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shadow girl
2010-12-23, 12:53
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nawald
2010-12-23, 13:01
Séisme

Un séisme, ou tremblement de terre, résulte de la libération brusque d'énergie accumulée par les contraintes exercées sur les roches. Le résultat de la rupture des roches en surface s'appelle une faille. Le lieu de la rupture des roches en profondeurs se nomme le foyer. Plus rares sont les séismes dus à l'activité volcanique ou d'origine artificielle (explosions par exemple). Il se produit de très nombreux séismes tous les jours, mais la plupart ne sont pas ressentis par les humains. Environ cent mille séismes sont enregistrés par an sur la planète1 grâce à des sismographes (appareils permettant de détecter les ondes sismiques à plus de milliers de kilomètres du foyer sismique). Les plus puissants d'entre eux comptent parmi les catastrophes naturelles les plus destructrices.

La science qui étudie ces phénomènes est la sismologie et l'instrument d'étude principal est le sismographe.

nawald
2010-12-23, 13:02
Caractéristiques principales

Le point d'origine d'un séisme est appelé hypocentre ou foyer sismique . Il peut se trouver entre la surface et jusqu'à sept cents kilomètres de profondeur (limite du manteau supérieur) pour les événements les plus profonds. On parle de l'épicentre du séisme, qui est le point de la surface de la Terre qui se trouve à la verticale de l'hypocentre.

nawald
2010-12-23, 13:04
Les trois catégories de tremblements de terre
Un tremblement de terre est une secousse plus ou moins violente du sol qui peut avoir trois origines : rupture d'une faille ou d'un segment de faille (séismes tectoniques) ; intrusion et dégazage d'un magma (séismes volcaniques) ; explosion, effondrement d'une cavité (séismes d'origine naturelle ou dus à l'activité humaine)2. En pratique on classe les séismes en trois catégories selon les phénomènes qui les ont engendrés :
Les séismes tectoniques sont de loin les plus fréquents et dévastateurs. Une grande partie des séismes tectoniques se produisent aux limites des plaques, où il existe un glissement entre deux milieux rocheux. Ce glissement, localisé sur une ou plusieurs failles, est bloqué durant les périodes inter-sismiques (entre les séismes), et l'énergie s'accumule par la déformation élastique des roches3. Cette énergie et le glissement sont brusquement relâchés lors des séismes. Dans les zones de subduction, les séismes représentent la moitié des destructeurs de la Terre, et ils dissipent 75 % de l'énergie sismique de la planète. C'est le seul endroit où on trouve des séismes profonds (de 300 à 645 kilomètres). Au niveau des dorsales médio-océaniques, les séismes ont des foyers superficiels (0 à 10 kilomètres), et correspondent à 5 % de l'énergie sismique totale. De même, au niveau des grandes failles de décrochement, ont lieu des séismes ayant des foyers de profondeur intermédiaire (de 0 à 20 kilomètres en moyenne) qui correspondent à 15 % de l'énergie. Le relâchement de l'énergie accumulée ne se fait généralement pas en une seule secousse, et il peut se produire plusieurs réajustements avant de retrouver une configuration stable. Ainsi, on constate des répliques suite à la secousse principale d'un séisme, d'amplitude décroissante, et sur une durée allant de quelques minutes à plus d'un an. Ces secousses secondaires sont parfois plus dévastatrices que la secousse principale, car elles peuvent faire s'écrouler des bâtiments qui n'avaient été qu'endommagés, alors que les secours sont à l'œuvre. Il peut aussi se produire une réplique plus puissante encore que la secousse principale quelle que soit sa magnitude. Par exemple, un séisme de 9,0 peut être suivi d'une réplique de 9,3 plusieurs mois plus tard même si cet enchaînement reste extrêmement rare.
Les séismes d'origine volcanique résultent de l'accumulation de magma dans la chambre magmatique d'un volcan. Les sismographes enregistrent alors une multitude de microséismes (trémor) dus à des ruptures dans les roches comprimées ou au dégazage du magma2. La remontée progressive des hypocentres (liée à la remontée du magma) est un indice prouvant que le volcan est en phase de réveil et qu'une éruption est imminente.
Les séismes d'origine artificielle (ou « séismes induits ») sont dus à certaines activités humaines telles que barrages, pompages profonds, extraction minière, explosions souterraines ou nucléaires peuvent entraîner des séismes de faible à moyenne magnitude. Ils sont fréquents et bien documentés depuis les années 1960-1970
Par exemple, rien que pour la France et uniquement pour les années 1971-1976, plusieurs séismes ont été clairement attribués à des remplissages de lacs-réservoirs, à l'exploitation de gisements pétrolifères ou aux mines :
le remplissage du lac-réservoir de Vouglans (Jura) (magnitude 4,3, le 21 juin 1971) qui produit des dégât dans les villages voisins du barrage,
autour du lac-réservoir de l'Alesani, en Corse, le 29 sept 1971 un séisme est resssenti sur une faible surface centrée sur le lac (dans une zone jusqu'alors complètement aséismique) . En avril 1978, lors d'un nouveau remplissage (après vidange du barrage durant plusieurs mois), un nouveau séisme de magnitude 4,4 est ressenti,
le lac-réservoir de Sainte-croix-du-Verdon (Alpes de Haute Provence) n'a pas bougé lors de son remplissage, mais de sept 73 à aout 1975, les stations séismiques télémétrées ont enregistré plus de 90 petites secousses, au voisinage même du lac, et leur fréquence maximale (36 secousses en 3 mois) correspondait au moment du pic de remplissage (mars-mai 1975),
le gisement pétrolifère et gazier de Lacq (surveillé depuis 1974), a encore produit des séismes (dont le 31 dec 72, de magntitude 4,0),
le gisement gazéifère de Valempoulières (Jura) a généré un petit séisme le 8 janvier 1975, ressenti dans les communes l'entourant,
des "coups de toit" touchent régulièrement le bassin minier de Fuveau-Gardanne dans les Bouches-du-Rhône et celui de Creutzwald-Merlebach en Moselle, parfois confondus avec de véritables séismes naturels4
Les tremblements de terre engendrent parfois des tsunamis, dont la puissance destructrice menace une part croissante de l'humanité, installée en bordure de mer. Ils peuvent aussi menacer les installations pétrolières et gazières offshore et disperser les décharges sous-marines contenant des déchets toxiques, déchets nucléaires et munitions immergées. On cherche à les prévoir, pour s'en protéger, à l'aide d'un réseau mondial d'alerte, qui se met en place, en Indonésie et Asie du Sud Est notamment.

nawald
2010-12-23, 13:05
Tremblements de terre en France
La France métropolitaine est un pays dont la sismicité est considérée comme modérée. Les séismes y sont essentiellement superficiels, leur foyer se situant à moins de 256 km dans la croûte terrestre. Ils résultent du rapprochement lent entre les plaques africaines et la plaque eurasienne et sont distribués le long des zones à failles et glissements souvent anciens. Le fichier de la macrosismicité de la France (fichier SIRENE : BRGM-Risque et Génie Sismique, LDG-CEA (catalogue micro-sismicité, EDF)) recense plus de 5 000 tremblements de terre ressentis au cours des dix derniers siècles, dont presque tous les séismes destructeurs depuis le xive siècle. Il comporte 22 séismes d’intensité épicentrale, sur le territoire français, supérieure ou égale à sept, soit en moyenne quatre par siècle. En France, on dénombre en moyenne chaque année une vingtaine de séismes de magnitude supérieure à 3,5 alors que plusieurs milliers sont ressentis dans l’ensemble du bassin méditerranéen.
On a injustement reproché aux pouvoirs publics le manque de transparence et le caractère quasi occulte des informations traitant de ces risques. La brochure sur le « nouveau zonage sismique de la France » (1985), à la réalisation de laquelle le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) a largement contribué en raison de sa compétence technique, permet aujourd’hui de démystifier ce domaine et de faire évoluer la politique de prévention du risque sismique. D’autres brochures plus récentes, dont celle, par exemple, réalisée par la Préfecture des Alpes-Maritimes, en août 2000, s’inscrit dans l’esprit de la loi du 22 juillet 1987 relative à l’organisation de la sécurité civile, à la protection des risques majeurs et dans le cadre de l’information des populations. Elles contiennent par ailleurs un recueil des mesures d’urgence qui seraient, le cas échéant, mises en œuvre ; il précise les moyens d’information utilisables et rappelle les recommandations des services de secours à destination de la population exposée dans les départements concernés.
En 2005, le Gouvernement a annoncé un plan de six ans de prévention des séismes ayant pour but de mieux sensibiliser les populations, à mieux prendre en compte les risques sismiques dans les constructions, de reprendre les recommandations européennes sur les constructions parasismiques, d’approfondir la connaissance scientifique du risque, et enfin de coopérer et communiquer entre tous les acteurs de la prévention et de la gestion du risque… En l’état actuel un séisme comparable à celui survenu en 1909 près de Salon-de-Provence pourrait faire de 400 à 1000 morts

nawald
2010-12-23, 13:14
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2010-12-23, 13:45
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2010-12-23, 14:47
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ahmed moussaoui
2010-12-25, 15:16
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