مشاهدة النسخة كاملة : الى ريتااال
السلام عليكم
بلييز اختي حطيلي الفقرات تاع الفرنسية ربي يوفقك
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〆 بٰٰاولو 乄
2019-06-08, 18:33
http://www.mediafire.com/file/4sfj4eftupui96b/proposed.rar
اسلام نسيت مزية لي فكرتني الان راني نكتب مهم نطول لاني نكتب بيدي اوكي
هاهي راني كانت في لدوصي فقط احتاج منكم دعاء لي بنجاح رايحة نمل كامل فقرات
هذي 1 نوفمبر صغيرة اذا بغيتي تصغريها ترجميها الى عربية ونقصي اشياء غير مهمة
Il y a 60 ans commençait la guerre d’Algérie. Une guerre contre la puissance coloniale française qui a duré près de huit ans, pour s'achever le 3 juillet 1962 avec l’indépendance du pays.
Le 1er novembre 1954, constatant que la lutte pacifique était épuisée, le Front de libération nationale (FLN) lance un appel au peuple algérien pour libérer le pays et restaurer "l’Etat algérien souverain, démocratique et social dans le cadre des principes islamiques”, ainsi que “le respect de toutes les libertés fondamentales sans distinction de races et de confessions
Ce fut le déclenchement de la guerre d’Algérie contre l’armée française. Aujourd’hui, il est difficile de faire un bilan des pertes humaines, mais les Algériens parlent d’un million et demi de martyrs. “Le pays au million de martyrs” est d’ailleurs devenu le surnom de l’Algérie.
Le 8 Mai 1945
8 mai 1945. Ce jour-là, alors que la guerre se terminait en Europe, après des échauffourées qui firent des victimes de part et d'autre, des massacres furent perpétrés par les troupes françaises et des milices coloniales contre la population algérienne. Ils allaient faire plusieurs milliers de victimes, sans doute pas autant que les 45 000 déplorées dans les discours officiels algériens, mais probablement entre 15 et 20 000. Le caractère imprécis de ces données illustre d'ailleurs ce que ces massacres ont eu de violent et d'odieux, les efforts pour faire disparaître leurs traces rendant aujourd'hui impossible un bilan humain un tant soit peu précis
rowaida18
2019-06-08, 18:46
يعطيكوم الصحة و الله كنت في امس الحاجة لهم
الاخت ريتال تعيشي اذا عندك تاني paragraphe على شهيد و يكون قصير
والله غير ندعيلكوم وقتما نتفكركم
كاين هذي شابة اختاري اولى عطاتهلنا استاذة وهذذي لقيتها في دوصيات
Le 1 Novembre 1954Tôt le matin du 1er novembre (https://fr.wikipedia.org/wiki/1er_novembre) 1954 (https://fr.wikipedia.org/wiki/1954), les hommes du FLN (https://fr.wikipedia.org/wiki/Front_de_lib%C3%A9ration_nationale_%28Alg%C3%A9rie %29) déclenchent des attaques dans diverses régions de l'Algérie contre des installations militaires, commissariats, entrepôts, équipements de communications, et des bâtiments publics. Plusieurs soldats et des civils français sont pris pour cible. Parmi les premières victimes, dans les gorges de Tighanimine Aurès (https://fr.wikipedia.org/wiki/Aur%C3%A8s), à 7 heures du matin, les maquisards bloquent l'autocar et font descendre ses deux passagers français, un couple d'instituteurs, les Monneron, et le caïd de la localité voisine de M'chounèche, Hadj Sadok. Ce dernier, ancien officier de l'armée française, est abattu lorsqu'il veut sortir un pistolet de sa gandoura. La rafale tue Guy Monneron qui se tient à ses côtés. Sa femme est grièvement blessée
Ahmed Zahana, plus connu sous le nom de Zabana, est né en 1926 dans le quartier d'El-Hamri, à Oran. Il y fit ses études primaires, obtient son certificat d'études et s'inscrit dans un centre de formation professionnelle, où il apprit le métier de soudeur.
En 1949, Ahmed Zahana adhérait au Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (MTLD.) Son dynamisme ne tarda pas à attirer sur lui l'attention de la police française qui l'arrêta le 2 mars 1950.
Il fut condamné par la justice coloniale à trois ans de prison et trois ans d'interdiction de séjour. Dès sa libération, il reprit ses activités politiques avec autant d'ardeur que par le passé et participa aux préparatifs du déclenchement de la guerre de libération nationale.
Dans la nuit du 1er novembre 1954, il organisa avec un groupe de patriotes l'attaque contre le poste des gardes forestiers d'Oran. Le 11 novembre de la même année, à l'issue d'un accrochage meurtrier au cours duquel il fut d'ailleurs blessé, à Gharboudjlid, il fut prisonnier et conduit d'abord à l'hôpital, ensuite à la prison d'Oran.
Jugé sommairement et condamné à mort, il fut le premier martyr depuis le déclenchement de la guerre de libération nationale à monter sur l'échafaud, le 19 juin 1956, dans l'enceinte de la prison de Barbarousse, sur les hauteurs d'Alger.
Son exécution ainsi que celle de Ferradj avaient été réclamées à cor et cri par les milieux colonialistes dits "ultra", qui en firent un motif de satisfaction. Mais l'événement provoqua dans l'opinion algérienne un mouvement de colère si puissant qu'il ne tarda pas à se traduire par une série d'actions anticolonialiste.
C'est ce climat d'effervescence qui prépara la bataille d'Alger. La sinistre guillotine avec laquelle fut exécuté Ahmed Zabana et tant d'autres moudjahidines se trouve au musée central de l'armée à Alger
nr.houda
2019-06-08, 19:02
اختي ريتال شكرااااا*
اما لا في الفقرة الثالثة نحكيو على شهيد
فقرات هاذو هوما
1 نوفمبر 1954
8 ماي 1945
تحدث على شهيد
نساا ء شجاعات وبطلات
La bataille les femme
هاذو هوما
باقي 2 اظن من بعد نحطهم فليل
~زهرة اللوتس~
2019-06-08, 20:36
شكرا جزيلا جزاك الله خيرا
اسلام نسيت مزية لي فكرتني الان راني نكتب مهم نطول لاني نكتب بيدي اوكي
شكرا ريتال تعبت معايا ربي يفرحك
فرنسية هذا العام كاش مقترح فقرة ??
https://scontent-mrs2-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/56373628_2211939735563069_7635222864576118784_n.jp g?_nc_cat=109&_nc_ht=scontent-mrs2-1.xx&oh=bc903cff22bd4199ede9c3ad6fe08f77&oe=5D7BDE6B
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