011-10-04, 13:20
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biosamir
2011-10-04, 13:41
http://m002.maktoob.com/alfrasha/up/36487034780316452.gif
biosamir
2011-10-04, 13:49
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Biochimie appliquer
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Biologie moleculaire et génie génétique
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Microbiologie alimentaire
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Physiologie végétale
http://www.ziddu.com/download/16518530/ctionsujetsMagistreBiologiebyChercheurBiologiste.r ar.html
biosamir
2011-10-04, 13:53
Analyse eau (http://www.mediafire.com/?h97tw2pwp98qpph)
http://lekraya.com/attachments/Image/analyse_de_l_eau.jpg
biosamir
2011-10-04, 13:57
http://lekraya.com/attachments/Image/micro.jpg
[Microbiologie (http://www.mediafire.com/?jeehegqo0mhhudh)
biosamir
2011-10-04, 14:02
http://lekraya.com/attachments/Image/biochimie_deboeck.jpg
biochimie (http://www.mediafire.com/?ahy9cwnnto5ua3q)
biosamir
2011-10-04, 14:04
http://www.lekraya.com/attachments/Image/aidememoire_biologie_et_genetique_moleculaire.jpg
ici (http://www.mediafire.com/?506whbe3hjfhizv)
biosamir
2011-10-04, 14:09
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http://techtweets.com.bd/en/wp-*******/uploads/2011/03/djvue.jpg
åäÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÇ (http://fastbull.dl.sourceforge.net/project/windjview/WinDjView/1.0.3/WinDjView-1.0.3-Setup.exe)
aziz_aziz84
2011-10-06, 14:08
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2011-10-06, 19:22
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aziz_aziz84
2011-10-06, 20:39
Ãíä ÃäÊ íÇ ÃÎ ÓãíÑ Çä ÔÇÁ Çááå ÑÇß ÈÎíÑ
biosamir
2011-10-07, 23:43
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badyyyyy
2011-10-08, 15:02
merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
badyyyyy
2011-10-08, 15:06
svp les coursde biochimie
pleeeeeeeeeeeeeeese
aziz_aziz84
2011-10-09, 21:25
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2011-10-10, 16:41
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biosamir
2011-10-12, 13:08
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aziz_aziz84
2011-10-12, 13:41
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biosamir
2011-10-12, 18:19
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biol lion
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2011-10-12, 23:19
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2011-10-12, 23:55
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aziz_aziz84
2011-10-13, 08:18
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2011-10-13, 11:00
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biosamir
2011-10-13, 13:41
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ÚäæÇä ßÊÇÈ
2011-10-15, 16:12
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Çáì ÇáÃÎ biosamir, ÃæáÇ ÃÑíÏ ÔßÑß Úáì ãÌåæÏÇÊß æ ãÔÇÑßÇÊß ÇáÑÇÆÚÉ
ÃÑÏÊ Çä ÃØáÈ ãäß des documents se l'intitut pasteur comme les deux exemples que tu a mis concernant les TP de l'analyse de l'eau et du lait, j'aimerais bien que tu nous donnes d'autres documents de ce genre c'est à dire de l'institut pasteur consernant les autres denrés alimentaire.j'en serais reconnaissante.
biohay2006
2011-10-16, 12:33
ÇáÓáÇã Úáíßã
ÇæÏ ØáÈ ÏÑæÓ ÌíäíÊíß æ ãáÎÕÇÊ Çä ßÇä ãä Çáããßä
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ÇáÇÎÜÜÜÜÜÜÜÜÜÊ ÚäÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜæÇä ßÊÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÇÈ ááÃÓÜÜÜÜÜÜÝ áíÓ áÏí ÏÑæÓ Ýí ãÇÏÉ ÇáæÑÇËÉ áßä ÊÓÊØíÚíä ÇáÞÇÁ äÙÑÉ Úä ÇáãÇÏÉ Ýí ßÊÇÈ Génétique Þæãí ÈÊÍãíáå æÇÈÏÆí ÇáãÑÇÌÚÉ ãä ÇÎÑ ÞÓã Ýíå -- ÕÝÍÉ 251 Génétique bactérienne
æÈÇáÊæÝíÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÞ áßí æáäÇ Çä ÔÇÁ Çááå
biosamir
2011-10-16, 14:05
genetique.rar (http://www.mediafire.com/?yy4mhvj2n3ynjls)
biosamir
2011-10-16, 17:59
http://lekraya.com/attachments/Image/genetique.jpg
ici (http://www.mediafire.com/?u34c3j89vikkzc8)
http://lekraya.com/attachments/Image/gen_pop.jpg
ici (http://www.mediafire.com/?3pwb31ft49cbtiu)
biosamir
2011-10-16, 18:28
Les bactéries lactiques
Généralités
Les bactéries
lactiques sont des micro-organismes utiles à l'homme lui permettant de
fabriquer et de conserver un nombre important de ses aliments. elles
sont surtout connues pour le rôle qu’elles jouent dans la préparation
des laitages fermentés, elles sont utilisées également dans le
saumurage des légumes, la boulangerie, la fabrication du vin, le
saurissage des poissons, des viandes et des salaisons(EUFIC,1999).
Elles sont devenues les principaux candidats probiotiques et bénéficient d’un statut GRAS (Generally Regarded As Safe) (Ait Belghanaoui, 2006).
2-Définition
Les bactéries lactiques regroupent un ensemble d'espèces hétérogènes (Labiouiet al.,2005). Ce
sont des cellules vivantes, autonomes et procaryotes (Doleyres, 2002),
dont le trait commun est leur aptitude à produire de l’acide lactique
suite à la fermentation des glucides(Ait Belghanaoui, 2006). Cette
transformation génère de une ou deux molécules d’ATP, en fonction de la
voie métabolique homo ou hétérolactique (Raimbiault, 2005)
_ Voie
d'Embden-Meyerhof : homofermentation, dont laquelle l'acide lactique
est le principale ou le seul produit du métabolisme excrété à partir du
substrat (Larpent-Gourgaud et al., 1997).
_ Voie
de Dickens-Horecker : hétérofermentation, conduisant à l’acide lactique
en mélange avec d’autres produits d’excrétion comme le CO2, acide
acétique, éthanol,…selon les microbes considérés(Bourgeois et Bouix,
1980).
3- Caractères généraux des bactéries lactiques
Les bactéries
lactiques sont des cocci ou des batonnets (Larpent, 1989) elles sont en
générale aérotolérantes. Cependant certaines espèces habitant par
exemple le tube digestif des animaux sont anaerobies strictes, même en
présence d'O2, elles sont incapables de réaliser la phosphorylation
oxydative. Elles sont Gram-positif; généralement immobiles et
asporulées (Delaglio et al., 1994).
Elles
ne possèdent ni catalase, ni nitrate réductase, ni Cytochrome oxydase.
En plus de cela ne liquéfient pas la gélatine, ne produisent pas
d'indole ni d'hydrogène sulfureux(Delaglio et al., 1994)
4- Habitat
Les bactéries
lactiques sont ubiquistes et on les trouve dans différentes niches
écologiques comme le lait et les produits laitiers, les végétaux, la
viande, le poisson, les muqueuses humaines et animales et dans le
tractus digestif (Douault et Corthier, 2000)et ont été également
retrouvées dans le sol, les engrais, et les eaux d’égout (Holzapfel et al., 1996. Cité par Givry, 2006).
5- Taxonomie des bactéries lactiques
La taxonomie des
bactéries lactiques a été basée sur la coloration de Gram et il est
possible de les classer suivant la nature des produits du métabolisme
bactérien obtenus à partir des glucides (Givry, 2006).
Les
bactéries lactiques regroupent 11 genres dont les plus étudiés sont
Lactobacillus, Lactococcus, Streptococcus, Leuconostoc, Oenococcus
Enterococcus et pediococcus (Stiles et Holzapfel, 1997. Cité par Givry,
2006)
5.1- Le genre streptococcus
Ces
bactéries sont des cocci sphériques ou ovoïdes regroupées en paires ou
en chaînettes, en générale immobiles, à partir des glucides leur
métabolisme est homofermentaire, elles produisent un certain nombre
d'agents antimicrobiens (Larpent, 1990).
5.2- Le genre lactobacillus
Le
genre Lactobacillus est quantitativement le plus important des genres
du groupe des bactéries lactiques (Euzeby, 2004), leur morphologie
microscopique varie d'une espèce à l'autre de coccobacilles aux
bacilles fines et allongés (Euzeby, 2000) On rencontre des
Lactobacillus dans la flore intestinale et la flore vaginale (Jofin,
2004).
Selon (Pilet et al., 1996) Le genre lactobacillus se subdivise en trois groupes:
·Groupe 1 :Thermobacterium
·Groupe 2 :Streptobacterium
·Groupe 3 :Betabacterium
biosamir
2011-10-16, 18:31
5.3- Le genre lactococcus
Ce
sont les streptocoques mésophiles (Hallem, 1991).Ils se présentent sous
forme de coques, qu'on trouve isolés, en paires ou en chaînettes de
longueur variable (Desmazaud, 1996), ce sont des organismes
homofermentaires ne produisant que de l'acide lactique L (+) (Delaglio,
1994).
5.4- Le genre leuconostoc
Les
cellules de leuconostoc sont des coques disposées en paires ou en
chaînes comme les streptocoques mais cette bactérie est
hétérofermentaire produisant de l'acide D (-) lactique, de l'éthanol et
du CO2, ses espèces sont caractérisées par la production à partir du
citrate du lait, de diacetyl, parfois du citrate, et de dextranes et de
levanes en présence de saccharose (Novel, 1993).
5.5- Le genre pediococcus
Les
pediocoques sont des germes microaerophiles à besoins nutritifs
complexe, leur fermentation homolactique donne parfois l'acide lactique
racémique, mais fréquemment la forme L prédomine (Guiraud, 1998).
6- Les exigences nutritionnelles des bactéries lactiques
Si les bactéries lactiques sont considérées comme un des groupes
bactériens les plus exigeants du point de vue nutritionnelle, c’est
parce qu’elles requièrent non seulement des substrats complexes
carbonés, azotés, phosphatés et soufrés, mais aussi des facteurs de
croissance comme les vitamines et les oligo-éléments dont le rôle de
cœnzyme a été déjà développé (Luquet ,1986).
6.1- Les glucides
Pour
croître, les bactéries lactiques ont besoin d'un apport de nutriments
comportant au moins un sucre fermentescible comme source d'énergie. La
fermentation des sucres s'effectue essentiellement en trois étapes.
Premièrement, le transport du sucre à travers la barrière hydrophobe de
la membrane cellulaire. Deuxièmement, le catabolisme intracellulaire du
sucre et enfin la formation et I'expulsion extracellulaire des
métabolites terminaux généralement acides (Monnet et Gripon, 1994).
Deux
types de métabolismes fermentaires sont rencontrés. Un métabolisme
aboutit de façon quasi-exclusive à la production d’acide lactique
(caractère homofermentaire). L’autre peut produire de l’acide lactique,
mais également de l’éthanol et de l’acide acétique suivant les
conditions de cultures (caractère hétérofermentaire) (Renouf, 2006)
6.2- L'azote
Les bactéries lactiques exigent aussi l'apport exogène d'acides aminés
pour leur croissance car elles sont incapables, pour la plupart, d'en
effectuer la synthèse à partir d'une source azotée plus simple
(Desmazaud, 1983).
Elles ne peuvent absorber et utiliser que des acides aminés libres, ou
des peptides courts (peptidases, dipeptidases). Leur nutrition azotée
exige donc l'hydrolyse des grandes protéines du lait, et notamment les
caséines, par des enzymes (les protéases) situées dans la paroi
extérieure de la cellule (Desmazaud, 1998).
6.3- Les vitamines
Les vitamines jouent dans le métabolisme cellulaire le rôle
irremplaçable de coenzyme. Les bactéries lactiques sont, à quelques
exceptions près, incapables de synthétiser des vitamines (Desmazaud et
De Roissart, 1994), d'où l'importance d'un apport exogène de vitamines
au milieu de culture (Cocaign-Bousquet et al., 1995).
6.4- Les minéraux
La nécessité des ions dans le métabolisme s'explique d'abord par leur
fonction de cofacteur pour de nombreuses enzymes (Novel, 1993).
Du point de vue transport, le fer est un élément important puisqu'il a
des affinités pour un grand nombre de molécules chelatrices. Il
augmente la croissance et la production d'acide lactique pour les
lactocoques et une carence en cet élément donne lieu à une diminution
de ce même acide (Boyaval, 1989).
Le potassium, quant à lui, est un cofacteur pour plusieurs enzymes
bactériennes et un niveau élevé de K+ dans le cytoplasme est requis
pour la synthèse protéique. De plus, le système du K apparaît être très
important pour contrôler le pH cytoplasmique (Desmazaud, 1983).
6.5- L'oxygène
Les bactéries lactiques sont communément appelées microaerophiles.
Ainsi, elles tolèrent de petites quantités d'oxygène, mais de trop
grandes teneurs en ce gaz peuvent leur être néfaste. La relation des
bactéries lactiques avec l'oxygène a probablement un lien avec le
peroxyde d'hydrogène (H2O2) produit dans la cellule en présence d'air.
Il faut éliminer le H2O2, car son accumulation devient toxique
(Vignola, 2002).
7- Rôle des bactéries lactiques
7.1- Rôles technologiques
7.1.1- Production d'aromes
Certaines
bactéries lactiques sont capables de produire des composés d’arômes qui
participent aux qualités organoleptiques des fromages. La plupart des
composés d’arôme sont issus du métabolisme du citrate : l’acétoïne et
le diacétyle sont les plus importants (Aubert, 1998).
7.1.2- Production d'exopolysaccharides
Certaines
souches de bactéries lactiques ont la capacité de synthétiser et
d'excréter, au cours de leur croissance, des polymères de sucre appelés
polysaccharides exocellulaires ou EPS, qui permettent d'améliorer la
texture et la viscosité du produit fini (Dupont, 1998). En général, la
présence de polysaccharides dans des produits fermentés, tels les
yogourts, permet d'augmenter l'homogénéité du produit et rend sa
présentation plus agréable (Desmazaud, 1983).
7.2- Rôle dans la conservation
Les bactéries lactiques jouent un rôle essentielle dans la conservation des produits alimentaires (Bousmaha et al.,
2005), elles sont capables de produire une variétés de produits
inhibiteurs dont les effets peuvent se répercuter sur la flore lactique
elle-même mais aussi sur la flore indésirable ou pathogène (Piard et
Desmazaud, 1991).
7.2.1- Production d'acides et diminution de pH
Les
acides organiques sont produits par les bactéries lactiques lors du
processus de fermentation et permettent d’inhiber la croissance des
levures et d’autres bactéries qui ne peuvent se développer à pH acide.
L’effet inhibiteur de ces acides organiques est principalement provoqué
par les molécules non dissociées qui diffusent à travers les couches
lipidiques des membranes des microorganismes provoquant ainsi un
abaissement du pH dans le cytoplasme qui a pour conséquence la
déstabilisation des cellules (Brillet, 2005).
7.2.2- Production de peroxyde d'hydrogène
La
production et l'accumulation de peroxyde d'hydrogène crée un
environnement toxique pour les cellules non équipées de système de
protection capable de dégrader ce composé. Son accumulation est
inhibitrice vis-à-vis des souches qui génèrent de peroxyde mais aussi
vis-à-vis d'autres microorganismes (De Roissart et Luquet, 1994).
7.2.3- Production de bactériocines
Les
bactériocines sont des substances de nature protéique synthétisées par
des bactéries et qui ont un pouvoir antibactérien dirigé contre des
bactéries taxonomiquement proches du micro- organisme producteur
(Daoudi, 2000). Ces peptides antibactériens ont une action contre les
bactéries à Gram positif associées à l’altération de la qualité
hygiénique des aliments et à certaines pathologies humaines (Ennahar,
2007).
D'autres
agents antimicrobiens sont ainsi produites : dioxyde de carbone (CO2),
l’acide acétique, le Diacétyle et l’acétaldéhyde (Drider, 2004)
8- Les bactéries lactiques et leur action probiotique
Le terme
probiotique dérive de deux mots grecs « pro » et « bios » et signifie
littéralement « en faveur de la vie » (Roberfroid, 2002). Un
probiotique est un microorganisme vivant qui est lorsqu’il est ingéré
en quantité suffisante il exerce un effet positif sur la santé
(Dacosta, 2001).
Les
bactéries lactiques sont de plus en plus utilisées en alimentation
humaine et animale pour leurs effets probiotiques (Givry, 1996). Parmi
ces effets on peut citer :
·Les
bactéries lactiques exercent un effet inhibiteur sur le développement
et la synthèse de toxines par autres microorganismes pathogènes
(Karovicova et Kohajdova, 2003) ;
·Les bactéries lactiques possèdent des propriétés antitumorales qui pourraient être due à:
oL'inactivation ou l'inhibition des composés carcinogènes dans le tractus gastro-intestinal.
oLa
réduction des activités enzymatiques des bactéries intestinales telle
que la β.glucoronidase, l'azoréductase et la nitroréductase (Chafai
,2006).
·La prévention et traitement des diarrhées dues aux infections gastro-intestinales (Lyons, 2000) ;
·Certaines
souches de bactéries lactiques ont la capacité de déconjuguer les sels
biliaires : les formes déconjuguées ont un pouvoir inhibiteur plus
important sur le développement des bactéries que les formes conjuguées ;
·Certaines
souches de probiotiques notamment les lactobacilli excrètent la
β.galactosidase souvent déficiente dans le tractus digestif de l'hôte
et facilitent la digestion du lactose, elles stimuleraient l'activité
enzymatique des microorganismes endogènes, permettant ainsi une
meilleure assimilation des aliments. Elles stimuleraient également les
activités lactase et invertase des cellules épithéliales du tractus
digestif (Larpent et Larpent-Gourgaud, 1997) ;
·La
diminution de la cholestérolémie par réduction de l’absorption
intestinale du cholestérol endogène et exogène et la diminution de sa
synthèse dans le foie (Roberfroid, 2002
Çáì ÇáÃÎ biosamir, ÃæáÇ ÃÑíÏ ÔßÑß Úáì ãÌåæÏÇÊß æ ãÔÇÑßÇÊß ÇáÑÇÆÚÉ
ÃÑÏÊ Çä ÃØáÈ ãäß des documents se l'intitut pasteur comme les deux exemples que tu a mis concernant les TP de l'analyse de l'eau et du lait, j'aimerais bien que tu nous donnes d'autres documents de ce genre c'est à dire de l'institut pasteur consernant les autres denrés alimentaire.j'en serais reconnaissante.
ÚäæÇä ßÊÇÈ
2011-10-17, 11:34
ÇáÇÎÜÜÜÜÜÜÜÜÜÊ ÚäÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜæÇä ßÊÜÜÜÜÜÜÜÜÜÜÇÈ ááÃÓÜÜÜÜÜÜÝ áíÓ áÏí ÏÑæÓ Ýí ãÇÏÉ ÇáæÑÇËÉ áßä ÊÓÊØíÚíä ÇáÞÇÁ äÙÑÉ Úä ÇáãÇÏÉ Ýí ßÊÇÈ génétique Þæãí ÈÊÍãíáå æÇÈÏÆí ÇáãÑÇÌÚÉ ãä ÇÎÑ ÞÓã Ýíå -- ÕÝÍÉ 251 génétique bactérienne
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ÚäæÇä ßÊÇÈ
2011-10-17, 11:35
genetique.rar (http://www.mediafire.com/?yy4mhvj2n3ynjls)
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Çááå íÝÊÍ Úáíß ÃÎí æ ÑÈí íæÝÞß æ ÇíÇäÇ Çä ÔÇÁ Çááå
ÚäæÇä ßÊÇÈ
2011-10-17, 11:40
http://lekraya.com/attachments/image/genetique.jpg
ici (http://www.mediafire.com/?u34c3j89vikkzc8)
http://lekraya.com/attachments/image/gen_pop.jpg
ici (http://www.mediafire.com/?3pwb31ft49cbtiu)
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2011-10-17, 16:35
ÇáÓáÇã Úáíßã
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ÓáÇÇã
aziz_aziz84
2011-10-17, 22:07
discutez les facteurs influençant la flore microbienne d 'alteration des aliments et les moyens de lutte .donnez des exemples prècis?
biohay2006
2011-10-19, 19:20
discutez les facteurs influençant la flore microbienne d 'alteration des aliments et les moyens de lutte .donnez des exemples prècis?
Réponse
1- Les les facteurs influençant la flore microbienne d 'alteration des aliments
Structures biologiques :
Caractères propres à l’aliment: La présence d’enveloppes, coques, peaux etc. confère à certains aliments une excellente protection contre
la prolifération microbienne (testas des graines, enveloppes des fruits, coquilles des noix, des oeufs, peau
des animaux, etc.)
Agents antimicrobiens naturellement présents :
Le lait frais contient des lacténines et des facteurs anti-coliformes à activité limitée dans le temps. L’oeuf
contient du lysozyme actif sur des germes à Gram positif.
Composition chimique de l’aliment :
Pour proliférer, les microorganismes doivent trouver dans l’aliment des substances nutritives. Rappelons
que les microorganismes dangereux sont pour la plupart hétérotrophes chimio-organotrophes et doivent
donc trouver leur énergie dans les composants de l’aliment
pH:
Pour un microorganisme donné, la vitesse de croissance en fonction du pH passe par un optimum. Ce sont souvent des activités enzymatiques sensibles au pH qui sont les facteurs limitants de la croissance microbienne.
Ainsi, c’est indirectement la conformation que prennent les protéines dans un milieu à un pH donné qui
est responsable de l’expression de l’activité de ces molécules. Si à un pH donné, la conformation est telle
que la macromolécule n’ait plus aucune activité, la croissance s’arrêtera si l’activité de cette
macromolécule est indispensable à la vie du microorganisme.
Par rapport au pH il est habituel de considérer deux groupes d’aliments : ceux dont
le pH est inférieur à 4,5 et ceux dont le pH est supérieur à 4,5.
Dans la première catégorie les microorganismes dangereux ne se multiplient généralement
pas et Clostridium botulinum n’élabore pas sa toxine.
L’acidophilie est une propriété que l’on rencontre surtout chez les levures, les moisissures et chez
certaines bactéries qui sont classées en fonction de la nature de l’acide qu’elles produisent (bactéries
acétiques, lactiques, propioniques, ...)
Dans les aliments dont le pH est compris entre 4,5 et 9,5, de nombreuses altérations sont susceptibles de
se produire et la plupart des bactéries pathogènes cultivent dans ces conditions.
Le pH de l’aliment favorisera d’autant mieux la prolifération qu’il sera voisin du pH optimum de
croissance.
Activité de l’eau:
Les microorganismes ont besoin, pour se multiplier, d’eau disponible ; la disponibilité de l’eau est caractérisée par son activité. Ce paramètre correspond au rapport de pression partielle de l’eau dans
l’aliment à celle de l’eau pure (aux coefficients d’activité près) :
Les microorganismes capables de se développer dans des produits à faible a
sont qualifiés de eau
xérophiles, ceux en milieux fortement sucrés ou salés respectivement d’osmophiles et de halophiles.
Les moyens d’abaisser l’activité de l’eau sont nombreux :
- physiques (congélation, déshydratation)
- additifs (salage, sucrage..)
Ils conduisent respectivement à des aliments congelés, séchés, aux salaisons et saumures, confitures et
bonbons (cf cours de technologie alimentaire).
Pour Wa < 0,65 aucun microorganisme ne peut cultiver (ils peuvent survivre).
Pour Wa <0,85 aucun microorganisme pathogène ne peut cultiver exception faite de
certaines moisissures excrétrices de mycotoxines.
Potentiel d’oxydo-réduction:
Selon leur mode de respiration, les microorganismes sont soit aérobies stricts, soit anaérobies stricts
soit aéro-anaérobies, soit micro-aérophiles ...
Ces propriétés expliquent la diversité des altérations que l’on peut rencontrer :
- les moisissures et les levures aérobies strictes se développent en surface en formant des voiles plus o
moins épais
- les levures fermentantes se multiplient en profondeur avec production de gaz
- les Clostridium ne se développent qu’en absence d’oxygène (masse , conserve..)
- les Pseudomonas ne se développent qu’en présence d’oxygène (surface)
- les Lactobacillus microaérophiles ne se développent qu’à une teneur réduite en oxygène.
Paramètres externes à l’aliment :
Température d’entreposage
Pour des températures inférieures à la température optimale de croissance, la vitesse des réactions
impliquées dans le métabolisme et donc le taux de croissance diminuent. Cependant le “froid” ne conduit
pas à une dénaturation significative des composants microbiens, ce qui conduit à une reprise des activités
métaboliques dès que la température atteint des valeurs qui se rapprochent de la température optimale de
croissance.
les thermophiles qui ont une phase de latence très courte, une phase exponentielle très rapide suivie
d’une phase de dégénérescence. Dans cette catégorie on rencontre des microorganismes capables de se
multiplier en dessus de 45°C et parfois pour certains jusqu’à 80°C. Certains thermophiles obligatoires ne
peuvent se multiplier qu’en dessus de 37°C (Lactobacillus, Propionibacterium shermanii, Clostridium
thermosaccharolyticum, Bacillus stearothermophilus ) .
Les mésophiles qui comprennent la majorité des microorganismes se développent entre 15 et 45°C. La
plupart des germes pathogènes font partie de cette catégorie.
Les cryophiles ont une température optimale de croissance voisine de 15°C. Les cryophiles obligatoires
ne se développent pas en dessus de 20°C. De nombreuses bactéries saprophytes appartiennent à ce groupe
(Achromobacter, Flavobacterium, Pseudomonas) ainsi que des moisissures (Cladosporium,
Sporotrichum, etc.). Ces germes sont aussi qualifiés de psychrophiles ou psychrotrophes.
Parmi les germes dangereux en microbiologie alimentaire capables de cultiver entre 0 et 10°C il faut citer:
Listeria monocytogenes, Clostridium botulinum, Bacillus cereus, Yersinia
enterocolytica, Vibrio parahaemolyticus, Aeromonas hydrophila, Plesiomonas shigelloïdes et
même E. coli entéropathogène.
La température la plus basse à laquelle un microorganisme a pu être observé en croissance est de - 24°C et la plus haute de 90°C.
. Humidité relative :
L’humidité relative du lieu d’entreposage influe à la fois sur l’activité de l’eau de l’aliment (équilibre
dynamique) et sur la croissance des microorganismes à la surface de cet aliment. Par exemple quand un
aliment a une activité d’eau de 0,6 il faut éviter que les conditions d’humidité relative de l’atmosphère
environnante ne conduisent à une augmentation de l’activité d’eau en surface jusqu’à une valeur
compatible avec une croissance microbienne.
Présence et concentration de gaz:
La notion d’atmosphère contrôlée est déjà ancienne. Une augmentation de la teneur en anhydride
carbonique (jusqu’à 10 %) et une diminution de la teneur en oxygène permettent une meilleure
conservation des fruits et légumes (4ème gamme) en retardant le développement de certains
microorganismes et plus particulièrement des moisissures.
Une atmosphère d’azote ou un conditionnement sous vide permet d’éviter des contaminations par des
microorganismes aérobies.
Antimicrobiens produits au cours de la fabrication de l’aliment:
Il s’agit de substances qui sont soit bactériostatiques soit bactéricides (éthanol, acides organiques comme
les acides lactique, acétique, citrique, tartrique, malique, etc. ).
L’addition de composés antimicrobiens aux produits alimentaires (additifs) ou l’utilisation d’agents
antimicrobiens divers dans l’environnement de production des aliments (agents de désinfection, de
nettoyage, etc.) .
biohay2006
2011-10-19, 19:59
Les moyens de luttes contre les agents d'altérations des alimenrs
I - GENERALITES/TERMINOLOGIE
Stérilisation
Désinfectants
Antiseptiques
Conservateurs alimentaires
Sulfamides et antibiotiques
- LOIS DE DESTRUCTION DES MICROORGANISMES
Généralités
La cellule microbienne et l’antimicrobien.
La mort microbienne
- FACTEURS INFLUENÇANT L’ACTION ANTIMICROBIENNE
Le microorganisme
Le temps de traitement
L’agent antimicrobien
L’environnement
AGENTS PHYSIQUES
La chaleur
Terminologie-Définitions
Les principaux paramètres d’évaluation des effets des tra
Facteurs de résistance à la chaleur
Technologies
Radiations électromagnétiques
Radiations électroniques
Radiations soniques
Elimination mécanique
Filtration stressante
Elimination mécanique
Centrifugation
Microondes
Hautes pressions en présence ou non de gaz
AGENTS CHIMIQUES
Les antiseptiques, les désinfectants et les conservateurs alimentaires
Mode d’action
Classification
. Agents oxydants
. Les métaux lourds et leurs sels
Les alcools
Les phénols
Les savons et détergents
Les agents alkylants
. Les colorants
Les conservateurs alimentaires
Antiseptiques de la famille des biguanidines, des
salicylanilides ou des carbanilides
Stérilisation par les gaz
Le formol
L’oxyde d’éthylène
La b-propionolactone
Le SO2
Les essences volatiles
Ozone
L’anhydride carbonique sous pression
Mesure de l’activité microbicide
. Mesure du coefficient phénol
. Méthode des portes germes
. Méthode de dénombrement
Quelques notions sur les agents chimiothérapeutiques
Mode d’action biochimique des antibiotiques
Inhibition de la synthèse d’un constituant de la cellule
Action sur la membrane cytoplasmique
. Analogie stérique avec des métabolites
. Action sur les protéines plasmatiques
. Inhibition de systèmes enzymatiques importants de la production d’énergie
Modalités de l’action antimicrobienne
Détermination de la sensibilité bactérienne in vitro aux antibiotiques
. Méthode de dilution en milieu liquide
Méthode de diffusion en milieu solide
Les sulfamides et les nitrofuranes
Les agents antituberculeux
Les antibiotiques
biosamir
2011-10-19, 21:31
viola le polycop de microbiologie alimentare
íÇ ÃÎ ÓãíÑ ÃÑÌæ Ãä ÊÑÏ Úáì ØáÈí æáæ ÈÇáÓáÈ.
biosamir
2011-10-20, 18:54
íÇ ÃÎ ÓãíÑ ÃÑÌæ Ãä ÊÑÏ Úáì ØáÈí æáæ ÈÇáÓáÈ.
rrani n7wasse w kache ma nl9a jblek w astnaye el jadid collection des livres en biologie
ÇáÓáÇã Úáíßã
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hasna-biologie
2011-10-24, 10:04
kayen 3 fautes
la premiere c la date d'acceptation de dossier c en 2012
la deuzieme c la date dimanche 25
la troisieme c planning
verso de convocation
de 13h a 17h
ÓáÇã
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ÓáÇã ááÌãíÚ :1:
æÔßæä ÚÞÈ Çáíæã Ýí amphi BÝí ãÇÌÓÊíÑ ÇáÌáÝÉ
aziz_aziz84
2011-10-26, 17:53
æ ÚáÇÔ æÔ ÕÑÇ Ýí amphi B
salam imili24 et tous les membres ana fawatit f amphi B.madaik okhti men djelfa tekedi etjebina la listes lireb7o w la liste d'attente psq 3la e7sab maesmi3na rahi la liste kharjit elbar7.
merci d'avance
ÚäæÇä ßÊÇÈ
2011-10-26, 19:25
salam imili24 et tous les membres ana fawatit f amphi b.madaik okhti men djelfa tekedi etjebina la listes lireb7o w la liste d'attente psq 3la e7sab maesmi3na rahi la liste kharjit elbar7.
Merci d'avance
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nanine_nina
2012-02-24, 23:18
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nanine_nina
2012-02-24, 23:19
ÊÍÕÕí åæ biochemie æÔßÑÇ
ÇáÇæÒÇÚí
2012-03-07, 02:44
ÇáÓáÇã Úáíßã ÇáÃÎ nanine_nina ããßä ãÓÇÚÏÉ ãä ÝÖáß ¿¿¿¿¿¿¿¿¿
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ÍÇãá ÇááæÇÁ
2012-03-26, 01:20
http://www.djelfa.info/vb/showthread.php?p=9352369#post9352369
ÑäÇÏ2012
2012-04-02, 16:15
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ÑäÇÏ2012
2012-04-02, 16:25
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ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ
2012-04-24, 15:14
ÇáÓáÇã Úáíßã ÑÈí íÚÇæäßã
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2012-04-24, 15:16
ãÓÇÁ ÇáÎíÑ ÇæÏ ÇáãÔÇÑßÉ Ýí ãÓÇÈÞÇÊ ÇáãÇÌÓÊíÑÇßæáæÌí ÇÑÌæßã ÇÚáãæäí ÈÇí ÌÏíÏ ÓáÇã
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2012-04-27, 21:36
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2012-04-29, 10:11
ãÇßÇÔ ÍÊì ãæÖæÚ¿¿¿
biologie13
2012-05-24, 19:24
ÃÑÌæ ãä ÇáÅ뾃 ÇáßÑÇã ãä áÏíåã ãÚáæãÇÊ Úä ÇáãÇÌÓÊíÑ áåÏå ÇáÓäÉ2012.2013 ãæÇÝÇÊäÇ È ÇáãÚáæãÇÊ ......Ýí ßá ÇáæáÇíÇÊ
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2012-05-29, 22:29
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2012-05-29, 22:31
https://fbcdn-sphotos-a.akamaihd.net/hphotos-ak-snc6/s320x320/75214_475805172435774_903844179_n.jpg
ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ
2012-05-29, 22:35
https://fbcdn-sphotos-a.akamaihd.net/hphotos-ak-ash3/s320x320/543024_475804532435838_100000188857830_2054000_623 771700_n.jpg
æÑÏÉ ÇáãÑíÎ
2012-05-30, 15:47
merci bcp..................
ÇáÓáÇã Úáíßã
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ÍÈí ááå ÃÔÏ
2012-06-21, 11:31
ÇáÓáÇã Úáíßã
ßíÝ ÇáÍÇá
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ÇáÓáÇã Úáíßã
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íÇÓíä 87
2012-06-24, 08:39
åá ãä ÌÏíÏ Íæá ãÇÌÓÊíÑ åÐÇ ÇáÚÇã
íÇÓíä 87
2012-06-26, 22:31
åá ãä ÌÏíÏ Íæá ãÇÌÓÊíÑ åÐÇ ÇáÚÇã
ÇáÓáÇã Úáíßã ÇäÇ ÈÍÇÌÉ Çáì ãÓÇÚÏÊßã¡ ÃÑÌæßã Ãä ÊÞæáæÇ áí ÇÓÆáÉ ÇãÊÍÇä ãÇÌÓÊíÑ ãíßÑæÈíæáæÌíÇ æåÑÇä 2010 ÇÑÌæßã áÇäí ÈÍÇÌÉ ãÇÓÉ Çáíå áÇä äÝÓ ÇáÇÓÊÇÐ ÝÊÍ åÐÇ ÇáÚÇã .
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ÇáÓáÇã Úáíßã ÑÌÇÁÇ ãä áÏíå ãÚáæãÇÊ Íæá ãÞÇííÓ ãÇÌÓÊíÑ ÇáØÇÑÝ áåÐå ÇáÓäÉ ......................ÔßÑÇ ãÓÈÞÇ .................
åÈÉ ÇáÑÍíã
2012-07-05, 15:27
Èßá ÕÑÇÍÉ ÇÎÊí ÇáÊÎÕÕ ÇáÇæá ÕÚÈ Çä ÊÌÏí Ýíå Úãá íãßä Çä ÊÚãáí ãÚ ÇáÝáÇÍíä Çæ ÇÕÍÇÈ ÇáÇÑÇÖí ÇãÇ ÇáãíßÑæÈíæáæÌíÇ Ýíãßäßí ÇáÚãá ãÓÊÞÈáÇ Ýí ÇáãÎÇÈÑ Çæ Ýí ãÑÇÞÈÉ ÇáäæÚíÉ Çæ ÍÊì Ýí ÞãÚ ÇáÛÔ ÈÇáÊæÝíÞ
áÄáÄÉ ÇáÇÓáÇã
2012-07-05, 18:28
ÇáÓáÇã Úáíßã
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áÄáÄÉ ÇáÇÓáÇã
2012-07-06, 17:33
ÇáÓáÇã Úáíßã
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2012-07-06, 22:47
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2012-07-07, 17:47
íÇÓíä 87
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ÇáÌÏíÏ åæ Ãäå Êã ÅÕÏÇÑ ÞÑÇÑ ãÊÚáÞ ÈÇáãÇÌíÓÊíÑ Ýí ÇáÚÏíÏ ãä ÌÇãÚÇÊ ÇáÌÒÇÆÑ ááÓäÉ ÇáãÞÈáÉ ÈÍæá Çááå æ ÞÏ ÕÏÑ ÈÇáÊÍÏíÏ Ýí 24 ÌæÇä 2012
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ÇáÓáÇã Úáíßã
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SNV
Biologie
Biotechnologie, Innovation Alimentaire et Santé
BENALI Mohammed
PR
SBA
8
ßäÊ ÍÇÈÉ äÖÚ pdf Ýíå ßÇãá ÇáãÇÍÓÊíÑ äÊÇÚ ÇáæØä áßä áã ÊÈáÛ ãÔÇÑßÇÊí 30
ÈÎÕæÕ ÇáãÇÌÓÊíÑ åÐå Biotechnologie, Innovation Alimentaire et Santé
Çí ÌÏíÏ ÝíåÇ ÓÃæáÝíßã Èå áÃäí ÓæÝ ÇÔÇÑß ÝíåÇ
Biologie
Biodiversité et conservation des zones humides
KERFOUF Ahmed
MC A
SBA
8
merci pour l'information asma22........je voudrais savoir si les biochimistes sont concernés par le concours de SBA et quels sont les modules en question? merci d'avance
ÇáÓáÇã Úáíßã¡ ÇäÇ ãÍÊÇÌÉ Çáì ãÓÇÚÏÊßã áÞÏ ÝÊÍ åÐÇ ÇáÚÇã ãÇÌÓÊíÑ
Microbiologie fondamentale et appliquée
æÇáãæÇÏ ÇáãÚäíÉ åí
microbiologie generale
microbiologie appliquée
ãä ÝÖáßã ÇÑíÏ ãÚÑÝÉ ÇáãÍÇæÑ ÇáÊí ÇÏÑÓåÇ Ýí ãíßÑæÈíæáæÌí ÇáÊØÈíÞíÉ áÇä áíÓ áÏí æáÇ ÝßÑÉ
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ÇáÓáÇã Úáíßã
ÇÑíÏ ÞÇÆãÉ ÇáãÇÌíÓÊíÑ ÇáãÝÊæÍÉ Ýí ÇáÔÑÞ æÇáæÓØ
CHAPITRE I. Le monde microbien
1. Historique
2. Place des microorganismes dans le monde vivant
3. Caractéristiques générales de la cellule procaryote
CHAPITRE II. La cellule bactérienne
1. Techniques d'observation de la cellule
2. Morphologie cellulaire
3. La paroi
3.1. Composition chimique
3.2. Structure moléculaire
3.3. Fonctions
3.4. Coloration de Gram
4. La membrane cytoplasmique
4.1. Composition chimique
4.2. Structure
4.3. Fonctions
5. Le cytoplasme
5.1. Ribosomes
5.2. Substances de réserve
6. Le chromosome
6.1. Morphologie
6.2. Composition chimique
6.3. Structure
6.4. Réplication
7. Les plasmides
7.1. Structure
7.2. Réplication
7.3. Propriétés
8. Capsule
8.1. Morphologie
8.2. Composition chimique
8.3. Fonctions
9. Les cils et flagelles
9.1. Mise en évidence
9.2. Structure
9.3. Fonctions
10. Spore
10.1. Morphologie
10.2. Structure
10.3. Phénomène de sporulation
10.4. Propriétés
10.5. Germination
11. Bactéries intracellulaires
11.1. Chlamydies
11.2. Rickettsies
CHAPITRE III. Classification Bactérienne
CHAPITRE IV. Nutrition Bactérienne
1. Besoins élémentaires
2. Facteurs de croissance
3. Facteurs physiques
CHAPITRE V. Croissance Bactérienne
1. Mesure de la croissance
2. Paramètres de croissance
3. Courbes de croissance
4. Culture des bactéries
CHAPITRE VI. ****bolisme microbien
1. Enzymes
2. Types respiratoires
3. Métabolisme des glucides
4. Métabolisme des lipides
5. Métabolisme des protéines
CHAPITRE VII. Les agents antimicrobiens
1. Définitions
2. Action antimicrobienne
3. Agents antimicrobiens physiques
4. Agents antimicrobiens chimiques
5. Agents chimiothérapeutiques
CHAPITRE VIII. Introduction à la mycologie : Les levures
1. Classification
2. Morphologie cellulaire
3. Méthodes d'isolement
4. Méthodes d'identification
5. Reproduction
CHAPITRE IX Les virus
1. Morphologie des virus
1.1. La capside
1.1.1. Symétrie cubique
1.1.2. Symétrie hélicoïdale
1.2. Les enveloppes
2. Virus spécifiques des Eucaryotes
2.1. Virus à ARN
2.2. Virus à ADN
3. Virus spécifiques des procaryotes
4. Résistance des cellules aux virus
CHAPITRE X Rôles des microorganismes dans l'industrie
1. Rôle utile
2. Rôle néfaste
áÄáÄÉ ÇáÇÓáÇã
2012-07-14, 16:04
ÇáÓáÇã Úáíßã
ÑÌÇÇÁ Åáì ßá ãä ÏÑÓ ÊÎÕÕ Úáã ÇáÈíÆÉ æ ÇáãÍíØ (écologie) æ áÏíå ãÚáæãÇÊ Íæá ãÇÏÉ écologie des écosystèmes aquatiques íæÇÝíäí ÈåÇ
ÌÒÇßã Çááå Úäí ÇáÝ ÇáÝ ÎíÑ
[QUOTE=samibio;10810701]CHAPITRE I. Le monde microbien
1. Historique
2. Place des microorganismes dans le monde vivant
3. Caractéristiques générales de la cellule procaryote
CHAPITRE II. La cellule bactérienne
1. Techniques d'observation de la cellule
2. Morphologie cellulaire
3. La paroi
3.1. Composition chimique
3.2. Structure moléculaire
3.3. Fonctions
3.4. Coloration de Gram
4. La membrane cytoplasmique
4.1. Composition chimique
4.2. Structure
4.3. Fonctions
5. Le cytoplasme
5.1. Ribosomes
5.2. Substances de réserve
6. Le chromosome
6.1. Morphologie
6.2. Composition chimique
6.3. Structure
6.4. Réplication
7. Les plasmides
7.1. Structure
7.2. Réplication
7.3. Propriétés
8. Capsule
8.1. Morphologie
8.2. Composition chimique
8.3. Fonctions
9. Les cils et flagelles
9.1. Mise en évidence
9.2. Structure
9.3. Fonctions
10. Spore
10.1. Morphologie
10.2. Structure
10.3. Phénomène de sporulation
10.4. Propriétés
10.5. Germination
11. Bactéries intracellulaires
11.1. Chlamydies
11.2. Rickettsies
CHAPITRE III. Classification Bactérienne
CHAPITRE IV. Nutrition Bactérienne
1. Besoins élémentaires
2. Facteurs de croissance
3. Facteurs physiques
CHAPITRE V. Croissance Bactérienne
1. Mesure de la croissance
2. Paramètres de croissance
3. Courbes de croissance
4. Culture des bactéries
CHAPITRE VI. ****bolisme microbien
1. Enzymes
2. Types respiratoires
3. Métabolisme des glucides
4. Métabolisme des lipides
5. Métabolisme des protéines
CHAPITRE VII. Les agents antimicrobiens
1. Définitions
2. Action antimicrobienne
3. Agents antimicrobiens physiques
4. Agents antimicrobiens chimiques
5. Agents chimiothérapeutiques
CHAPITRE VIII. Introduction à la mycologie : Les levures
1. Classification
2. Morphologie cellulaire
3. Méthodes d'isolement
4. Méthodes d'identification
5. Reproduction
CHAPITRE IX Les virus
1. Morphologie des virus
1.1. La capside
1.1.1. Symétrie cubique
1.1.2. Symétrie hélicoïdale
1.2. Les enveloppes
2. Virus spécifiques des Eucaryotes
2.1. Virus à ARN
2.2. Virus à ADN
3. Virus spécifiques des procaryotes
4. Résistance des cellules aux virus
CHAPITRE X Rôles des microorganismes dans l'industrie
1. Rôle utile
2. Rôle néfaste[/Q
ÔßÑÇÇ ÃÎí¡ æáßä åá åÏÇ ÈÑäÇãÌ ãíßÑæÈíæáæÌíÇ ÇáÚÇãÉ æÇáÊØÈíÞíÉ Ãæ ÇáÚÇãÉ ÝÞØ,
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chapitre i. Le monde microbien
1. Historique
2. Place des microorganismes dans le monde vivant
3. Caractéristiques générales de la cellule procaryote
chapitre ii. La cellule bactérienne
1. Techniques d'observation de la cellule
2. Morphologie cellulaire
3. La paroi
3.1. Composition chimique
3.2. Structure moléculaire
3.3. Fonctions
3.4. Coloration de gram
4. La membrane cytoplasmique
4.1. Composition chimique
4.2. Structure
4.3. Fonctions
5. Le cytoplasme
5.1. Ribosomes
5.2. Substances de réserve
6. Le chromosome
6.1. Morphologie
6.2. Composition chimique
6.3. Structure
6.4. Réplication
7. Les plasmides
7.1. Structure
7.2. Réplication
7.3. Propriétés
8. Capsule
8.1. Morphologie
8.2. Composition chimique
8.3. Fonctions
9. Les cils et flagelles
9.1. Mise en évidence
9.2. Structure
9.3. Fonctions
10. Spore
10.1. Morphologie
10.2. Structure
10.3. Phénomène de sporulation
10.4. Propriétés
10.5. Germination
11. Bactéries intracellulaires
11.1. Chlamydies
11.2. Rickettsies
chapitre iii. Classification bactérienne
chapitre iv. Nutrition bactérienne
1. Besoins élémentaires
2. Facteurs de croissance
3. Facteurs physiques
chapitre v. Croissance bactérienne
1. Mesure de la croissance
2. Paramètres de croissance
3. Courbes de croissance
4. Culture des bactéries
chapitre vi. ****bolisme microbien
1. Enzymes
2. Types respiratoires
3. Métabolisme des glucides
4. Métabolisme des lipides
5. Métabolisme des protéines
chapitre vii. Les agents antimicrobiens
1. Définitions
2. Action antimicrobienne
3. Agents antimicrobiens physiques
4. Agents antimicrobiens chimiques
5. Agents chimiothérapeutiques
chapitre viii. Introduction à la mycologie : Les levures
1. Classification
2. Morphologie cellulaire
3. Méthodes d'isolement
4. Méthodes d'identification
5. Reproduction
chapitre ix les virus
1. Morphologie des virus
1.1. La capside
1.1.1. Symétrie cubique
1.1.2. Symétrie hélicoïdale
1.2. Les enveloppes
2. Virus spécifiques des eucaryotes
2.1. Virus à arn
2.2. Virus à adn
3. Virus spécifiques des procaryotes
4. Résistance des cellules aux virus
chapitre x rôles des microorganismes dans l'industrie
1. Rôle utile
2. Rôle néfaste
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biosamir
2012-07-23, 12:17
ÇáãÌíÓÊÇÑ ÇáãÞÈæáÉ ãä ØÑÝ ÇáæÒÇÑÉ ÇáãÚäíÉ http://www.mesrs.dz/document_pub/dpgrf/PG%202012-2013.pdf
biosamir
2012-07-23, 12:30
EMD 1
Streptocoque
staphylococaceae
Neisseriaceae
Listeria / Bacillus
Corynebacterium
Haemophilus- Bordetella
Brucella
Entérobactéries
Pseudomonas / Vibrio
Helicobacter / Camphylobacter
Les Rickettsiales
Les Spirochaetales
Anaérobies
Diagnostic d'une infection
biosamir
2012-07-23, 12:32
emd 2
Chlamydia
Mycoplasmes
Mycobacteries[/b]
Legionella
Les infections respiratoires hautes
ECB du LCR
Septicemie / Hémoculture
ECB des urines
ECB des selles = coproculture
Infections suppuratives cutanées
Infections suppuratives osteo-articulaires
Infections génitales
Tests de sensibilités aux antibiotiques
Bases bactériologiques thérapeutiques
Les infections respiratoires basses
ECB des crachats
Diagnostic indirect d’une infection bactérienne[
biosamir
2012-07-23, 12:33
EMD 3
Les Herpetoviridaes
Adenoviridae / Poxviridae / Papovaviridae
Papovaviridae[/b]
Hépatite virale
Picornaviridae
Togaviridae
Orthmyyxoviridae
Paramyxoniridae
Rhabdoviridae
SIDA
Chimiothérapie antivirale
Sérum et vaccin
biosamir
2012-07-23, 12:41
Synthèse 2008/2009
1. Un patient consulte pour une urétrite purulente aiguë
a. Quels sont les prélèvements à effectuer ?
b. Quels sont les examens préliminaires à réaliser ?
c. Quels sont les milieux de culture à ensemencer ?
d. Quel est le germe suspecté ?
2. Vaccins vivants atténués :
a. Citer les procédés d’atténuation utilisés
b. Citer les virus concernés
c. Quels sont leurs places dans le calendrier vaccinal Algérien ?
Rattrapage 2008/2009
Un nouveau né de 06 jours présente une fièvre, une ponction lombaire est réalisée :
a. Quel est l’examen biologique à réaliser ?
b. Quels sont les germes suspectés ?
c. Y’a-t-il d’autres prélèvement à réaliser chez ce nouveau né ?
Au cours de son hospitalisation il présente une diarrhée aqueuse
a. Quel est le ou les prélèvements à réaliser ?
b. Décrire les étapes de diagnostic avec les germes recherchés
Au cours des différentes étapes du diagnostic aucune bactérie n’a était isolé
a. A quoi pensez-vous ?
b. Comment faire le diagnostic ?
biosamir
2012-07-23, 12:43
http://i66.servimg.com/u/f66/14/56/28/30/numari12.jpg
biosamir
2012-07-23, 12:46
åÐí ÏÑæÓ äÊÇÚ ãíßÑ ÈíæáÌí ÊØÈíÞíÉ http://i66.servimg.com/u/f66/14/56/28/30/numari13.jpg
2
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3
4
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http://i66.servimg.com/u/f66/14/56/28/30/numari14.jpg
biosamir
2012-07-23, 12:48
http://i66.servimg.com/u/f66/14/56/28/30/numari14.jpg
6
http://i66.servimg.com/u/f66/14/56/28/30/numari15.jpg
http://i66.img.coservm/u/f66/14/56/28/30/numari16.jpg
http://i66.servimg.com/u/f66/14/56/28/30/numari17.jpg
ÔßÑÇ ÇÎí Úáì ÇáãÌåæÏ æÈÇÑß Çááå Ýíß
ÊÈÚÇ ááãäト ÇáæÒÇÑí ãÓÇÈÞÇÊ ãÇÌÓÊíÑ ÇáÔÑÞ æ ÇáæÓØ ÔÈå ãäÚÏãÉÈÇáäÓÈÉ ááÈíæÔíãí, ÝÞØ íæÌÏ ãÇÌÓÊíÑ ÇáãÏÑÓÉ ÇáÚáíÇ ááÇÓÇÊÐÉ äÍÈ äÚÑÝ ÇÐÇ äÞÏÑ äÔÇÑßæ Ýíå æ ÇáÇ åæ ãÎÕÕ ÝÞØ áÎÑíÌí ÇáãÏÑÓÉ
ღ♥ღÃåãÜ æÇÍÏღ♥ღ
2012-07-24, 09:11
ÇáÓáÇã Úáíßã
ãä íÊæÝÑ áÏíå ÓáÇÓá ÊãÇÑíä ÎÇÕÉ È
génétique et amélioration des plantes
Biostatistiques
ÎÇÕÉ ÌÇãÚÉ ÓØíÝ ...
äÑÌæÇ ãÔÇÑßÊäÇ ÈåÇ ...æÝÞßã Çááå
asma biologiste
2012-07-24, 12:08
ãä ÝÖáßã ÇäÇ ÓäÉ Çæáì ÈíæáæÌí ããßä ÊÚØíæäí ÈÚÖ ÇáßÊÈ æ ÇáÏÑæÓ¿ãä ÝÖáßã
ÇæÏ ÇáÇÓÊÝÓÇÑ Úä ãÇ ÌÇÁ Ýí Çáãäト ÇáæÒÇÑí áÌÇãÚÉ ÈÌÇíÉ ÎÇÕÉ ßáíÉ Úáæã ÇáØÈíÚÉ æÇáÍíÇÉsnv ÝÇáãÓÇÈÞÇÊ æÍÊì ÇáÊÎÕÕÇÊ åí äÝÓåÇ ÇáÊí æÖÚÊ Ýí ãäト ÇáÚÇã ÇáãÇÖí ÇÑÏÊ ÇáÊÇßÏ ãä ãæÞÚ ÇáÌÇãÚÉ áßä áã íÊã äÔÑå åäÇß áßá ãä íÓÊØíÚ ÇÝÇÏÊäÇ ÈÇáÎÈÑ ÇáíÞíä ÈÇÑß Çááå Ýíßã
ÇÑÌæ ÇáãÓÇÚÏÉ æÇááå ÖÑæÑí áßá ãä áÏíå ãÚáæãÉ æÌÇÒÇßã Çááå ÎíÑÇ
[QUOTE=biosamir;10918824]Synthèse 2008/2009
1. Un patient consulte pour une urétrite purulente aiguë
a. Quels sont les prélèvements à effectuer ?
b. Quels sont les examens préliminaires à réaliser ?
c. Quels sont les milieux de culture à ensemencer ?
d. Quel est le germe suspecté ?
2. Vaccins vivants atténués :
a. Citer les procédés d’atténuation utilisés
b. Citer les virus concernés
c. Quels sont leurs places dans le calendrier vaccinal Algérien ?
Rattrapage 2008/2009
Un nouveau né de 06 jours présente une fièvre, une ponction lombaire est réalisée :
a. Quel est l’examen biologique à réaliser ?
b. Quels sont les germes suspectés ?
c. Y’a-t-il d’autres prélèvement à réaliser chez ce nouveau né ?
Au cours de son hospitalisation il présente une diarrhée aqueuse
a. Quel est le ou les prélèvements à réaliser ?
b. Décrire les étapes de diagnostic avec les germes recherchés
Au cours des différentes étapes du diagnostic aucune bactérie n’a était isolé
a. A quoi pensez-vous ?
b. Comment faire le diagnostic ?[/QUOTE
ÇáÓáÇã Úáíßã¡ ÕÍ ÑãÖÇäßã
ÔßßßßßßßßßßßßßßßßßßßßÑÇ ÇÎí ÑÈí íÍÝÙß Çä ÔÇÁ Çááå Ýí ãíÒÇä ÍÓÇäÊß ÑÈí íÝÑÍß
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ÇæÏ ÇáÇÓÊÝÓÇÑ Úä ãÇ ÌÇÁ Ýí Çáãäト ÇáæÒÇÑí áÌÇãÚÉ ÈÌÇíÉ ÎÇÕÉ ßáíÉ Úáæã ÇáØÈíÚÉ æÇáÍíÇÉsnv ÝÇáãÓÇÈÞÇÊ æÍÊì ÇáÊÎÕÕÇÊ åí äÝÓåÇ ÇáÊí æÖÚÊ Ýí ãäト ÇáÚÇã ÇáãÇÖí ÇÑÏÊ ÇáÊÇßÏ ãä ãæÞÚ ÇáÌÇãÚÉ áßä áã íÊã äÔÑå åäÇß áßá ãä íÓÊØíÚ ÇÝÇÏÊäÇ ÈÇáÎÈÑ ÇáíÞíä ÈÇÑß Çááå Ýíßã
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Çã ÇáÎíÑ æÎáÇÕ
2012-07-27, 16:21
ÑÌÇÁÇ ãä áÏíå ãÚáæãÇÊ Úä ãÓÇÈÞÉ ÇáãÇÌÓÊíÑ ÊÎÕÕ ãíßÑæÈíæáæÌíÇ ÈÇáÞÈÉ Ãä íæÇÝíäÇ ÈãæÇÏ ÇáãÓÇÈÞÉ (ÇáãÞÇííÓ)
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ãäÞæá ãä ãäÊÏíÇÊ ÇáãÏÑÓÉ ÇáÚáíÇ ááÃÓÇÊÐÉ ÇáÞÈÉ
Çã ÇáÎíÑ æÎáÇÕ
2012-07-28, 15:20
ÔßÑÇ ááÃÎ fahuum áÃääí ÃÚáã åÐå ÇáãÚáæãÇÊ ãä äÝÓ ÇáãäÊÏì ÇáÐí ÐßÑÊå áßääí ãÇÒáÊ ÃäÊÙÑ æÈíÃÓ ÔÏíÏ ãä íÚØíäí ÇáãÞÇííÓ ÇáãÞÑÑÉ ÈÏÞÉ Ýßá ãÞíÇÓ ãä ÇáãÞÇííÓ ÇáËáÇËÉ ÇáãÐßæÑÉ áÏíåÇ ÚÏÉ ÝÑæÚ:confused:
ÇÈæ ßÝÇÍ
2012-07-29, 14:17
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ÇáÓáÇã Úáíßã
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ÇÈæ ßÝÇÍ
2012-07-29, 14:28
ÇáÓáÇã Úáíßã
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ÃÑÌæ ããä íãáß ÇáÎÈÑ ÇáíÞíä ÅÝÇÏÊäÇ ÝíãÇ íÎÕãÇÌíÓÊÇÑ ÈÌÇíÉ :o
[LEFT][LEFT]Université de Béjaia
Dom Nature Intitulé de la PG Responsable de la PG
Postes
ouverts
R Génie des Procédés :Génie des polymères
SADOUN Tahar
8
R Génie des Procédés : Génie Chimique MAKHLOUFI Laid 8
R Génie civil: Matériaux et structures CHELOUAH Nasser 6
R Automatique et traitement du signal
MENDIL Boubekeur
6
R Génie Electrique: Electrotechnique
ZEBBOUDJ Youcef
9
R Biologie: Ecologie et environnement SIDI Hachemi 6
R
Biologie :Ingenierie biochimique et
biotechnologies
BENABDESSELAM
Fadila 8
R Alimentation et technologie alimentaire ZAIDI Farid 8
SHS H
Sociologie: Sociologie de l’environnement
:Sociologie des Organisations et Travail
ZEMMOUR
ZineEddine 8
SEGC R
Sciences de gestion: Gestion des
entreprises
ARABI Khelloudja
8
TEC
ÇÈæ ßÝÇÍ
2012-07-29, 14:43
ÑÌÇÁÇ ãä áÏíå ãÚáæãÇÊ Úä ãÓÇÈÞÉ ÇáãÇÌÓÊíÑ ÊÎÕÕ ãíßÑæÈíæáæÌíÇ ÈÇáÞÈÉ Ãä íæÇÝíäÇ ÈãæÇÏ ÇáãÓÇÈÞÉ (ÇáãÞÇííÓ)
Ecole Normale Supérieure de Kouba
Biologie: Microbiologie, Option
Microbiologie Appliquée
SABAOU
Nasserdine 7
Ecobiologie Animale:Ecobiologie et
environnement
BAHA SEKHARA
Mounia 7
ÇáÓáÇã Úáíßã
ããßä ÊÃßíÏ ÇáÎÈÑ ÑÌÇÁ æåá ÊÎÕÕ ßãíÇÁ ÍíæíÉ áåã ÍÞ ÇáãÔÇÑßÉ ÃÑÌæÇ ÇáÑÏ
ÛíÑ ãÊÇßÏ ÇÎí ßãÇ ÞáÊ ãäÞæá ãä ãäÊÏíÇÊ ÇáãÏÑÓÉ ÇáÚáíÇ ÇáÞÈÉ
äÍä ÌãíÚÇ Ýí ÇäÊÙÇÑ ÇáÇÚáÇä ÇáÑÓãí Úä ÇáãÓÇÈÞÉ
Çáì ÇáÈíæáæÌííä ÇäÇ ÚäÏí ÏÑæÓ Ýì biochimie ; ; micobiologie ; æ ÇÑíÏ ÇáãÓÇÚÏÉ ÈåÇ æ áßä áÇ ÇÚÑÝ ßíÝ ÇÍãáåÇ Ýí ÇáãæÞÚ ááÇÓÊÝÇÏÉ ãä íÔÑÍ áí ÇáØÑíÞÉ æ ÎÇÕÉ documents word
ÇáÇÎÊ ÇÓÊÚãáí ãæÞÚ ááÊÍãíá
biosamir
2012-08-04, 10:56
äÈÏÃ È technique d analyse biochimique
1- Solution. Solvant.pp (http://www.mediafire.com/?gvm3s3luwlt43ym)t
2- Solubilit+®.pp (http://www.mediafire.com/?fmyyh96yyueh29k)t
3- Cours d'Oxydo - R+®duction.ppt (http://www.mediafire.com/?l8z8m0r76w4f6qr)
biosamir
2012-08-04, 11:06
HPLC.PPT (http://www.mediafire.com/?cigqdzzd1cjsjzb)
chromato (http://www.mediafire.com/?uxf3l82y4cf1d1l)
uv-vis (http://www.mediafire.com/?k92gab7obsjh55c)
analytique(oxydo-r+®duction) (http://www.mediafire.com/?86etnfv6u54pp57)
äÚíãÉ ÇáãÔÇÛÈÉ
2012-08-25, 11:18
äÚã åäÇß ãÇÌÓÊíÑ ãíßÑæÈíæáæÌí ÇáãÏÑÓÉ ÇáÚáíÇ ááÇÓÇÊÐÉ æÞÏ ÞãÊ ÈÇáÊÃßÏ ãä ÇáÃãÑ ÈäÝÓí Ýí ãæÞÚ æÒÇÑÉ ÇáÊÚáíã ÇáÚÇáí æÇáÈÍË ÇáÚáãí ...
ÃÑÌæ ãäßã ÇÎÈÇÑí Çä ßÇä áØáÈÉ ÇáÈíæßíãíÇÁ ÇáÍíæíÉ ÇáÍÞ Ýí ÇáãÔÇÑßÉ ...ÔÑæØ ÇáÊÓÌíá ...æ ãæÚÏ ÇáÊÓÌíá
æÔßÑÇ
un triholosides X, non réducteur, dont tous les oses appartiennent à la série D.
L'action d'une βgalactosidase sur X libère le saccharose et un hexose.
Lorsqu'une mole de X est soumise à l'action de l'acide périodique (HIO4), il y a
consommation de 3 moles d' HIO4, production d'une mole d'acide formique et aucune
d'aldéhyde formique.
Quel est le nom de X selon la nomenclature officielle et quelle est sa formule selon
Haworth. Expliquer.
et exactement j'ai pas compris l'action de l'acide périodique
áÄáÄÉ ÇáÇÓáÇã
2012-08-30, 17:03
ÇáÓáÇã Úáíßã
Çááí ÚäÏæ ÝßÑÉ Úáì ãÞíÇÓ ÇááÛÉ ÇáÝÑäÓíÉ Ýí ÊÎÕÕ Úáã ÇáÈíÆÉ æ ÇáãÍíØ íÞáí æÇÔ Ýíå áÃäí ãÇÚäÏí Úáíå ÍÊì ÝßÑÉ Úáì ÎÇØÑ Ýí ÌÇãÚÊäÇ ÞÑíäÇ ãÞíÇÓ ÅäÌáíÒíÉ ãßÇäæ.
ÃÑÌæßã ÅÎæÊí Çááí ÚäÏæ ÅÌÇÈÉ íäÝÚäí ÈíåÇ ÑÈí íÍÝÙßã Çä ÔÇÁ Çááå
äÑÌæÇ ãä ÇáÅ뾃 ÇáÃÚÒÇÁ ÊÏÚíãäÇ ÈÃÓÆáÉ ãÓÇÈÞÉ ÇáãÇÌíÓÊíÑ ÇáÎÇÕÉ ÈÌÇãÚÉ ÈÌÇíÉ ááãæÓã 2011/2012 ÊÎÕÕ ßíãíÇÁ ÍíæíÉ biochimie æ åÐÇ Ýí ÇáãÞÇííÓ ÇáÊÇáíÉ :
biologie moléculaire et génétique
biochimie générale
technique d'analyses
bio-amine
2012-09-06, 13:30
ÔßÑÇ
...........
bio-amine
2012-09-06, 13:31
æÈÇÑß Çááå Ýíß
ãÇÑíÇ áÌíä
2012-09-06, 17:40
https://fbcdn-sphotos-a.akamaihd.net/hphotos-ak-ash3/s320x320/543024_475804532435838_100000188857830_2054000_623 771700_n.jpg
okhti les sujets maybanouch mlih ida t9adri t3awdi thatihom diri fina mzeya kbiraaaa
w baraka allaho fiki
svp je veut les cours + sujets des modules d'écologie université de sidi bel abbes en urgent:
Biodiversité des écosystèmes aquatiques
et
Stucture et fonctionnement des écosystèmes
Mercii
souhyla assil
2012-09-11, 15:01
ÇáÓáÇã Úáíßã æÑÍãÉ Çááå ÃÑíÏ ÇáÓÄÇá ÇÐÇ ßÇä åäÇß ãÇÓÊÑ ÊÊÎÕÕ biotechnologie végétale]
mansourihakim
2012-09-11, 15:59
äÑÌæÇ ãä ÇáÅ뾃 ÇáÃÚÒÇÁ ÊÏÚíãäÇ ÈÃÓÆáÉ ãÓÇÈÞÉ ÇáãÇÌíÓÊíÑ ÇáÎÇÕÉ ÈÌÇãÚÉ ÈÌÇíÉ ááãæÓã 2011/2012 ÊÎÕÕ ßíãíÇÁ ÍíæíÉ biochimie æ åÐÇ Ýí ÇáãÞÇííÓ ÇáÊÇáíÉ :
biologie moléculaire et génie génétique
biochimie générale
technique d'analyses
ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ
2012-09-13, 10:56
[QUOTE=haki17;11498158]svp je veut les cours + sujets des modules d'écologie université de sidi bel abbes en urgent:
Biodiversité des écosystèmes aquatiques
et
Stucture et fonctionnement des écosystèmes
Mercii[/QU
Structure et fonctionnement des
écosystèmes
Rappel: un écosystème est l'ensemble formé par une communauté
vivante (biocénose) et son milieu physico-chimique (biotope),
incluant un compartiment de production primaire (basé généralement
sur la photosynthèse d'origine végétale), et considéré comme unité
fonctionnelle de relations complémentaires et de transfert et
circulation de matière et d'énergie (ex.: champ de maïs, forêt
caducifoliée). La définition spatiale de l'écosystème varie, mais elle
n'englobe en principe pas la totalité d'un biome.
Une autre définition: Certains1 définissent l'écosystème comme
l'entité écologique minimale qui a les propriétés nécessaires pour
entretenir la vie.
Ramené à sa plus simple expression, un écosystème doit au moins
comprendre les éléments suivants:
- un environnement inorganique;
- une espèce autotrophe, c'est-à-dire capable de produire sa
propre nourriture à partir des composés inorganiques de son
environnement: producteur primaire;
- une espèce décomposant les déchets et résidus de la première:
décomposeur;
- un fluide (air ou eau, ou les deux).
L'écosystème doit aussi comprendre deux catégories fondamentales
de processus:
- un flux d'énergie;
- des cycles d'éléments chimiques.
Ainsi, le maintien de la permanence de la vie sur la Terre est une
caractéristique des écosystèmes et non des individus ou des
populations.
Structure fonctionnelle: organisation trophique
d'un écosystème (S&S: chap.20)
Compartiments principaux:
- les producteurs primaires
- les consommateurs primaires
- les consommateurs secondaires et de rangs supérieurs
- les décomposeurs
Cette organisation est souvent décrite sous forme d'une pyramide,
montrant que chaque compartiment produit moins d'énergie que le
précédent (il y a perte lorsqu'on passe des producteurs primaires aux
consommateurs primaires, etc.).
À la base de l'écosystème: production primaire (en général réalisée
par les plantes). Captage de l'énergie (en général solaire) et
transformation en matière organique. La production primaire est donc
la porte d'entrée de l'énergie dans l'écosystème.
La productivité d'un écosystème se définit comme le gain en matière
organique par unité de surface (écosystèmes terrestres) ou de volume
(écosystèmes aquatiques) et par unité de temps.
La productivité primaire brute (gross primary productivity GPP) est
le taux total d'énergie assimilée par les plantes (par la
photosynthèse).
La productivité primaire nette (net primary productivity NPP) est le
taux de stockage de l'énergie sous forme de matière organique (après
la respiration par les autotrophes, R).
Rapport entre productivité primaire brute et nette:
Productivité primaire nette = productivité primaire brute – respiration
par les autotrophes
NPP = GPP – R
Écosystèmes terrestres: à l'échelle de la planète, la productivité
dépend dans une large mesure de la température et des
précipitations.
Ces deux facteurs sont interreliés dans leur effet. La productivité est
en fait directement liée à l'évapotranspiration (S&S Fig. 20.5 p.401).
Les régions les plus productives sont donc tropicales et équatoriales.
Dans les écosystèmes aquatiques, la température, la lumière et la
teneur de l'eau en sels minéraux nutritifs sont déterminants.
La productivité est donc plus élevée lorsque:
- les eaux sont plus chaudes
- on se trouve plus près de la suface
- les eaux sont plus riches en nutriments (voir les problèmes liés à
l'eutrophisation)
Le tableau 20.1 p. 402 (S&S) [tab.13 p. 193 chez Barbault 2000]
montre que la biomasse et la production primaire nette varient
considérablement d'un milieu à l'autre. On remarquera que les deux
ne sont pas forcément liés.
ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ
2012-09-13, 11:14
svp je veut les cours + sujets des modules d'écologie université de sidi bel abbes en urgent:
Biodiversité des écosystèmes aquatiques
et
Stucture et fonctionnement des écosystèmes
Mercii
Les herbiers d'algues et récifs coralliens, qui ont une biomasse faible,
montrent une production primaire aussi forte que celle des forêts
ombrophiles tropicales, dont la biomasse est très élevée. C'est que,
dans ce dernier cas, la biomasse produite reste sur place, alors que
dans le cas des milieux marins, elle est en partie mobile
(phytoplancton) et se renouvelle très rapidement (elle est consommée
très rapidement aussi).
Flux d'énergie dans les écosystèmes
On peut considérer l'ATP (adénosine triphosphate) comme la
"monnaie énergétique" du vivant: cette molécule stocke une partie
importante de l'énergie dans des liaisons entre groupes phosphates de
la molécule:
NH2
C
C
C C
C
N
N
H
N
N
H
Adénine
C
H
O
C
H H
OH OH
H
CH2
O
Ribose
O P
O
O
O P
O
O
O P
O
O
Groupes phosphate
Les trois voies de fixation du CO2 sont:
- la voie en C3; c'est la voie la plus ancienne et la plus répandue.
"C3" parce que le premier composé synthétisé est un acide
organique à 3 atomes de carbone (3-phosphoglycérate). Les
végétaux en C3 comprennent de nombreuses espèces cultivées
(blé, chou, soja, etc.), toutes les algues, tous les arbres; la plupart
des espèces des régions tempérées appartiennent à ce groupe.
- la voie en C4; plus récente (30 à 40 mio années), capable
d'utiliser efficacement de faibles quantités de CO2. Cependant,
une augmentation de la concentration de CO2 au-delà des valeurs
actuelles n'augmente pas leur capacité de fixation (contrairement
au cas de la voie en C3). Les plantes en C4 ont besoin de deux
fois moins d'eau que les plantes en C3 pour produire une quantité
équivalente de matière sèche; elles sont nombreuses dans les
régions arides et tropicales. Ex.: maïs.
- la troisième voie, dite "CAM" (crassulean acid ****bolism), est
un mécanisme présent surtout chez les plantes à faible
productivité (cactus, Broméliacées...), de milieux très chauds, et
qui permet la fixation nocturne du CO2 lorsque les stomates sont
ouverts (perte d'eau limitée).
Le réchauffement climatique actuel pourrait mener à un rééquilibrage
entre plantes en C3 et en C4. En effet:
- les plantes en C4, apparues lorsque la concentration en CO2 de
l'air était déjà basse, ont une efficacité photosynthétique quasi
maximale aujourd'hui.
- les plantes en C3, au contraire, profiteraient de l'augmentation
de la teneur de l'air en CO2, et seraient donc favorisées
Le flux d'énergie transite d'un niveau trophique au suivant au sein de
chaînes trophiques.
Il existe deux types de chaînes trophiques:
- les chaînes basées sur la production primaire et les herbivores
- les chaînes de décomposition, basées sur la matière organique
morte et les organismes saprophages.
Bilans et rendement énergétique
Tout le chapitre 20 de S&S (chapitre 14 de Barbault 2000) montre
que le transfert d'énergie d'un niveau trophique au suivant se fait
toujours avec des pertes plus ou moins importantes.
Une partie importante de l'énergie disponible à un niveau trophique
donné sert à la respiration et à l'entretien, et le reste, consacré à la
production de biomasse, n'est généralement pas utilisé au complet au
niveau suivant.
On comprend donc pourquoi une pyramide trophique ne peut
comporter qu'un nombre réduit de niveaux: on dépasse rarement
niveau du consommateur tertiaire. Il arrive toujours un stade où
l'énergie résiduelle disponible ne suffirait plus à entretenir un autre
niveau trophique.
ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ
2012-09-13, 11:22
svp je veut les cours + sujets des modules d'écologie université de sidi bel abbes en urgent:
Biodiversité des écosystèmes aquatiques
et
Stucture et fonctionnement des écosystèmes
Mercii Quelques cycles biogéochimiques
(S&S chap. 22)
L'énergie traverse les écosystèmes en un flux, mais la matière suit
des cycles. Matière et énergie sont intimement reliés dans la matière
organique. Le lien commence avec la photosynthèse, dans laquelle
les plantes utilisent l'énergie solaire pour fixer le CO2 sous forme de
composés organiques.
Le carbone, avec l'oxygène, l'azote et quelques autres, forme
l'essentiel de la matière organique. Tous ces éléments circulent au
sein des écosystèmes.
Les cycles sont qualifiés de biogéochimiques parce qu'ils impliquent
le vivant, la roche-mère et le sol, ainsi que des transformations
chimiques.
Il y a deux principaux types de cycles biogéochimiques:
- cycles gazeux
- cycles sédimentaires
Cycles gazeux
Les réservoirs principaux sont l'atmosphère et les océans. Cycles
globaux. Principaux cycles gazeux: CO2, azote, oxygène.
Cycles sédimentaires
Réservoirs principaux dans le sol, la roche et les minéraux.
Provenance initiale de source inorganique, sous forme de sels dissous
dans l'eau du sol, des lacs, des rivières et des mers. Donc: lien avec
cycle de l'eau. Exemple: phosphore.
Certains cycles sont hybrides
P.ex. le cycle du soufre: réservoirs dans la croûte terrestre et dansl'atmosphère.
Cycle de l'eau
Pas à proprement parler biogéochimique, bien que nécessaire à la vie.
1390 millions de km3 d'eau, dont le 97% salée. Eau douce: 41.7
millions de km3, dont 33 immobilisée dans les glaciers (soit 79% de
l'eau douce, ou 2.4% de l'eau totale). L'eau douce disponible pour la
vie ne représente donc que 0.6% de l'eau de la biosphère.
Les continents reçoivent plus de précipitations qu'ils n'évaporent
d'eau. Le surplus retourne aux océans par les fleuves et par
infiltration.
Cycle du carbone
49% de la masse sèche des organismes vivants et 24.9% de la
composition par atomes de la biosphère au sens strict.
Le cycle repose sur la production primaire due aux plantes
photosynthétiques.
Le cycle est actuellement déséquilibré par l'émission de CO2 plus
importante que sa récupération par la photosynthèse.
Cycle de l'azote
Composante essentielle des protéines
Deux formes biodisponibles pour les plantes:
Ammonium, NH4+
Nitrate, NO3-
80% de l’atmosphère est composé de N2, non biodisponible pour les
plantes.
Deux voies d’entrée dans l’écosystème
- Dépôts atmosphériques:
- Pluies, neige, brouillard,…
- Dépôts secs: aérosols, particules
- formes biodisponibles pour les plantes
- Fixation biologique: N2 donne NH3
Bactéries en symbiose avec les plantes (légumineuses)
Bactéries libres du sol: Azotobacter
Cyanobactéries
Donc, rôle essentiel des microorganismes dans la fixation de l'azote,
pour que les plantes puissent l'utiliser.
En effet, au contraire du carbone, l'azote inorganique ne peut pas être
fixé par les plantes supérieures.
Rôle très important de la fixation industrielle (engrais pour
l'agriculture).
Cycle du phosphore
Pas de réservoir atmosphérique; réservoir minéral (roche, dépôts
naturels de phosphates)
Un écosystème non perturbé perd son phosphore
Nutriment important pour les plantes. Peu de phosphore dans l'eau
=> développement explosif des algues lors d'enrichissements
Cycle du soufre
Cycle hybride: phases gazeuse et sédimentaireEnvoyé dans l'atmosphère par plusieurs sources: combustibles
fossiles, volcans, échanges gazeux à la surface des océans,
décomposition.
D'abord sous forme H2S, interaction rapide avec l'oxygène -> SO2,
dissous dans les gouttelettes d'eau des nuages -> H2SO4 (acide
sulfurique). => Pluies acides!
Cycle de l'oxgène
Source majeure d'oxygène libre (O2): atmosphère
- vapeur d'eau -> O2 et H2 (ce dernier s'échappe dans l'espace)
- photosynthèse
Cycle actuellement équilibré. Il n'en a pas toujours été ainsi dans
l'histoire de la Terrre.
Autres réservoirs d'oxygène: eau et CO2.
Oxygène très réactif => cycle complexe, impliquant tous les autres
cycles
Cycle des nutriments dans les écosystèmes
(S&S chap.21)
Les cycles biogéochimiques sont des processus globaux qui régulent
la disponibilité des éléments sur la planète.
Au niveau des écosystèmes, il existe aussi des cycles qui assurent le
recyclage des éléments nutritifs.
La manière dont les nutriments entrent dans un écosystème dépend
du cycle biogéochimique auquel ils sont liés. Le C et le N (cycle
gazeux) entrent par l'atmosphère. Le calcium et le phosphore(exemples de cycles sédimentaires) entrent par l'altération de la roche
et des minéraux. Des nutriments supplémentaires sont apportés par la
pluie, la neige, le vent et les animaux.
Les cycles des nutriments dans les écosystèmes sont ouverts: de la
matière y entre (intrants) et en ressort (extrants).
Les extrants sont des pertes, qui doivent être compensées.
Cependant, dans la plupart des écosystèmes, les nutriments présents
sous forme de matière organique représentent une grande proportion
de l'ensemble des nutriments disponibles.
Écosystèmes terrestres
À la mort des tissus vivants, ces nutriments sont retournés au sol ou
aux sédiments sous la forme de matière organique morte. Les
décomposeurs minéralisent cette matière, et les nutriments sont à
nouveau disponibles pour la végétation.
Ce cycle interne est une composant essentielle de tous les
écosystèmes.
Seule une petite partie de la matière organique est recyclée
annuellement. La majorité est stockée plus longtemps dans l'humus
et le sol.
Milieux aquatiques
Une différence majeure entre les écosystèmes terrestres et aquatiques
est que dans ces derniers la zone de décomposition de la matière
organique est souvent dissociée de la zone de production primaire.
Dans les lacs et étangs, il n'y a pas de sol pour retenir les
nutriments. Leur disponibilité dépend fortement du cycle entre
phytoplancton et zooplancton. Le stockage dans les sédiments en
profondeur rend souvent cette matière peu ou non disponible
Cependant, dans beaucoup de plans d'eau (surtout dans les régions
tempérées), un brassage saisonnier des eaux (en automne ou hiver)
permet de faire remonter à la surface des nutriments contenus dans
les sédiments. Ces nutriments seront disponibles au printemps pour
faire redémarrer la production primaire par le phytoplancton.
Eaux courantes: la rétention est encore plus difficile, souvent
possible grâce à la présence de troncs d'arbres et de rocs qui
retiennent les détritus en place.
On ne peut pas vraiment parler de cycles. Le mouvement des
nutriments prend plutôt l’allure d’une spirale allant de l’amont vers
l’aval du cours d'eau.
Un cycle de la spirale:
Assimilation d’un atome de nutriment (p.ex. P), son parcours dans la
chaîne trophique et son retour à l’eau
La distance nécessaire pour accomplir ce cycle détermine le niveau
de resserrement de la spirale
Exemple: si des débris de plantes sont retenus dans un endroit donné
de la rivière et sont décomposés sur place, les boucles de la spirale
sont rapprochées.
Plus la spirale est resserrée, plus les nutriments restent longtemps en
un lieu donné.
Écosystèmes côtiers
Les écosystèmes côtiers, situés à l'interface entre la terrre et la mer,
sont parmi les plus productifs.
Les nutriments proviennent:
- du sol, par ruissellement
- des cours d'eaux qui se jettent dans la mer
- de la mer elle-même
Dans les estuaires, l'apport d'alluvions crée des marais saumâtres
dominés par des herbacées et de petits buissons. Les cycles des
nutriments y sont des combinaisons des cycles d'écosystèmes
terrestres et aquatiques.
Océans
Les courants globaux de surface des océans influencent les patrons
de température et productivité ainsi que les cycles des nutriments. En
général, les mouvements latéraux des masses d'eau de surface
n'affectent que les 100 premiers mètres de profondeur.
Sur les côtes ouest des continents, les courants latéraux longent les
côtes et se dirigent vers l'équateur, tout en étant poussés loin des
côtes par l'effet Coriolis. Cela provoque un effet d'aspiration des eaux
de profondeur riches en nutriments (upwelling), qui remontent en
surface..
ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ
2012-09-13, 11:27
svp je veut les cours + sujets des modules d'écologie université de sidi bel abbes en urgent:
Biodiversité des écosystèmes aquatiques
et
Stucture et fonctionnement des écosystèmes
Mercii
Diversité, stabilité, résilience
La diversité d'un écosystème comporte plusieurs facettes différentes:
- richesse spécifique (nombre d'espèces)
- combinaison de la richesse spécifique et de l'abondance des
espèces
- diversité en habitats (hétérogénéité), dont dépend pour une
large part la diversité en espèces.
Le débat diversité-stabilité est aujourd'hui moins acrimonieux qu'il y
a 30 ans. En fait, les contradictions apparentes nées d'observations
divergentes (p. ex. permanence de systèmes très complexes comme
les forêts tropicales et de systèmes très simples comme les formations
de phanérogames halophiles (salicornes, etc.) viennent du fait que la
stabilité elle-même n'a souvent pas été clairement définie
stabilité temporelle ou permanence
- stabilité en biomasse
- stabilité en diversité...
Pour analyser la stabilité sous ses diverses formes, il faut tenir compte
de divers éléments:
- la connectance
- l'organisation hiérarchique du réseau d'interactions
- l'historicité
La connectance est la proportion d'interactions réalisées par rapport
au nombre théoriquement possible pour un nombre de populations
donné. Certaines simulations sur ordinateur suggèrent qu'une
connectance supérieure à 10% engendrerait des systèmes instables
(les oscillations s'amplifient).
L'organisation hiérarchique du réseau d'interactions est
essentielle dans les écosystèmes. En général, ces derniers se
composent d'un certain nombre de sous-systèmes dont les éléments
interagissent fortement, et liés entre eux par des interactions moins
étroites. Des groupes de sous-systèmes peuvent à leur tour être
interconnectés à un niveau supérieur, et ainsi de suite.
L'historicité: il ne faut jamais perdre de vue que les systèmes
naturels sont le résultat de coévolutions ayant fonctionné sur des
millions d'années. Leur permanence est donc issue d'une sélection
des connexions les plus garantes de stabilité. Une organisation
hiérarchique est aussi apparue. Ce n'est pas le cas des modèles
informatiques, où les connexions sont en général définies
aléatoirement.
Attention: ce qui précède ne signifie pas que dans les écosystèmes
toutes les interactions jouent un rôle indispensable. Les interactions
qui ont subsisté sont les interactions viables, et non uniquement les
interactions nécessaires. Margalef (1980) parle du baroque dans la
nature: foisonnement d'espèces et de processus qui peuvent
coexister, mais qui ne sont pas tous indispensables
La résilience
Le concept de résilience occupe une place importante dans la
compréhension du fonctionnement des écosystèmes, en particulier en
rapport avec les problématiques des diverses atteintes portées par
l'homme à l'environnement.
La résilience, ou homéostasie, c'est la capacité d'un écosystème à
rerouver son état d'équilibre après une perturbation.
La résilience consiste du point de vue fonctionnel à assurer la
permanence du réseau d'interactions d'un écosystème. Ses
mécanismes entrent en jeu en réponse aux transformations du milieu.
Souvent, les proportions entre espèces assurant les mêmes rôles dans
l'écosystème changent alors, permettant le maintien du réseau.
Cela montre l'importance de la redondance (coexistence dans un
écosystème de plusieurs espèces susceptibles de remplir les mêmes.:
ÇáÓáÇã Úáíßã
ÇÑíÏ ÇÚáÇä ãÇÌíÓÊíÑ ÇáØÇÑÝ ãä ÔÑæØ ÇáÊÓÌíá æÇáÊÎÕÕÇÊ ÇáãØáæÈÉ æÇÎÑ ÇÌá ÏÝÚ ÇáãáÝÇÊ ..
ameleco86
2012-09-17, 21:38
ÈÇÑß Ýíß ÇÎÊí ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ Úáì ÇáãÚáæãÇÊ ÇáÌÏ ãÝíÏÉ ÌÚáå Çááå Ýí ãíÒÇä ÍÓäÇÊß
princesse du18
2012-09-19, 15:58
j ai rien compris :D
áÄáÄÉ ÇáÇÓáÇã
2012-09-22, 09:43
ÇáÓáÇã Úáíßã
ÇÑÌæ ãä ØáÈÉ ÊÎÕÕ Úáã ÇáÈíÆÉ æ ÇáãÍíØ ãÓÇÚÏÊí Ýí ÇáÅÌÇÈÉ Úáì ÇáÃÓÆáÉ ÇáÊÇíÉ :
quel est le résultat de la combinaison des effets de la température et des précipitations a l'échelle globale? quel est l'indicateur le plus fiable pour traduire le eu de ces facteurs écologiques? Décrire l'organisation.
quel paramètre traduire ce jeu a l'échelle régionale ? Décrire
l'organisation.
la place d'une espèce dans un milieu naturel st caractérisée par trois notions ; lesquelles ?
quels sont les principaux éléments impliques dans la restaurations des écosystèmes ?
ÇÑÌæßã ãÓÇÚÏÊí ÚÇÌáÇ ÛíÑ ÂÌá
æ ÓÃßæä ÔÇßÑÉ æ ããÊäÉ áßã ÅÎæÊí ÇáßÑÇã
macprox86
2012-09-23, 08:10
ÇáÓáÇã Úáíßã æ ÑÍãÉ Çááå
ÇÎÊì ÇáßÑíãÉ ÃäÕÍß ÈÇáÊæÌå áåÐå ÇáãÌãæÚÉ Ýí ÇáÝÇíÓÈæß æ ØÑÍ ãÇ ÔÆÊ ãä ÃÓÆáÉ æ ØáÈ ÇáÚæä
ÇáãÌãæÚÉ ÃÓÓÊ ááÊÍÖíÑ áãÓÇÈÞÇÊ ÇáãÇÌíÓÊÑ
www.********.com/groups/214586381906005/
æ Çááå æáí ÇáÊæÝíÞ
áÄáÄÉ ÇáÇÓáÇã
2012-09-23, 11:53
merci mon frére
ãí ãÇÎÑÌáíÔ ÇáÓíÊ íÇÑíÊ ÊßÊÈæ ÈØÑíÞÉ ÇæÖÍ æ ÌÒÇß Çááå ÎíÑ
áÄáÄÉ ÇáÇÓáÇã
2012-09-23, 16:07
baraka llaho fik fréro
[COLOR="Blue"]ãä ÝÖáßã ÇäÇ ÌÏ ãÍÊÇÌÉ áÏÑæÓ zoologie :
íÇ ÌãÇÚÉ ãä ÝÖáßã ..ÝíÏæÇä ÈÏÑæÓ zoologie : module de la 2éme année TCSN
ÇáÃÓÊÇÐ ÑãÒí
2012-09-26, 17:36
Çä ÔÇÁ Çááå ÊÝíÏæäÇ ÈÏÑæÓ microbio generale - toxicologie æÇíÖÇ zoolgogie
ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ
2012-09-27, 10:24
Le tissu épithélial Les épithéliums - Université Virtuelle Paris 5 (http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=chapitre1+%C3%A9pith%C3%A9lium+pdf&source=web&cd=1&ved=0CCUQFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.uvp5.univ-paris5.fr%2Fwikinu%2Fdocvideos%2FGrenoble_1011%2Fs eigneurin_daniel%2Fseigneurin_daniel_p01%2Fseigneu rin_daniel_p01.pdf&ei=vRhkUO7qMpSIhQfPkYHQAw&usg=AFQjCNHr-o3i_Wptjy04WIk_4Tispa3WiA&cad=rja)
www.uvp5.univ-paris5.fr/wikinu/.../seigneurin_daniel_p01.pdf
ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ
2012-09-27, 10:27
Histo 2 - Les tissus conjonctifs (http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=histo_2_-_les_tissus_conjonctifs&source=web&cd=1&cad=rja&ved=0CCIQFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.lekraya.com%2Fattachments%2FF ile%2Fhis_bio_histo_2_-_les_tissus_conjonctifs.pdf&ei=-BtkUI2-EMiShgfH9oDYAg&usg=AFQjCNG-O_gwULVIJ0E90ZKl92HS7J6hbw)
www.lekraya.com/.../his_bio_histo_2_-_les_tissus_conjonctifs.pdf
ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ
2012-09-27, 10:33
vous présente maintenant mes amis un très bon site sur la cytologie, cytogénétique, embryologie et histologie:
cliquez sur le lien
http://www.uvp5.univ-paris5.fr/campus-hem (http://www.uvp5.univ-paris5.fr/campus-hem/)
ãäÞæá
ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ
2012-09-27, 10:34
http://www.ziddu.com/download/2681874/PDF_epitheliums_tissu_conjonctif08.pdf.html (http://www.ziddu.com/download/2681874/PDF_epitheliums_tissu_conjonctif08.pdf.html)
ãäÞæá
ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ
2012-09-27, 10:35
ÏÑæÓ Microbiologie générale
http://www.4shared.com/file/79997988/b0bcfc0a/bacterio-dzvet.html
ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ
2012-09-27, 10:44
http://www.dzvet.net
åÇÏÇ ÓíÊ ÈÇáÇß ÊÚÑÝæå áÈíÇØÑÉ ÇáÌÒÇÆÑ Ýíå ÈÒÇÝ ÕæÇáÍ ãáÇÍ
ãäÞæá
mohamed1986
2012-09-27, 20:12
ÇáÓáÇã Úáíßã
ÇÑíÏ ÏÑæÓ æ ãÓÇÈÞÇÊ Ýí
Microbiologique appliquée
Analyses et gestion des risques
biologiques
Gestion d'un projet et communication
scientifique
åÈÉ ÇáæåÇÈ
2012-09-29, 19:56
ÇÑíÏ ÏÑæÓ biologie vetale generale
åÈÉ ÇáæåÇÈ
2012-09-29, 20:06
Çáì ÇáÚÖæÉ ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ ããßä ÊÝíÏíäí ÈÏÑæÓ biologie vegetale
ÝÇØãÉ ÝÄÇÏ
2012-10-04, 11:13
voir les anciennes publications elles sont trés riches de cours de biologie végétales et d'autre modules et ainsi les sujets .
et bon courage
Cours de biologie végétale (http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=Cours+de+biologie+v%C3%A9g%C3%A9tale+pdf&source=web&cd=1&ved=0CCIQFjAA&url=http%3A%2F%2Flekraya.com%2Fattachments%2FFile% 2Fbioveg2006-pdf.pdf&ei=aFxtUKn9Bcqi4gS0ooGIDA&usg=AFQjCNG-vhp9Yxx8SWAjjqmJvwxMC38B-g&cad=rja)
lekraya.com/attachments/File/bioveg2006-pdf.pdf
åÈÉ ÇáæåÇÈ
2012-10-04, 22:20
ÔßÑÇ íÇ ÇÎÊ ÝÇØãÉ æ áßä ÏÎáÊ áãæÞÚ lekraya æáã ÇÓÊØÚ ÇáÊÍãíá áÇä åäÇß ÏÑæÓ ãÝÕáÉ .
yassine cqa
2012-10-12, 10:07
salut, j'ai besoin des cours et des sujets de Biochimie alimentaire et Microbiologie générale et alimentaire de l'univ de Béchar
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