La volonté de la vie
Si le peuple voulait-il, un jour, la vie
Le destin, forcément lui aurait répondu
La nuit serait obligée de se dissiper
Et les chaines décideraient de se briser
Et le vent bourdonnerait dans les crus:
Aux sommets des montagnes et sous les arbres
Si j’avais un but à atteindre
J’embarquerais l’espoir et oublierais la prudence
Je ne parerais ni les difficultés
des chemins ni le feu enflammé
Celui qui n’aimait pas grimper
les montagnes ; vivrait éternellement
dans les fossés
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