ÊÓÌíá ÇáÏÎæá

ãÔÇåÏÉ ÇáäÓÎÉ ßÇãáÉ : pollution


ÇáÕÝÇÁ
2010-03-29, 10:46
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ÇÑÌæÇáãÓÇÚÏÉ áãä áÏíå Çí ãÚáæãÇÊ Íæá pollution



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need+
2010-03-29, 22:10
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ÇáÕÝÇÁ
2010-03-30, 07:52
ÇÑíÏ ãÚáæãÇÊ ÚÇãÉ

ÇáÕÝÇÁ
2010-04-03, 10:29
ÇÑÌæßã ãä áÏíå Çí ãÚáæãÉ ÝíÓÑÚÚ Ýí ÇÑÓÇáåÇ
æÈÇÑß Çááå Ýíßã

F6AZZEDINE
2010-04-03, 16:31
bnj chère sœur
voici quelques documents :x
*http://www.editions-belize.com/fiches/CHAP04/fiche42.pdf
*http://www.jeanmellinger.com/Dossier_pdf/sifa95%20.pdf
*http://www.iopan.gda.pl/oceanologia/511taleb.pdf
*http://195.97.36.231/dbases/acrobatfiles/05IG16_10_fre.pdf
bonne chance

ÇáÕÝÇÁ
2010-04-03, 17:37
ãÇÞÚ áÇ ÊÝÊÍ áí

ÇáÕÝÇÁ
2010-04-05, 17:56
ÓÇÚÏæäí ÃÑÌæßã ÝÃäÇ ÈÃãÓ ÇáÍÇÌÉ Çáíå

F6AZZEDINE
2010-04-06, 19:01
ÃÎÊ ÇáÕÝÇÁ
ááÍÕæá Úáì ÇáãÞÇáÇÊ ÇáÊí Êåãß ÃÑÌæÇ Ãä ÊÞæãí ÈÊÍãíá ãáÝ ÇáãÑÝÞÇÊ¡ æ Óíßæä áßí Ðáß,,,
ãæÝÞÉ

ÚãÇÏ230
2010-04-09, 21:21
La pollution est aussi une notion d'actualité en rapport avec l'effet de serre ; la pollution est le fruit de l'absence d'événements météorologiques majeurs (absence de pluie, de forts vents). Il est donc important de définir la pollution puis de montrer son mécanisme de formation et enfin je vous montrerai comment prévoir un pic de pollution plusieurs jours à l'avance.
1) Définition de la pollution (http://www.meteolafleche.com/#definitionpollution)
2) Mécanisme de formation (http://www.meteolafleche.com/#mecanismepollution)
3) Comment prévoir un pic de pollution plusieurs jours à l'avance (http://www.meteolafleche.com/#previsionpollution)
1) Définition de la pollution.
La pollution de l'air est un ensemble de gaz nocifs à l'homme et aux animaux ; parmi ces gaz, nous retrouvons en grande quantité le dioxyde de carbone ( CO2 ), le diazote ( N2 ) + d'autres gaz .
2) Mécanisme de formation.
La pollution de l'air se forme de la façon suivante :
Pour qu'il y ait formation de la pollution, il faut que la vitesse du vent soit inférieure à 10 km / h pour éviter que les mouvements verticaux de l'air ne laissent remonter la pollution vers le ciel . Le temps doit rester absolument sec et si possible sans nuages ( les mouvements de convection à l'intérieur des nuages favorisent la dispersion des polluants .
3) Comment prévoir un pic de pollution plusieurs jours à l'avance ?
La période propice à la formation de la pollution est le moment ou une zone de haute pression vient s'installer sur la France pendant un certain temps. Ainsi des conditions stables du temps (vitesse du vent très faible, et temps sec et dégagé) favorisent la formation de la pollution.
Le problème vient du fait que si par exemple je prévois de la pollution pour tel jour, il faut modifier la prévision de la température de ce jour-là car : les gaz rejetés en altitude sont pour la plupart des gaz à effet de serre, c'est-à-dire ont tendance à faire monter la température. Et comme la hausse des températures favorisent l'évaporation puis la condensation de l'eau, cela fait que nous nous retrouvons en fin de journée avec un orage (été) ou une averse (hiver).
La pollution est une notion très importante parce qu'elle a tendance à modifier le temps prévu pour le lendemain voire le soir-même.



Pollution et Déchets
La pollution de l'air, de l'eau et des sols est en train d'exercer un impact significatif sur notre environnement, notre santé et, dans certains cas, sur l'économie de nos pays. Les articles ci-dessous mettent à nu ces problèmes et proposent des solutions susceptibles d'atténuer les rejets de polluants dans l'environnement et de permettre un stockage propre des déchets, émanant de sources variées. Si ces sujets vous intéressent, il vous plaira de visiter les sections consacrées aux thèmes de l'air (http://sdgateway.net/topics/fr_98.htm) et de l'eau douce (http://sdgateway.net/topics/fr_99.htm).
La pollution lumineuse et l'Observatoire de Haute-Provence

Jamais l'astronomie n'a autant fait rêver qu'en cette fin de siècle. Jamais cette science n'a été aussi proche des grandes questions que l'homme se pose depuis toujours.
D'extraordinaires paysages nous parviennent des planètes du système solaire, de fabuleuses images révèlent des galaxies dans leur prime jeunesse aux confins de l'univers, des planètes nouvelles apparaissent autour de lointains soleils ouvrant la voie exaltante de la quête des mondes extra-solaires et de la recherche de la vie extraterrestre.
Il est paradoxal de constater que dans le même temps, l'homme, en s'éclairant la nuit de façon irréfléchie, se prive progressivement du spectacle à la fois simple et grandiose d'un ciel noir constellé d'étoiles. L'éclairage artificiel, petit à petit, efface à sa vue la magie du ciel nocturne.
Parce que les villes, les villages, les voies de communication sont éclairées de façon excessive et irrationnelle, une véritable pollution lumineuse s'étend sur toute la planète. Si elle prive les hommes du contact direct qu'il a toujours eu avec son environnement cosmique, elle perturbe aussi, gravement, la faune nocturne (oiseaux, insectes) quand elle ne la massacre pas. Elle engendre enfin une gêne parfois rédhibitoire pour la pratique de l'observation astronomique. On n'observe plus depuis longtemps au coeur des villes. Dans les sites isolés, la nuisance existe aussi, plus ou moins forte.
L'Observatoire de Haute Provence a été en 1995 le théâtre de la découverte de la première planète extra-solaire, une planète détectée autour d'une étoile semblable à notre Soleil, située à 42 années lumière (420 mille milliards de kilomètres) de celui-ci.
Cette grande première mondiale, si elle atteste de la compétitivité des équipements de cet observatoire, atteste aussi de la qualité du site où il est implanté. Mais le site de Saint Michel, toujours remarquable par le nombre de nuits claires qu'il offre dans une année, n'échappe pas toutefois aux effets nocifs de la pollution lumineuse. Les halos lumineux des villes et villages augmentent dans le ciel, en étendue et en intensité. Les astronomes s'accommodent encore de cette gêne aujourd'hui. Dût-elle s'accroître démesurément, elle risquerait d'entraver à terme toute activité d'observation à Saint Michel jusqu'à la condamner.
A l'Observatoire de Haute Provence, comme dans les grands observatoires du monde, couramment les télescopes sont braqués vers les astres des millions de fois moins lumineux que les plus faibles étoiles visibles à l'oeil nu et des milliards de fois moins brillants que les lampadaires des rues de nos villages. Dans bien des cas, les observations ne peuvent être faites qu'en période de nouvelle lune (c'est-à-dire lorsque la lune est absente), afin d'avoir un ciel le plus noir possible.
Depuis toujours la municipalité de Saint Michel et celles des communes voisines sont conscientes de la nécessité de ne pas perturber l'activité de l'observatoire par des éclairages parasites. Force est de constater toutefois, qu'au fil des ans, ces communes n'ont pas échappé à la règle d'un accroissement en nombre et en intensité des sources lumineuses, publiques et privées. Fort heureusement, Monsieur le Président du SIE et Monsieur le Maire de Saint Michel place aujourd'hui ce problème au centre de leurs préoccupations.
La pollution lumineuse se distingue des autres types de pollution en cela qu'elle est instantanément réversible. Il est clair qu'il n'est pas de l'intention des astronomes de vouloir plonger leurs semblables dans les ténèbres naturelles qui leurs sont nécessaires pour percer les secrets de l'univers. Ils ne demandent pas la suppression de tout l'éclairage public et privé! Leurs exigences simples se marient harmonieusement avec celles de la vie moderne et leurs recommandations ont comme conséquence majeure d'éviter l'extraordinaire gaspillage d'énergie auquel on assiste actuellement, sans porter préjudice ni à la sécurité ni au confort des habitants des villes et des campagnes.
Recommandations pour limiter la pollution lumineuse

Ces recommandations s'appliquent autant aux éclairages publics que privés.

Ne pas éclairer le ciel
C'est la recommandation la plus importante:
ÉVITER TOUTE DIFFUSION DE LUMIÈRE VERS LE CIEL

Pour cela:


munir toutes les sources lumineuses d'abat-jour renvoyant la lumière vers le bas.
s'abstenir d'éclairer façades, monuments, paysages.
éclairer murs et panneaux (qui doivent absolument l'être) du haut vers le bas et non pas du bas vers le haut.

Utiliser des lampes peu polluantes

Préférer à toutes autres, les lampes au sodium basse pression qui sont quasiment monochromatiques et n'engendrent des signaux parasites pour les spectres astronomiques que sur deux fréquences bien définies.
Eviter l'usage de lampes à vapeur de sodium haute pression ou vapeur de mercure haute pression qui, par leurs émissions monochromatiques superposées à un fond continu, polluent toutes les fréquences du spectre visible d'une façon complexe et impossible à corriger.

Utiliser la bonne quantité de lumière

ajuster la puissance des lampes et par là-même la valeur de l'éclairement résultant en fonction des réels besoins.
utiliser des systèmes de contrôle (minuteries, gradateurs, déclencheurs automatiques) qui ne fourniront de la lumière que lorsqu'elle est nécessaire.
éviter d'éclairer des lieux qui n'ont vraiment pas besoin de l'être.

Eviter les sols réfléchissants
Utiliser pour les sols éclairés un revêtement sombre et non réfléchissant (mat ou granuleux).
Conséquences de ces recommandations
La mise en oeuvre de ces recommandations concourra très rapidement au but recherché: diminuer considérablement la luminance du ciel nocturne d'origine artificielle.
Mais, d'autres conséquences très importantes sont à noter:


économie d'énergie
L'usage de lampadaires bien adaptés entraînera des économies évidentes.
Pour la plupart des lampadaires actuels, 30 à 50 % de la lumière est totalement perdue car elle va vers le ciel !
Diminuer dans beaucoup de cas la puissance des lampes et réguler leur fonctionnement par des systèmes de contrôle appropriés ira dans le même sens. Il n'est pas nécessaire par exemple de laisser toutes les lumières allumées en dehors des heures d'ouvertures des commerces. La deuxième moitié de la nuit peut être plus noire que la première sans compromettre la qualité de la vie !
Enfin, les lampes à vapeur de sodium basse pression qui sont les moins polluantes du point de vue spectral, sont aussi (car possédant le meilleur rendement énergétique) les plus économiques.
Confort et sécurité
Un éclairement raisonnable en intensité et uniforme en répartition spatiale sera en accord avec les propriétés physiologiques de l'oeil humain et évitera les effets néfastes de l'éblouissement. La mauvaise conception des lampadaires et leur mauvaises disposition dirigent trop souvent de la lumière dans les yeux des passants ou des automobilistes. Le bafflage adéquat (très simple à réaliser) des sources de lumière contribue à l'uniformité de l'éclairement au sol en évitant que les usagers ne voient directement la source.





La pollution atmosphérique
Sources de pollution
La liste des polluants atmosphériques est longue. Aux classiques habituels mais toujours réels polluants tels que les poussières (http://www.citepa.org/pollution/#solides), le SO2 (http://www.citepa.org/pollution/#so2), les NOx (http://www.citepa.org/pollution/#nox), le CO, (http://www.citepa.org/pollution/#co) les métaux lourds (http://www.citepa.org/pollution/#****ux), les composés organiques volatils (http://www.citepa.org/pollution/#cov), le fluor, l'acide chlorhydrique, etc... sont venus s'ajouter progressivement d'autres substances telles que les gaz à effet de serre : le CO2 (http://www.citepa.org/pollution/#co2), le CH4 (http://www.citepa.org/pollution/#ch4), le N2O (http://www.citepa.org/pollution/#n2o), les CFC (http://www.citepa.org/pollution/#cfc), HFC (http://www.citepa.org/pollution/#hfc), PFC (http://www.citepa.org/pollution/#pfc) et SF6 (http://www.citepa.org/pollution/#sf6) et d'autres substances telles que l'ozone (http://www.citepa.org/pollution/#ozone), les organochlorés (dioxines et furannes (http://www.citepa.org/pollution/#diox)), les HAP (http://www.citepa.org/pollution/#hap) (Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques), etc.
Bien entendu les sources émettrices de polluants dans l'atmosphère sont fort nombreuses et concernent tous les secteurs relatifs aux activités humaines (domestique, industrie, agriculture, transports, etc.) ainsi que la nature. On constatera que la part des émissions dévolue à chaque secteur varie considérablement selon les constituants, notamment en ce qui concerne les secteurs principalement consommateurs d'énergie.
Particules solides
Pour des raisons physiologiques et psychologiques la pollution par les poussières a été très tôt ressentie par les populations et a fait l'objet de réglementations depuis fort longtemps bien que la toxicité soit souvent moindre que de nombreux constituants gazeux. Cette dernière affirmation doit bien entendu être modulée selon la nature des poussières et leur granulométrie (fines poussières < 2,5 µm, fibres et poussières d'amiante,...).
Les principales sources sont les installations de combustion et les procédés industriels tels que extraction de minéraux, cimenterie, aciérie, fonderie, verrerie, plâtrière, chimie fine, etc.... Les émissions de poussières ont très fortement diminué depuis 20 ans. Les particules solides servent de vecteurs à différentes substances toxiques voire cancérigènes ou mutagènes (métaux lourds (http://www.citepa.org/pollution/#****ux), HAP (http://www.citepa.org/pollution/#hap),...) et restent de ce fait un sujet important de préoccupation.
SO2 - Dioxyde de soufre
Les rejets de SO2 sont dus en grande majorité à l'utilisation de combustibles fossiles soufrés (charbon, lignite, coke de pétrole, fuel lourd, fuel domestique, gazole). Tous les utilisateurs de ces combustibles sont concernés. Quelques procédés industriels émettent également des oxydes de soufre (production de H2SO4, production de pâte à papier, raffinage du pétrole, etc.). Même la nature émet des produits soufrés (volcans).
Les plus gros émetteurs sont généralement les centrales thermiques, les raffineries, les grandes installations de combustion, etc. Le gaz naturel, le GPL, le bois sont des combustibles pas ou très peu soufrés.
NOx - Oxydes d'azote
Les oxydes d'azote (communément définis comme NOx = NO + NO2) proviennent comme le SO2 essentiellement de la combustion des combustibles fossiles et de quelques procédés industriels (production d'acide nitrique, fabrication d'engrais, traitement de surfaces, etc.). Ils sont principalement formés dans les chambres de combustion où :
N2 (air) + O à NO + N lorsque la température excède 1400°C (NO thermique)
N2 (combustible) + O à NO + N (NO fuel) si N2 combiné
N2 + CH à HCN + N puis NO après différentes étapes même à plus basse température (NO prompt)
Le NO se transforme en présence d'oxygène en NO2 (de 0,5 à 10 %) dans le foyer. Cette réaction se poursuit lentement dans l'atmosphère et explique dans le cas des villes à forte circulation la couleur brunâtre des couches d'air pollué situées à quelques centaines de mètres d'altitude (action conjointe des poussières). Les oxydes d'azote interviennent également dans la formation des oxydants photochimiques (http://www.citepa.org/pollution/phenomenes.htm) et par effet indirect dans l'accroissement de l'effet de serre (http://www.citepa.org/pollution/phenomenes.htm).
Les principaux émetteurs sont les grandes installations de combustion et surtout les véhicules automobiles (d'où une politique de réduction au moyen de pots catalytiques par exemple). Volcans, orages, feux de forêts contribuent aussi aux émissions.
CO - Monoxyde de carbone
Le monoxyde de carbone est produit par des combustions incomplètes généralement dues à des installations mal réglées (surtout le cas des toutes petites installations). Il est aussi présent dans les rejets de certains procédés industriels (agglomération de minerai, aciéries, incinération de déchets) mais aussi et surtout présent dans les gaz d'échappement des véhicules automobiles.
CO2 - Dioxyde de carbone
L'importance attribuée au CO2 provient de l'accroissement rapide de la concentration de ce gaz dans l'atmosphère par suite d'une augmentation de la consommation d'énergie fossile dans le monde et d'une diminution importante des couverts forestiers (une forêt de type tropical absorbe de 1 à 2 kg de CO2 par m2 et par an tandis qu'une forêt européenne ou un champ cultivé n'absorbe que de 0,2 à 0,5 kg de CO2 par m2 et par an). Par ailleurs les océans jouent un rôle essentiel dans le maintien de l'équilibre général en carbone. L'augmentation de CO2 dans l'atmosphère, dans les proportions que nous connaissons, ne poserait probablement pas de problème à l'homme avant très longtemps s'il n'y avait pas le phénomène d'accroissement de l'effet de serre (http://www.citepa.org/pollution/phenomenes.htm) et ses conséquences potentielles d'ordre socio-économique plus ou moins dramatiques selon les experts.
Comparées aux émissions des autres pays, la France se trouve très bien placée avec un peu moins de 2 t ÇÏÇ ÇÑÏÊ Úä pollution air et photochemie ÓÇÑÓáåã áß

ÚãÇÏ230
2010-04-09, 21:24
ÇÊãäì Çä Çßæä ÞÏ æÝÞÊ Ýí ãÇ ÊÈÍË Úäå

ÇáÕÝÇÁ
2010-04-10, 16:28
ÈÇÑß Çááå Ýíß

ÇáÕÝÇÁ
2010-04-10, 16:41
áæ Çãßä Íæá ËáæË ÇáÈÍÇÑ

F6AZZEDINE
2010-04-10, 16:49
ÃÎÊ ÇáÕÝÇÁ
áÇ ÃÏÑí áãÇÐÇ áã ÊÞæãí ÈØáÈ ÇáãÞÇáÇÊ ÇáÊí ÃÎÈÑÊßí ÚäåÇ. ááÚáã åí ãÞÇáÇÊ Úä la pollution marine.
ÃÊãäì áß ÇáÊæÝíÞ