irdak
2009-10-27, 00:09
L’Unpef et le Cnapest l’ont annoncé hier
Grève générale dans l’éducation à partir du 8 novembre
Le secteur de l’éducation demeure dans la tourmente et peine à sortir de la zone de turbulences. Après la colère des lycéens, des parents d’élèves et des enseignants, c’est au tour des syndicats de revenir à la charge pour annoncer une grève nationale d’une semaine à partir du 8 novembre prochain.
Pratiquement, les syndicats du secteur de l’éducation veulent faire converger leur action pour frapper fort et peser de leur poids. Lors de leurs multiples réunions de concertation, ils ont exprimé cette volonté d’aller vers la radicalisation de leur action de protestation dès la fin de ce mois.
Ils n’avaient pas, toutefois, fixé de date, car ils espéraient un geste d’apaisement de la part des pouvoirs publics, en vain. Hier, deux syndicats, l’Union nationale des travailleurs de l’éducation et de la formation (Unpef) implanté dans 48 wilayas du pays et représentant les trois paliers, et le Conseil national des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Cnapest) ont, ensemble, fixé la date du débrayage. Ces deux organisations syndicales, appartenant chacune à deux pôles différents, à savoir l’intersyndicale autonome de la Fonction publique et la Coordination autonome de la Fonction publique, appellent les autres syndicats à adhérer à ce choix afin de faire de ce combat une cause commune. En outre, la mauvaise gestion des dossiers du régime indemnitaire, des œuvres sociales, de la médecine du travail, sont, entres autres, les raisons qui les ont poussés à décréter une grève nationale d’une semaine, renouvelable. La circulaire du Premier ministre, Ahmed Ouyahia, qui interdit l’application du régime indemnitaire avec effet rétroactif à partir de janvier 2008, est la goutte qui a fait déborder le vase. La décision d’Ouyahia a suscité l’ire des enseignants et vient ainsi remettre en cause les promesses faites aux syndicats par le ministre de l’Education nationale et celui de l’Emploi, du Travail et de la Sécurité sociale à ce sujet.
Grève générale dans l’éducation à partir du 8 novembre
Le secteur de l’éducation demeure dans la tourmente et peine à sortir de la zone de turbulences. Après la colère des lycéens, des parents d’élèves et des enseignants, c’est au tour des syndicats de revenir à la charge pour annoncer une grève nationale d’une semaine à partir du 8 novembre prochain.
Pratiquement, les syndicats du secteur de l’éducation veulent faire converger leur action pour frapper fort et peser de leur poids. Lors de leurs multiples réunions de concertation, ils ont exprimé cette volonté d’aller vers la radicalisation de leur action de protestation dès la fin de ce mois.
Ils n’avaient pas, toutefois, fixé de date, car ils espéraient un geste d’apaisement de la part des pouvoirs publics, en vain. Hier, deux syndicats, l’Union nationale des travailleurs de l’éducation et de la formation (Unpef) implanté dans 48 wilayas du pays et représentant les trois paliers, et le Conseil national des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Cnapest) ont, ensemble, fixé la date du débrayage. Ces deux organisations syndicales, appartenant chacune à deux pôles différents, à savoir l’intersyndicale autonome de la Fonction publique et la Coordination autonome de la Fonction publique, appellent les autres syndicats à adhérer à ce choix afin de faire de ce combat une cause commune. En outre, la mauvaise gestion des dossiers du régime indemnitaire, des œuvres sociales, de la médecine du travail, sont, entres autres, les raisons qui les ont poussés à décréter une grève nationale d’une semaine, renouvelable. La circulaire du Premier ministre, Ahmed Ouyahia, qui interdit l’application du régime indemnitaire avec effet rétroactif à partir de janvier 2008, est la goutte qui a fait déborder le vase. La décision d’Ouyahia a suscité l’ire des enseignants et vient ainsi remettre en cause les promesses faites aux syndicats par le ministre de l’Education nationale et celui de l’Emploi, du Travail et de la Sécurité sociale à ce sujet.