yacinevet
2008-09-04, 17:45
La politique actuel de développement en Algérie
La steppe algérienne est placée au premier rang des préoccupations qui se posent pour l'avenir, non seulement pour l'importance particulière qu'elle représente du point de vue de l'aménagement du territoire et de développement économique, mais aussi pour ce qu'elle exprime en incertitude quant au devenir de ses vastes territoires ou l'équilibre est aujourd'hui rompue. Ces zones steppiques sont aujourd'hui l'objet de multiples projets auxquels participent directement ou indirectement plusieurs groupes d'acteurs allant des populations aux décideurs politiques. Il est tout fois reconnu que les résultats en matière de maîtrise des processus d'évolution n'ont pas été à la hauteur des objectifs. (KHALDOUN., 1993)
6.1) LADEMARCHE
L'avènement de la création du H.C.D.S permis d'harmoniser la vision de développement de ce vaste territoire. Sa mission principale est l'application de la politique nationale en matière de développement intègre des zones steppiques et pastorales, les actions d’amélioration et soutenues par les pouvoirs publics et de promouvoir une gestion durable sur la base d’un partenariat avec les populations locales. Afin d’intéresser les communes à bien gérer les plantations pastorales et les parcours mis en défens, la démarche conçue et adaptée par le H.C.D.S est basée sur:
[]
La conception de projets mettant en œuvre des techniques simples efficaces et facilement reproductibles.
Les coûts réduits, utilisation de la main d'œuvre locale et des matériaux locaux.
La rentabilité économique et sociale des investissements.
Accorder la priorité a la valorisation du potentiel existant et la promotion du savoir faire local.
6.2) Les principaux axes de lutte
La réhabilitation et la restauration des parcours dégrades.
L'intensification de la production fourragère par l'exploitation des eaux de surface en zones d'épandage.
L'amélioration des performances des élevages par une meilleure condition.
L'amélioration des conditions d'abreuvements des cheptels par la densification du réseau de points d'eau.
La réhabilitation de l'agriculture au niveau des oasis et les villages.
La promotion de l'utilisation des énergies renouvelables.
6.3) STRATEGIE
ØLa mise en défens :
La mise en défens est une protection intégrale du milieu, valorisée en reconstituant rationnellement le couvert végétal.
La mise en œuvre d'une protection intégrale contre l'action de l'homme et de son cheptel sur certains parcours a contribue à une régénération de la végétation, à la diminution de la dégradation des parcours et à l'augmentation de la production fourragère, pour cela une préservation de 2700.000 ha de parcours par la mise en défens et la réhabilitation de 3000.000 ha de parcours par la plantation pastorale. (H.C.D.S., 2005)
Les mises en défens s'organisent selon trois modes qui ont des effets différents sur la végétation. Le report de pâturage au-delà de la période de croissance critique augmente la vigueur et le recouvrement des meilleures espèces, le repos annuel permet la reconstitution des réserves des plantes, la rotation du troupeau sur plusieurs parcelles selon un schéma préétabli permet périodiquement aux plantes de ne pas être pâturées aux périodes critiques. Mais la durée des mises en défens dépend en fait du degré de dégradation des parcours et de la conjoncture pluviométrique. Elles ne sont démarrées en principe que lors d'une bonne année et devraient s'accompagner d'un contrôle des effectifs et d'une surveillance librement acceptée.
ØAménagement hydraulique:
Les stratégies pour la lutter contre les pénuries d'eau dans les zones steppiques et base sur la densification du réseau de points d'eau d'abrèvement des cheptels ce qui devrait permettre une meilleure distribution du cheptel sur le parcours par l'aménagement hydraulique (Ced, Djoub, Puits, forage, Mare, etc.) et la mobilisation des eaux superficielles
Allégement de la pression sur les parcours par une meilleure répartition spatiale des cheptels
Exploitation des parcours dépourvus de points d’eau
Réhabilitation des points d’eau existants
Réalisation de nouveaux points d’eau
Objectif visé : 1 points /1500 HA
Vu les conflits entre les tribus ou Arch sur les points d'eau et les meilleure parcours, le HCDS a prie en considération les conditions sociales par une répartition équitable des eaux entre les tribus.
Ø La promotion de l'utilisation des énergies renouvela Dans le cadre d'amélioration des conditions de vie des populations rurales le H.C.D.S a installé un programme pour utilisation des énergies renouvelables
6.4) BILAN ET IMPACTS DES PROGRAMMES MENES
·Préservation de 2.700.000 ha de parcours par la mise en défens.
·La réhabilitation de 300.000 ha de parcours par la plantation pastorale.
·Intensification de la production fourragère sur 420 000 ha par la réalisation et l'aménagement de plus de 950 ouvrages de dérivation des eaux de crues.
·La production de 2.8 milliers d'unités fourragère se qui améliore le taux de couverture des besoins alimentaire des cheptel de 25% a plus de 55%.
·La réhabilitation de 16000 ha de surface agricole au niveau de 105 KSARS et OASIS.
·Densification du réseau des points d'eau d'abreuvement de 1points d'eau / 6000 ha a 1points d'eau / 2600 ha par la réalisation et l'aménagement de 6900 U.
·Création de 150 000 emplois en milieu rural.
·Stabilisation des populations suit à l'amélioration de leurs revenus et conditions de vies.
La steppe algérienne est placée au premier rang des préoccupations qui se posent pour l'avenir, non seulement pour l'importance particulière qu'elle représente du point de vue de l'aménagement du territoire et de développement économique, mais aussi pour ce qu'elle exprime en incertitude quant au devenir de ses vastes territoires ou l'équilibre est aujourd'hui rompue. Ces zones steppiques sont aujourd'hui l'objet de multiples projets auxquels participent directement ou indirectement plusieurs groupes d'acteurs allant des populations aux décideurs politiques. Il est tout fois reconnu que les résultats en matière de maîtrise des processus d'évolution n'ont pas été à la hauteur des objectifs. (KHALDOUN., 1993)
6.1) LADEMARCHE
L'avènement de la création du H.C.D.S permis d'harmoniser la vision de développement de ce vaste territoire. Sa mission principale est l'application de la politique nationale en matière de développement intègre des zones steppiques et pastorales, les actions d’amélioration et soutenues par les pouvoirs publics et de promouvoir une gestion durable sur la base d’un partenariat avec les populations locales. Afin d’intéresser les communes à bien gérer les plantations pastorales et les parcours mis en défens, la démarche conçue et adaptée par le H.C.D.S est basée sur:
[]
La conception de projets mettant en œuvre des techniques simples efficaces et facilement reproductibles.
Les coûts réduits, utilisation de la main d'œuvre locale et des matériaux locaux.
La rentabilité économique et sociale des investissements.
Accorder la priorité a la valorisation du potentiel existant et la promotion du savoir faire local.
6.2) Les principaux axes de lutte
La réhabilitation et la restauration des parcours dégrades.
L'intensification de la production fourragère par l'exploitation des eaux de surface en zones d'épandage.
L'amélioration des performances des élevages par une meilleure condition.
L'amélioration des conditions d'abreuvements des cheptels par la densification du réseau de points d'eau.
La réhabilitation de l'agriculture au niveau des oasis et les villages.
La promotion de l'utilisation des énergies renouvelables.
6.3) STRATEGIE
ØLa mise en défens :
La mise en défens est une protection intégrale du milieu, valorisée en reconstituant rationnellement le couvert végétal.
La mise en œuvre d'une protection intégrale contre l'action de l'homme et de son cheptel sur certains parcours a contribue à une régénération de la végétation, à la diminution de la dégradation des parcours et à l'augmentation de la production fourragère, pour cela une préservation de 2700.000 ha de parcours par la mise en défens et la réhabilitation de 3000.000 ha de parcours par la plantation pastorale. (H.C.D.S., 2005)
Les mises en défens s'organisent selon trois modes qui ont des effets différents sur la végétation. Le report de pâturage au-delà de la période de croissance critique augmente la vigueur et le recouvrement des meilleures espèces, le repos annuel permet la reconstitution des réserves des plantes, la rotation du troupeau sur plusieurs parcelles selon un schéma préétabli permet périodiquement aux plantes de ne pas être pâturées aux périodes critiques. Mais la durée des mises en défens dépend en fait du degré de dégradation des parcours et de la conjoncture pluviométrique. Elles ne sont démarrées en principe que lors d'une bonne année et devraient s'accompagner d'un contrôle des effectifs et d'une surveillance librement acceptée.
ØAménagement hydraulique:
Les stratégies pour la lutter contre les pénuries d'eau dans les zones steppiques et base sur la densification du réseau de points d'eau d'abrèvement des cheptels ce qui devrait permettre une meilleure distribution du cheptel sur le parcours par l'aménagement hydraulique (Ced, Djoub, Puits, forage, Mare, etc.) et la mobilisation des eaux superficielles
Allégement de la pression sur les parcours par une meilleure répartition spatiale des cheptels
Exploitation des parcours dépourvus de points d’eau
Réhabilitation des points d’eau existants
Réalisation de nouveaux points d’eau
Objectif visé : 1 points /1500 HA
Vu les conflits entre les tribus ou Arch sur les points d'eau et les meilleure parcours, le HCDS a prie en considération les conditions sociales par une répartition équitable des eaux entre les tribus.
Ø La promotion de l'utilisation des énergies renouvela Dans le cadre d'amélioration des conditions de vie des populations rurales le H.C.D.S a installé un programme pour utilisation des énergies renouvelables
6.4) BILAN ET IMPACTS DES PROGRAMMES MENES
·Préservation de 2.700.000 ha de parcours par la mise en défens.
·La réhabilitation de 300.000 ha de parcours par la plantation pastorale.
·Intensification de la production fourragère sur 420 000 ha par la réalisation et l'aménagement de plus de 950 ouvrages de dérivation des eaux de crues.
·La production de 2.8 milliers d'unités fourragère se qui améliore le taux de couverture des besoins alimentaire des cheptel de 25% a plus de 55%.
·La réhabilitation de 16000 ha de surface agricole au niveau de 105 KSARS et OASIS.
·Densification du réseau des points d'eau d'abreuvement de 1points d'eau / 6000 ha a 1points d'eau / 2600 ha par la réalisation et l'aménagement de 6900 U.
·Création de 150 000 emplois en milieu rural.
·Stabilisation des populations suit à l'amélioration de leurs revenus et conditions de vies.