ãÔÇåÏÉ ÇáäÓÎÉ ßÇãáÉ : áãä íÓÊØíÚ ÇáÇÌÇÈÉ
:dj_17::sdfÇáÓáÇã Úáíßã æ ÑÍãÉ Çááå ÊÚÇáì æ ÈÑßÇÊå
ãä ÝÖáßã ÇäÇ ÈÕÏÏ ÇáÈÍË Úä ÈÍË ÈÇááÛÉ ÇáÝÑäÓíÉ Íæá'' Úáí ãÚÇÔí'' ÇÐÇ ßÇä ããßä Ýí ÇÞÑÈ æÞÊ ÇÍÊÇÌå ÈÓÑÚÉ ãä ÝÖáßã:sdf:
Un ouvrage qui se veut un hommage à un artiste de talent et un devoir de mémoire envers un symbole d’une culture algérienne trop tôt disparu.
Dans un ouvrage sorti aux éditions du ministère de la Culture, Amar Belkhodja, auteur, historien, chercheur et artiste, a voulu à travers cet écrit rappeler un nom, revisiter une mémoire, retracer un parcours et rendre hommage à un artiste de talent disparu trop jeune, lâchement assassiné par des sauvages qui ont voulu par ce geste signifier non seulement l’exécution d’«un militant de la résistance algérienne mais l’anéantissement d’un grand symbole qui incarne l’art musical, c’est-à-dire un symbole qui incarne l’un des aspects de la personnalité algérienne».
Ali Maâchi est donc ce jeune marin, fougueux et bourré de talent, né à Tiaret en 1927 qui a, en peu de temps, beaucoup donné à son pays, pour sa liberté et la prospérité de son art et de sa culture. Son amour de la musique lui a été inspiré par les océans et il étudia les différents modes de cette discipline artistique à laquelle il se donna corps et âme, au même titre qu’à sa patrie qu’il a défendue de sa vie. Dès son retour à Tiaret, après des années passées à la marine, il fonde en 1953 une nouvelle troupe musico-théâtrale qu’il nomme Saffir Ettarab et qu’il dirigera avec brio. Cette troupe comprend des éléments de l’orchestre El Andaloussia qui lui aussi a eu de belles années de gloire à cette époque. La troupe de Maâchi chantera très souvent et à diverses occasions l’amour de la patrie, le sacrifice, l’amour, l’éloignement et célèbrera en présence de Ferhat Abbas en mars 1954, le XIe anniversaire du manifeste algérien. On reconnaît alors à Ali Maâchi de nombreux talents de parolier, compositeur, instrumentiste et interprète et sa troupe atteint une célébrité nationale de renom notamment avec des chants patriotiques et du terroir dont Angham El Djazaïr fut l’apogée. Son répertoire, partiellement enregistré à la radio algérienne comprend entre autres: Ziaret Sidi Khaled, Hadhak el youm fel achia, Y.chabba el hillal, Ouassit el goumri, Nedjma oua hlal, El oulef esseib, Terk ouahran, Ramdhan ya babour, et autres morceaux. Ali Maâchi chante la patrie avec amour et passion et enrichit le patrimoine musical algérien d’un répertoire empreint d’une originalité qui a fait sa singularité dans les années cinquante. Au déclenchement de la guerre de libération, les musiciens de la troupe Saffir Ettarab rangent leurs instruments pour prendre les armes. Les uns militant au sein des cellules urbaines du FLN, les autres rejoignant le maquis, certains devenus martyrs et tous guidés par l’amour de la patrie. Ces musiciens ont marqué l’histoire par un parcours brillant et courageux qui aura le mérite d’avoir marqué des générations entières. En rendant hommage à Ali Maâchi, lâchement assassiné un certain 8 juin 1958, en compagnie de Mohamed Djahlane et Djilali Bensotra, tous trois sauvagement et inhumainement pendus par les pieds en pleine place publique Carnot à Tiaret, Amar Belkhodja ne fait qu’un «devoir éminent de mémoire pour les générations montantes. Afin que nul n’oublie que des hommes et des femmes ont fait le sacrifice suprême pour nous libérer».
Ce n’est donc que justice que d’attribuer cette journée mémorable à l’artiste algérien qui mérite attention, reconnaissance et dignité...
O gens, quel est mon meilleur amour
O gens, quel est mon grand amour.
Si vous me le demandez
De joie je vous répondrai
C’est mon pays l’Algérie.
- L'Expression
http://www.toutlemaghreb.com/actualites_/Courrier_Algerie/algerie_ali_maachi_le_chahid_de_la_liberte_d_expre ssion_.php
ÇÓáÇãí ÓÑ ÍíÇÊí
2010-10-08, 18:42
[I]ÊÝÖáí åÐÇ æÔæÝí ÇáÇ íÚÇæäß:
Né du martyr et de l'artiste sur ma pension en 1927 la ville de Tiaret, dans l'âge de 18 ans, il rejoint le service militaire obligatoire dans la marine française, et en déplaçant dans la mer et entre les villes et les États, avait la détermination et une figure nationale, en plus de cela, il avait du talent artistique, le fait que le groupe "Ambassadeur de Tarab" . Lorsque la révolution éclate libération rejoint "sur ma pension», de poursuivre la direction normale de l'histoire et fait "Ambassadeur de Tarab" trois martyrs sont Akasha Mukhtar Hashemi arabes et deux montagnes de Muhammad, et c'était la France, qui est tombé comme sa capitale, Paris la Seconde Guerre mondiale et défait à la bataille de la "Dien Bien Phu" en Inde an chinois 1954, qui prétend à la victoire dans les requêtes Algérie et la torture brutale que sophistiqués les bourreaux, qui a assassiné le martyr "sur ma pension" et ses compagnons à lui le 8 Juin 1958 et Alqohm trois arbres Square "Carlo", qui s'appelait alors le vieillissement de la pause et les Algériens d'intimidation, a été la réaction Algériens et pour relever le défi et de poursuivre la révolution pour la libération de l'Algérie.
I]
ãÔßææææææææææÑíä ÇäÇ ÌÏ ããÊäÉ áÑÏæÏßã
ÑÈí íÍÝÙßã
✗ ┋ æóړúﮃóÉõ ÂáÜﭴóÒÂÆÜړú ┋ ✗
2010-10-16, 21:05
Chahid Ali Maachi
http://www.toutlemaghreb.com/images/upload/ali_maachi.jpg
Parlant d'art engénéral ,parmi la pléthore d'artistes, d'écrivains et de musiciens à Tiaret, le premier nom qui nous vient à l'esprit est sans conteste celui du marhoum Ali Maachi.
Sa chanson, véhiculant une passion profonde ou une vision éclairée, transcendant toutes les barrières de l'éspace social,elle était , demeure et restera toujours, , un cri du coeur qui résonne au delà du temps. Un hymne pour la liberté .
Merci Ali , sans toi comment aurions nous pu chanter Tahta essama el djazair.
Artiste de renom, Ali Maâchi s'est illustré par sa célèbre chanson “Angham El-Djazaïr” (mélodies d'Algérie) et par son apport dans l'enrichissement de l'art musical.
Il est né le 12 août 1927 dans le quartier populaire “Rass Essouk” au nord de la ville de Tiaret. En 1949, il est mobilisé pour accomplir son service militaire à la base maritime de Bizerte en Tunisie. Ses déplacements lui ont permis de visiter plusieurs capitales arabes. Il acquit ainsi une grande connaissance en matière de musique arabe à la faveur de ses rencontres avec les maî-tres illustres comme le compo-siteur tunisien Kaddour Serrarfi. Il enrichit également son expérience en fréquentant l'as-sociation “El-Andaloussia”, née du mouvement national en 1928. Il rejoint, par la suite, la section art du mouvement des Scouts Musulmans Algériens (SMA) où il contribue à la création d'un environnement artisti-que qui a permis l'émergence en 1953, d'une troupe musicale nommée “Safir Etarab” (ambassadeur de la chanson).
L'artiste a eu le grand mérite de faire de cette troupe une tribune pour la mobilisation et la sensibilisation du peuple afin de le préparer au déclenchement de la révolution.
En dépit de son penchant pour la musique orientale, l'artiste donne à ses chansons un cachet local notamment le cachet wahrani comme dans les chansons “Ziarat Sidi Khaled” (la visite de Sidi Khaled) et“Hadak El-Youm Fil Achia”. Ali Maâchi est parmi les premiers militants mus par les grandes idées nationalistes et convaincus de la justesse de la cause algérienne. C'est ainsi qu'est née sa célèbre chanson “Mélodies de l'Algérie”, enregistrée à la Radio en 1956 et qui exprime l'unité du pays et du peuple. L'artiste a à son actif quelque 16 chansons, dont “El-Babour” (le bateau) qui est sa première chanson et d'autres relatant la joie, la vie, la maman et l'amour de la patrie telles “Tarik Ouahran” (le chemin d'Oran), “Ennajma Oua El Hilal” (l'étoile et le croissant), “Mazal Alik Enkhamam” (je pense toujours à toi) et “Tahta Sama El-Djazaïr” (sous le ciel de l'Algérie).
Arreté par les forces coloniales il fut abattu, ensuite exposé avec ses compagons le 8 juin 1958, pendu par les pieds à un arbre à la place Carnot actuellement place des Martyrs
vBulletin® v3.8.10 Release Candidate 2, Copyright ©2000-2025, TranZ by Almuhajir