irdak
2010-02-26, 05:58
Éducation : Les grévistes menacent et le ministère tranquillise les candidats au bac
La grève dans le secteur de l’éducation se poursuivra cette semaine. Il n’y aura donc toujours pas de cours et la décision de prolonger le débrayage ou non sera prise mardi prochain, lors de la réunion du conseil national.
Les deux syndicats, Unpef et Cnapest, affirment qu’ils ne comptent pas geler leur grève « tant que leurs exigences ne sont pas satisfaites ». Entre temps, les élèves et leurs parents affichent leur inquiétude, particulièrement les candidats au bac qui ont commencé à manifester dans la rue. Y a-t-il lieu de s’inquiéter ou non ? Oui, selon les syndicats ; non, selon les responsables du ministère. Sadek Dziri de l’Unpef parle d’une année blanche. « Si nous continuons la grève pour deux autres semaines, nous pouvons à ce moment-là parler d’une année blanche », a-t-il affirmé. Aux parents, il lance un appel au soutien sinon… la grève se poursuivra encore. « Nous sommes également des parents mais en même temps nous avons nos droits à défendre. Nous sommes des travailleurs lésés de nos droits, j’invite les parents à nous soutenir », a indiqué M. Dziri.
La grève dans le secteur de l’éducation se poursuivra cette semaine. Il n’y aura donc toujours pas de cours et la décision de prolonger le débrayage ou non sera prise mardi prochain, lors de la réunion du conseil national.
Les deux syndicats, Unpef et Cnapest, affirment qu’ils ne comptent pas geler leur grève « tant que leurs exigences ne sont pas satisfaites ». Entre temps, les élèves et leurs parents affichent leur inquiétude, particulièrement les candidats au bac qui ont commencé à manifester dans la rue. Y a-t-il lieu de s’inquiéter ou non ? Oui, selon les syndicats ; non, selon les responsables du ministère. Sadek Dziri de l’Unpef parle d’une année blanche. « Si nous continuons la grève pour deux autres semaines, nous pouvons à ce moment-là parler d’une année blanche », a-t-il affirmé. Aux parents, il lance un appel au soutien sinon… la grève se poursuivra encore. « Nous sommes également des parents mais en même temps nous avons nos droits à défendre. Nous sommes des travailleurs lésés de nos droits, j’invite les parents à nous soutenir », a indiqué M. Dziri.