عبد القادر خ
2008-03-07, 12:10
Le 8 mars c'est la célébration de la journée internationale de la femme, c'est la fête de toutes les femmes sous tous les cieux.
Chez nous on se rappelle de la journée, mais on oublie la femme.
La femme rurale ne sait pas qu'aujourd'hui, elle mérite qu'on lui offre des fleurs.
De l'époque coloniale à l'indépendance, elle vit dans les régions rurales; loin de la vie moderne, prés de la misère.
Des années se sont écoulées; mais pour elle la vie ne s'est guère améliorée.
Laborieuse, mère de famille, elle accomplit les tâches paysannes les plus difficiles
C'est dans le milieu rural que l'on trouve les femmes les plus défavorisées. Une minorité d'entre elles sont encore nomades et vivent sous la tente traditionnelle.
De leurs mains nues, elle font tous les travaux inhérents à la vie bédouine: tisser le flije…..pétrir la galette.
D'autres habitent dans les douars lointains encastrés dans les djebels.
Dans leurs chaumières, pendant les rudes hivers elles ont froid.
"Ces ménagères" n'ont que la guerba en guise de robinet et ne connaissent pas encore les bienfaits du gaz de ville.
La femme rurale se marie très jeune, à l'âge où elle ne sait qu'obéir.
Elle est souvent illettrée et ne saura jamais écrire son nom.
Aujourd'hui encore elle est à la traîne elle peine à acquérir son statut de citoyenne.
Elle n'est pas dupe, elle sait que le pays peut lui offrir de meilleures conditions de vie et une protection sociale plus réelle.
A K
Chez nous on se rappelle de la journée, mais on oublie la femme.
La femme rurale ne sait pas qu'aujourd'hui, elle mérite qu'on lui offre des fleurs.
De l'époque coloniale à l'indépendance, elle vit dans les régions rurales; loin de la vie moderne, prés de la misère.
Des années se sont écoulées; mais pour elle la vie ne s'est guère améliorée.
Laborieuse, mère de famille, elle accomplit les tâches paysannes les plus difficiles
C'est dans le milieu rural que l'on trouve les femmes les plus défavorisées. Une minorité d'entre elles sont encore nomades et vivent sous la tente traditionnelle.
De leurs mains nues, elle font tous les travaux inhérents à la vie bédouine: tisser le flije…..pétrir la galette.
D'autres habitent dans les douars lointains encastrés dans les djebels.
Dans leurs chaumières, pendant les rudes hivers elles ont froid.
"Ces ménagères" n'ont que la guerba en guise de robinet et ne connaissent pas encore les bienfaits du gaz de ville.
La femme rurale se marie très jeune, à l'âge où elle ne sait qu'obéir.
Elle est souvent illettrée et ne saura jamais écrire son nom.
Aujourd'hui encore elle est à la traîne elle peine à acquérir son statut de citoyenne.
Elle n'est pas dupe, elle sait que le pays peut lui offrir de meilleures conditions de vie et une protection sociale plus réelle.
A K